Dans la mesure où M. Landini était un combattant déguisé en civil, que ses ennemis ne pouvaient identifier avant qu’il ne leur tire dessus, considère-t-il que les Allemands étaient, tout compte fait, en droit de tenter de lui faire révéler, par n’importe quel moyen, les noms et, le cas échéant, les adresses d’autres combattants, eux aussi déguisés en civil ?