Joli coup pour Bouygues, leader sur la TV et challenger sur le mobile : d’un côté Sarko supprime son principal concurrent sur son principal business (terminée la pub sur France Televisions), de l’autre il pénalise relativement ses principaux concurrents sur son marché secondaire (Orange et SFR paieront le gros de la taxe envisagée pour financer l’audiovisuel public), et au final le Groupe Bouygues améliore sa marge et ses parts de marché sans se fatiguer.
Plus c’est gros, plus ça passe. Lucien Barrière veut obtenir le label de palace parisien ? Sarko lui offre la dimension légendaire dès l’ouverture. Le blingblingisme, stade ultime du clientèlisme ?