Désolé, l’Ukraine se bat ni pour sa liberté, ni pour pour la nôtre.

Il faut comprendre que le conflit en cours n’est que le dernier épisode de la guerre que les USA ont mené depuis 1945 directement ou par procuration contre TOUT pays qui conteste leur hégémonie mondiale. Les USA se fichent éperdument de l’Ukraine tout comme ils se fichaient de la Syrie, de l’Irak, de la Serbie, de l’Afghanistan, du Vietnam qu’ils ont écrasés sous des tapis de bombes. En Ukraine, c’est la doctrine Brzezinski qui est à l’œuvre, du nom du conseiller à la sécurité nationale du président Carter en 1977-1981, qui écrivit plusieurs ouvrages expliquant avec cynisme que l’Ukraine était le terrain de confrontation idéal pour affaiblir la Russie

Derrière les marionnettes de Kiev, il y a eu Washington dès le Maïdan, dès le début. Cela explique pourquoi Kiev promulgua des lois bannissant la langue russe dans le Donbass depuis TOUJOURS russophone et prétendait que l’enseignement dans les écoles serait dispensé en ukrainien. Kiev aurait délibérément voulu déclencher la guerre civile qu’il ne s’y serait pas pris autrement. Kiev sous la pression américaine (et la Commission européenne) a aussi délibérément cherché la confrontation avec les provinces russophones en n’appliquant les accords de MINSK2 (qu’il avait signés) et qui prévoyaient une modification de la constitution ukrainienne pour accorder une plus grande autonomie de gestion au Donbass tout en préservant l’intégrité du pays. Puis, Kiev a bombardé le Donbass pendant 10 ans tuant des milliers de civils sans que cela émeuve ni médias occidentaux ni les gouvernements européens. Kiev, téléguidé depuis Washington, a délibérément cherché la guerre.

Il faut maintenant souhaiter que les Russes coupent les livraisons gaz rapidement à l’Europe et que l’hiver soir rude... pour effondrer rapidement l’économie européenne et exterminer les oligarques mondialistes de la Commission européenne, jamais élus par personne mais inexpugnables. Ce sera la méthode la plus efficace pour arrêter la guerre dans le Donbass.