François Hollande se conduit dans cette affaire comme un dictateur au petit pied, contournant l’opinion du peuple et d’une grande partie des partis d’opposition, pour mener une guerre d’agression, condamnée par la véritable communauté internationale.
Les partis d’opposition doivent lui faire barrage et persister à exiger un vote au parlement, précédé par un débat impartial, donnant la parole aux opposants à la guerre.
La France et son armée ne sont pas la propriété privée de M. Hollande et Fabius, pour qu’ils en disposent comme bon leur semble.