Il existe des gens qui sont obsédés par le pouvoir qu’ils peuvent exercer sur les autres.
Chez les hommes, on les identifie souvent par l’expression « mâles alpha ».
Ce que ce post révèle, c’est qu’il n’y a ni « mâles alpha » ni « alpha » tout court.
En réalité, il existe tout simplement des gens nocifs qui souhaitent s’imposer.
On connait tous le fameux « bucheron sympa » avec une force herculéenne et qui passe son temps à sourire parfois niaisement.
C’est tout simplement, le choix, l’instinct malveillant de la personne, qui ne souhaite pas collaborer avec les autres, mais les utiliser, qui en font une personne « violente », et pas simplement physiquement.
À y regarder de plus près, on constatera assez vite, que la violence, la domination s’exerçant sur autrui, est en fait érigée en qualité suprême valorisée par nos « zélites ».
Nous sommes abreuvés en considérations positives de gens qui maltraitent des millions d’autres juste parce que classifier comme « méritants » (riches) on ne pourrait qu’accepter leurs exactions.
Il se pourrait même que l’appréciation du niveau de violence, parmi les violents, soit interprétée comme une nécessité pour survivre ou vivre « agréablement ».
En observant, le train de vie, largement usurpé sur celui des autres, des nantis, certains identifient presque inconsciemment sur quel mode ils doivent continuer de fonctionner. La prime étant bien sûr à la violence.
Comme disait Keynes "le capitalisme, c’est la croyance stupéfiante selon laquelle les pires
des hommes vont faire les pires choses pour le plus grand bien de tout
le monde"
Finalement, peut importe qui tient l’arme, peut importe que ce soit un homme ou une femme.