On peut dans un premier temps s’interroger sur cette course à l’armement de la police, en particulier de la municipale frustrée de ne pas pouvoir jouer au cowboy avec un « vrai flingue ».
Une bonne formation aux arts martaux et sports de combats, avec une matraque en bonus, me semble très très largement suffisament pour corriger un voleur de pommes peu coopératif, voire agressif.
Ce type d’arme, tout comme les « flash-ball », ne doit pas pendre en permanence à la ceinture des « simples » gardiens de la paix. Elles devraient être réservées à des opérations « délicates », où le risque de confrontation est important, etc.
Songez un instant aux videurs de boites de nuits par ex., qui ne sont qu’une poignée, mais qui maintiennent correctement l’ordre avec un public pourtant nombreux et très aviné, le tout sans arme...