A l’heure des satellites, de la vidéosurveillance, du bornage téléphonique, des fichiers de données, de l’intelligence artificielle, des radars banalisés et embarqués, des ZFE, des QR-Codes, des flux-libres et du contrôle social, alors que la moindre grand-mère est pistée quand elle va de son potager à sa cuisine, on n’est pas capable d’identifier, repérer, suivre et « cueillir » en douceur les délinquants routiers au moment opportun ?