L’ordinateur à ’100 dollars’ répond à un besoin et a de l’avenir.
Le parallèle est tentant avec l’automobile.
Renault a prouvé avec la Logan que l’on pouvait produire une voiture ’low cost’ répondant aux besoins des pays émergents (et même des pays riches pour les conducteurs ne souhaitant pas une automobile sophistiquée) tout en dégageant de la marge.
Il pourrait en être de même pour l’ordinateur ’low cost’ pour lequel il existe un marché gigantesque. Les questions sont de connaître :
- la variable économique (lieu de production et coût associé, coût d’acheminement, coût des composants éprouvés et effet-volume sur la résultante prix, etc.),
- quid de l’accès à l’électricité dans les pays émergents dont l’ordinateur est tributaire ainsi que de la robustesse à la température par exemple,
- quid du SAV et de la maintenance en cas de panne,
- quid de la formation,
- quid de la politique des PVD pour relayer et appuyer un tel projet séduisant car réducteur de la fracture numérique.