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Étirév 18 mai 21:20

Valéry Giscard d’Estaing : Dès son élection à la présidence de la République en 1974, l’une des premières mesures que prend Valéry Giscard d’Estaing est de proposer l’abaissement de l’âge de la majorité électorale (et civile) de 21 à 18 ans.
« Rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse » disait Louis Pauwels dans « Les dernières chaînes ». En effet, la jeunesse est l’âge de toutes les sottises, de toutes les exactions, elle est le bras séculier de tous les despotes et la matière première de tout militantisme extrême. Dans notre société démocratique et humaniste on encense la jeunesse, alors qu’elle est avant tout grégaire. C’est pour quoi les tyrans ont tant besoin d’elle.

À ce sujet, rappelons que parmi les principaux acteurs de la Révolution française la moyenne d’âge était de 27-28 ans ; Robespierre et Danton avaient à peine dépassé la trentaine.
Notons au passage que cette diminution de l’âge de la majorité va permettre la création de nouveaux et nombreux comptes bancaires.
Aussi, en plus de la loi du 3 janvier 1973 (également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild ») qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites, et du droit de vote accordé à de jeunes adultes inexpérimentés, sans compter le Traité Constitutionnel de 2005 intelligemment rejeté par les français (néanmoins validé en 2007 par Sarkozy et les pantins corrompus du Parlement grâce au Traité de Lisbonne, sa copie quasi-conforme), la France doit à Valery Giscard d’Estaing (accessoirement Co-fondateur de la « French-American Foundation » en 1976, ce programme de formation de traitre à sa Nation), une réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial » en 1978 (Chirac était alors 1er Ministre). Carl von Clausewitz (1780-1831), officier général et théoricien militaire prussien, disait qu’« Un grand pays de civilisation européenne ne peut être conquis sans l’aide de discordes intérieures. ».
La politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là, le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : entre autres, dumping social, apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; perte de l’identité ; éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; déracinement et errance culturels ; perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.… sans parler des dangers sanitaires liés aux virus et autres germes inconnus qui peuvent être véhiculés dans ces échanges.
Subtilement, pour préparer et accompagner la « marche forcée » immigrationniste dans l’Europe tout entière, et en faciliter l’intrusion, la seconde moitié du XXème siècle allait voir la culture américaine, notamment musicale, envahir l’Europe et ouvrir la voie à une pénétration à grande échelle et à un remplacement progressif de la culture européenne par des traditions non européennes. Elle comprenait d’abord de puissants éléments afro-américains tels que le jazz, renforcés ensuite par les traditions afro-caribéennes comme le Reggae puis, grâce à l’afflux de genres afro-américains apparentés, la Funk, le Rap, le Hip-Hop, etc., faisaient leur apparition. Notons également l’irruption, dans les années 70, du « Raï », genre chanté algérien, mélange d’Arabe, de Rock et de Blues.
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