Curieuse impression à la lecture de votre journal, chronique des restrictions imposées par un mouvement social.
Vu d’ici, celà ressemble beaucoup aux grognements d’un petit privilégié qui ne peut plus aller à la pêche, manger son laitage habituel, circuler dans sa voiture. Le petit laius habituel sur les plus pauvres, premières victimes de la crise, sur "le chinois du coin" courageux petit commercant qui lui dispose de "guetteurs", bref les lamentations d’un habitant d’une carte postale qui découvre qu’elle est habitée par des personnes qui ne sont pas toutes à sa disposition.