Je me souviens de l’époque - avant 68 - où l’on apprenait les maths, les sciences physiques et naturelles, quatre langues dont le latin et le grec dans des classes appelées A’.
On appelait cela : "les humanités".
Ainsi que l’indiquent de nombreux intervenants de ce fil, ces langues dites mortes sont une source de culture et d’ouverture d’esprit, même - et surtout - pour un scientifique.