Votre interprétation ne contredit en rien la mienne, aussi je puis sans problème y souscrire. A mon sens, nos deux lectures-interprétation du « pourquoi ? » peuvent très bien (malheureusement) s’additionner. Rien n’empêche en effet que N. Sarkozy soit à la fois le président du « bling-bling » et celui de la « Restauration ».