la question de l’immigration et de l’intégration des migrants à un pays est très complexe ; il y a effectivement la dimension du vécu des "autochtones" qui est à prendre en compte...
dans cet article j’ai voulu présenter le point de vue psychologique car il est bien souvent occulté dans les débats.
même s’il est question de communautés, de nations, de populations des quartiers, etc. n’oublions jamais que ce sont des sommes d’individus, pour lesquelles les souffrances ne sont pas des expériences momentanées mais ayant un impact ultérieur multidimensionnel (questions de santé publique avec les maladies des travailleurs migrants, délinquance des enfants, relations internationales éventuellement aussi...)