Une destruction créatrice est sans doute souhaitable.
La question, pour rejoindre l’article que je trouve excellent, est quelle peut en être le rythme pour qu’il soit soutenable. L’autre problème est que la mécanique n’ayant que pour seul contrôle les lois assez opaques du marché, nous subissons plus que nous ne choisissons.
Dans ces conditions, la philosophie permet de ne pas pêter les plombs et de se recentrer sur les choses essentielles de l’existence.
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