Les animaux que nous sommes ont comme projet de se reproduire et les responsabilités qui nous ont été inculquée vis à vis de notre progéniture sont quand même plus facile à assumer dans le cadre d’une « famille ».
Il y a 50 ans, nous héritions des familles paysannes élargies. Aujourd’hui, la migration urbaine, l’autonomie finacière et l’ensemble des services à la personne rendent possible - avec plus ou moins de difficultés - des familles mono-parentales.
Je ne suis pas certain que nous sachions (tous) utiliser cette « liberté » de façon constructive pour notre développement.
Beaucoup la subissent et l’isolement social dans lequel sont certains célibataires peut se transformer rapidement en catastrophe en fonction des accidents de la vie (chomage, maladie,..) : le filet que pouvait être la famille élargie n’est plus.
Quand les liens entre les individus d’une société se réduisent de plus en plus à des rapports quasi-marchands, pas étonnant que certains cherchent refuge dans les religions.
Le pire est que ce qui peut être vécu comme une blessure devient un segment de marché pour une foule de « business ».