Le transcendant est donc défini par son absence de définition, une tendance vers, une sublimité, une tension vers une limite impossible à cerner.
La singularité est paradoxale, elle est impossible et sous entendue, mais entendue.
Dans le taoïsme il y a la notion de « sans faîte » « wu ji » et « faîte suprême », « Taî Ji » faîte suprême, le « taî », « très », « trop », l’idée d’une tendance vers la vacuité du « sans faîte » dans un sens de dissolution du monde manifesté, mais aussi vers le sublime pressenti, et dans l’autre sens, celui de la création, une richesse de possibilités, de créativité sans limites.