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renaud18 19 août 2015 23:27

J’adhère à tout ce que dit Sharpshooter, qui démolit la reconstruction/destruction délirante de De Gaulle par notre historio-histrion obsessionnel.

Eh oui, De Gaulle était anti-communiste dès le début et il le resta jusqu’à la fin.
Contrairement à beaucoup d’esprits intelligents de la première moitié du XXe siècle (jusqu’à Sartre qui très tard déclara le communisme philosophie indépassable de ces temps-là), contrairement à la grande majorité des intellectuels des années 30, De Gaulle ne céda jamais à la tentation des sirènes du communisme. 
Comme Churchill, et comme tous ceux qui sortent grands de l’histoire de ce siècle-là, De Gaulle ,qui était un visionnaire, avait percé ,sous les belles proclamations humanistes, l’affreux projet totalitaire du communisme.
Il dénonça ce projet sans trêve, et, pour lutter contre l’idéologie mortifère qui avait conquis bien des esprits faibles, De Gaulle s’appuya sur le peuple. Les corps intermédiaires idéologisés s’étaient emparé des leviers de commande institutionnels. De Gaulle dénonça cette captation illégitime et fut évidemment dénoncé lui-même comme ’’populiste’’, voire ’’fasciste" par tous ceux, socialistes et communistes les premiers, qui prétendaient agir pour le peuple tout en lui refusant la liberté d’expression.On sait que les communistes étaient très réticents au droit de vote pour les femmes et que De Gaulle dut leur forcer la main en 1945. 
De Gaulle croyait au peuple tout court et n’avait pas besoin de l’avant-garde du prolétariat !

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