J’ai trouvé votre article mauvais. Finkielkraut ne parle ni de décadence, ni de déclin, il parle de désastre et je ne vois pas comment on peut parler désastre avec le sourire aux lèvres. Il a par contre souvent en face de lui des adversaires qui manient l’humour, qui ne prennent pas ce qu’il raconte très au sérieux. Et qui sont bien souvent ridiculisés par cette gravité même de Finkielkraut que vous dénoncez.