L’auteur a parfaitement raison sur le fait que les mélanges déjà tout prêts de rosé-pamplemousse sont juste des surplus mauvais de rosé auquel on rajoute du sirop pour masquer les défauts. De plus, pour éviter une fermentation en bouteille, il faut beaucoup filtrer (donc dépouiller le vin de base de la plupart de ses particules dont le précieux resveratrol) et rajouter plus de souffre (auteur des maux de tête). Donc on se retrouve avec un rosé de villageoise auquel on dépouille et on rajoute du SO2 et du sirop ! Il vaut mieux acheter une bouteille de rosé et une bouteille de sirop de pamplemousse : on a moins mal à la tête et au ventre le lendemain.
Je me permet de faire une rectification au niveau de l’article : tous les vins contiennent de l’eau à plus de 80% : eau + de 80%, alcool selon le titre volumique indiqué (autour de 12% du volume), et autres molécules + ou - 5% du volume. Donc un rosé-pamplemousse titrant à 10% d’alcool doit contenir environ 88% d’eau et non 50%.