C’est utile de rappeler que sur un sujet important, pour un contrat ou un accord international, on ne discutre pas en anglais, soi-disant parlé par le monde entier, mais dans sa propre langue à l’aide d’interprètes, sinon les risques de malentendus sont bien trop grands.
Au sujet de l’accord, le Canard sous-entendait que notre président était davantage intéressé par un coup médiatique, avoir obtenu l’accord verbal, que par un accord écrit en bonne et due forme, qui aurait pu être plus difficile à obtenir, ou amener des négociations plus longues...