Il me semble que le refus d’élargir l’utilisation de l’HCQ pour le traitement du (de la) Covid n’annule pas pour autant la réglementation antérieure, qui l’autorise pour des « essais cliniques », ce qui était le biais d’utilisation par l’IHU. Celui-ci devrait donc pouvoir poursuivre son traitement, me semble-t-il. Par contre, cela confirme la décision du 26 Mai qui excluait sa prescription hors essais cliniques.
Mais dès lors que l’utilisation « de terrain » par l’IHU donne des résultats statistiques probants, la décision de ne pas réautoriser une utilisation plus large est néfaste, le prétexte des « effets indésirables » est tiré par les cheveux, puisqu’il faudrait alors interdire à peu près tous les médicaments existants, ceux de l’HCQ sont connus et maîtrisés par les prescripteurs.
Les actions de promotion en faveur d’une autre molécule par des personnes en charge de décisions publiques
relèvent du conflit d’intérêt, il faudrait une commission d’enquête.
Quand on parle de l’« état profond », il s’agit d’instances administratives et d’experts, éventuellement en connivence avec des puissances d’argent, qui influent ou outrepassent les décisions des gouvernants élus, soit par inertie soit en tant que pouvoir parallèle. Les « autorités médicales », incluant les comités, conseils etc. et les mandarins hospitaliers d’Ile de France, me semblent entrer dans cette définition, ils instituent une forme de despotisme sanitaire.