« Parlons gros sous »
Pour faire simple et
concernant le cas de la France (identique du reste, aux autres nations
européennes) :
Après 1789, la France est passée
d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à
une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le
vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le
pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire. Mais cette
représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et
non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence
des puissances d’argent.
Depuis le XVIIIème siècle, les
principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des
intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement
internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus
exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un
quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme «
national ».
Aussi, les USA et ses alliés ne
sont plus depuis le début du XXème siècle gouvernés par ce qu’on appelle un
phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel
d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui
ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres.
Précisons à propos des USA que la Réserve fédérale, la « FED », est née, en
1913, des menées des banquiers globalistes, dont le noyau dur se trouvait à
Londres ; menées auxquels les intérêts Rothschild, notamment via le banquier
Warburg, n’étaient pas étrangers. Précisons encore à propos de la « FED » que
trois personnalités de premier plan étaient opposées à la création de cette
banque centrale américaine : Benjamin Guggenheim, Isidor Strauss et Jacob
Astor. Ils périront dans le naufrage du Titanic en 1912.
L’une des méthodes employées
depuis plus d’un siècle par ces escrocs économiques pour faire notamment de la
guerre un « business », et accroitre leur mainmise sur la planète est le
« casus belli » : 1898 avec le Maine, 1915 avec le Lusitania, 1941 avec Pearl
Harbor, 1964 avec les incidents du golfe du Tonkin, 2001 avec le « 9/11 »,
etc..
Précisons enfin, à propos des
évènements liés à la création des USA , et à propos de la guerre de Sécession
en particulier, qui n’a d’ailleurs réglé aucun des problèmes américains et
surtout pas la question noire (on peut aisément s’en apercevoir encore
actuellement), nous aurions tort de réduire ce conflit Nord-Sud à une lutte
simpliste, c’est-à-dire entre adversaires et partisans de l’esclavage, ainsi
que les « vainqueurs » tentent, par tous les moyens de nous le faire croire
depuis des années. Rappelons simplement que l’étendard de la Confédération,
le Stars and Bars, comportait treize étoiles représentant chacun
des douze états du Sud, la treizième correspondait à la nation indienne
constituée par la totalité des tribus qui, en quelque sorte, étaient venues
chercher refuge auprès des « affreux esclavagistes » du Sud, afin d’échapper au
génocide des « généreux libérateurs » Nordistes.
Les indiens d’Amérique, bien avant
certains, avaient compris que les « Yankees » représentaient avant tout et
par-dessus tout, une civilisation mercantile basée sur le profit à n’importe
quel prix : la civilisation « rapace » de l’aigle pygargue, devenu
depuis l’emblème national des USA.
NB : Faisons remarquer que le
sigle du Dollar n’est pas un « D » mais un « S » comme... « Serpent » ou «
Snake », dans sa version US ; ce « S » est barré de deux traits verticaux : n’y
aurait-il pas là une allusion à peine voilée aux colonnes du fameux Temple de «
S », celui du veau d’or, et à ses non moins fameux « marchands » ?
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