Indépendamment du problème de la concentration de richesse, l’auteur devrait d’abord admettre que : 1. la fortune des exemples qu’il donne n’est pas du cash sur un compte bancaire mais bien la valeur des parts de l’entreprise qu’ils détiennent. 2. Lorsque ces fortunes ont fondu en 2008 d’environ 1/3 pour les entreprise cotées, l’auteur (et les autres ayant le même mode de pensée) ont ils à ce moment là été réclamer de partager avec les salariés ?
Personnellement, je n’ai jamais compris cette lute de la gauche « contre » les riches... au lieu de luter contre la pauvreté.... Pour moi, cela démontre plus une certaine forme de jalouse que d’altruisme.. mais bon, je peux me tromper... ceci dit, j’ai à plusieurs reprise pu me rendre compte que des gens tenant ce genre de discours très « gauche progressiste et sociale » sont en fait de véritables rapaces égoïstes s’accaparant largement plus que leur dû dès qu’ils en ont l’occasion...