Le problème de fond ne réside-t-il pas alors dans l’évolution de l’économie mondiale, où tout est financiarisé, la propriété des entreprises est sous forme d’actions qui donnent lieu à un ’’marché’’ où 95% des échanges se font entre boursicoteurs (j’emploie le terme faute d’un autre qui me vienne en tête) sans constituer des investissements productifs. D’où le flou sur ce qu’on peut qualifier de ’’capital’’ (entre parenthèse, quand on voit parfois l’inscription ’’SA au capital de xxx’’, la valeur de ce capital social initial est souvent risiblement infime par rapport au total du ’’bilan’’ et à la capitalisation boursière, pas étonnant qu’on s’y embrouille).