Soyons factuels.
Il y a effectivement des risques, que l’on ne connaît pas encore précisément, en ce qui concerne une exposition longue à portée d’oreille, pour les téléphones mobiles. Ces risques croissent avec la puissance d’émission, et s’accroissent pendant les phases de recherche, comme cela est indiqué dans l’article.
Cela signifie qu’il faut prendre des précautions, et les dix points semblent tout-à-fait légitimes.
Pour qui pend les transports en commun, il est fréquent de voir des jeunes (plus exposés) téléphoner pendant de longs moments, oreille au téléphone, dans le train en marche. Ils cumulent tous les risques, ne le savent pas, et ont acquis des réflexes conditionnés.
C’est vers eux, et les plus jeunes, qu’il faut agir en priorité, alors que la publicité en fait une cible privilégiée. Ils se font piéger, et ne verront peut-être jamais la couleur de leur retraite...
Que fait le gouvernement ? Rien. Nul trace de principe de précaution, parfaitement applicable dans ce cas : ou bien le risque s’avère éxagéré, et il ne se passe rien, ou il est avéré, les mesures peuvent être salutaires, et des êtres humains sont épargnés.
Mais au fait, qui est l’un des amis du chef de l’Etat ? Ne serait-ce pas un entrepreneur des télécommunications ?
Non, non, ce n’était qu’un cauchemar...