A l’heure où, grâce surtout au web et aux nouvelles technologies, la
nature des informateurs se diversifie, les journalistes ont encore des
cartes à jouer, celles de l’éthique, de la qualité et de la proximité
avec le public.
Mais comment pourrait ils jouer la carte de l’éthique alors même que celle ci dépend du propriétaire du journal ? Et que celui ci investit dans un journal déficitaire uniquement parce que l’intérêt ne se situe pas au niveau financier, mais politique. C’est à dire le contrôle de la pensée unique.
Pour l’instant, l’internet n’a pas réussit à dépasser la pensée unique, mais ce n’est sans doute qu’une question de mois....