Ki ka di :
« L’écart ne cesse de se creuser entre les salariés et la petite classe de privilégiés, protégés par le pouvoir, dont le nombre et la fortune croissent rapidement. Nous sommes, à n’en pas douter, dans une période prérévolutionnaire, au sens de 1789. Les cadres et, d’une façon plus générale, les classes moyennes, seront demain, comme les bourgeois naguère, les catalyseurs de la révolution », ?
Puis plus loin :
« La France est obligée de faire des réformes et donc de créer des mécontentements dans un contexte économique mondial incertain et avec une situation financière nationale catastrophique. Il y aura de plus en plus de revendications et de moins en moins de moyens capitalistes pour les satisfaire et de moyens policiers pour les endiguer. Une étincelle suffira pour déclencher des mouvements irréparables. »
Putain, c’est ce vieux bolchevico-anar de George Pébereau qui nous la joue rouge et noir dans Le Monde du 16 septembre. Cela doit être encore beaucoup plus grave que ce qu’ils disent pour que les parasites se sentent mal !