En admettant que le travail de Faurrisson n’ait pas été compris, ni présenté loyalement la mise en scène du Zénith est très forte de sens. On réduit bien les camps de concentration réservés aux juifs à de la comédie.
Je ne vois pas en quoi cela pourra aider Dieudonné à faire reconnaître la souffrance des esclaves.