Voilà un article
vraiment remarquable qui mérite d’être intégré dans toute anthologie sur le
thème « Délire, déni de réalité et négationnisme ». Si vous n’avez pas
trop de temps à consacrer à sa lecture, je conseille de ne lire que la
conclusion (recopiée ci-dessous) qui n’est qu’enfilade de phrases vides. On est
dans l’intoxication par les mots.
En
conclusion, plutôt que de considérer Haïti comme un « territoire
perdu », il est essentiel de la reconnaître comme un espace vivant,
dynamique et en constante évolution. Haïti est un laboratoire unique
d’interactions culturelles, économiques et sociales, qui, malgré ses défis,
continue de produire des réponses originales et résilientes aux pressions
globales. En adoptant une perspective qui valorise son potentiel et ses
contributions, nous pouvons dépasser les discours réducteurs et contribuer à
une compréhension plus juste et équilibrée de son rôle dans le monde. Cette
relecture critique de l’histoire et des récits autour d’Haïti est non seulement
nécessaire mais urgente, car elle offre une opportunité de réinscrire le pays
dans une trajectoire de dignité et de prospérité.
Pour revenir
sur terre, lire par exemple :
https://www.banquemondiale.org/fr/country/haiti/overview# : :text=Ha%C3%AFti%20demeure%20le%20pays%20le,(bas%C3%A9%20sur%20la%20consommation)