C’est relativement simple :
Ce qu’on ne peut pas contôler à l’unité doit être contrôler en masse.
Puisqu’il est impossible donc d’empecher l’echange et la copie l’idée est donc de taxer forfaitairement l’ensemble d’autant que, comme l’auteur l’indique’, la multiplicité et la permanence des sources va permettre de profiter sans copier !
Il y a quand même danger car ce système va pereniser une redevance qui va perdurer même si le marché s’effondre, même si un autre reseau de distribution se met en place.
Le pire etant encore plus pernicieux, c’est que le consommateur ne maitrise plus le prix de ce qu’il consomme et est obligé de payer même s’il ne consomme pas.
Comment de plus expliquer au consommateur qu’il doit payer des droits lorsqu’il va acheter un cd, puisqu’il a déjà payé pour la même chose avec internet ?
Encore une fausse bonne idée, je suppose.