Bien sûr que non, que le vin n’est pas une drogue. Pour 90 % de ses consommateurs, le vin fait partie d’un art de vivre, et n’engendre aucune dépense chez la masse des individus qui ne sont pas prédisposés à ce genre de dépendance.
A l’opposé, les drogues authentiques sont une manière d’échapper à la vraie vie, dans une démarche visant au lâche abrutissement du consommateur.
Dans ce contexte, les théories d’un Hume, on en fait des cornets en papier, façon frites, pour gerber dedans quand on est, très exceptionnellement*, bourré.