Le problème n’est pas dans la soi-disante « gauche en faillite morale », mais bien plus important. Les personnes qui se déplaçaient en car étaient avant tout des salariés qui étaient menaçés de licenciement. Sarkozy ne voit en eux que de la violence, de la haine, des « fouteurs de bordel », alors qu’ils poussent juste un cri de détresse. un appel à l’arrêt des délocalisations, des amalgames ouvriers = kleenex. Sarkozy serait-il parano ?