>> Reste que vous ne faites qu’accumuler des noms, des faits et des lieux tous trouvables sur la Toile.
Ben oui, précisément. Vous m’avez demandé de signaler des gens qui peuvent vous confirmer qui je suis.
J’aurais pu vous mentionner d’obscurs espérantistes suisses parmi la centaine que je connais, mais ça ne vous aurait avancé à rien. Alors j’ai cherché sur le net précisément ceux qui sont connus, présents sur la toile, dont vous n’auriez pas à vous défier et QUI EN PLUS ME CONNAISSE BIEN.
Mais sans rien vérifier, vous me dites que je NE fais QUE accumuler des noms. (soupir...)
J’avais pourtant l’impression de répondre à votre demande, pour vous permettre À VOUS de vérifier ce que vous vouliez vérifier, sans pour autant m’étaler publiquement. Bon. Tant pis. Je vais devoir me jeter à l’eau.
Vous doutiez au début que j’étais espérantophone, soit.
Je vous écrit en e-o un post-scriptum de 8 mots, vous le décortiquez et vous doutez un peu plus.
J’y ai cru de bonne foi et vous ai cité des gens connus qui, simplement en lisant mes messages ici, vous auraient confirmé qu’ils me connaissent. Et hier, dans un post-scriptum en esperanto je vous ai mis avec mon numéro de téléphone personnel pour être plus direct. Pour que vous puissiez m’appeller directement (eh oui, c’est mon vrai numéro), qu’on se parle en quelques phrases, et que vous n’ayez ainsi finalement besoin de déranger aucune tierce personne pour trancher votre lancinante question.
Je ne sais pas si vous avez essayé de demander confirmation à une des personnes que je cite. Ni si vous avez visionné la vidéo de France concernant REF... Mais vous me ré-écrivez ce soir pour me dire que le doute continue, à cause d’une apostrophe à Helveto, ou L’Helveto, ou La Helveto, et vous revenez sur la forme "non-fluide" de mon premier post-scriptum. Ben alors, et tout le reste ? Et pourquoi vous ne me téléphonez pas ?
Je comprends que tout ce que j’ai pu mettre dans mes second et troisième messages ne sert à rien si il est impossible d’obtenir de manière implicite ne serait-ce qu’une présomption de bonne foi au départ. Vous devez salement souffrir de toutes ces réactions agressives sur les forums où vous intervenez, pour que la défiance s’élève plus haut que la longueur de mes trois messages réunis.
Il m’a fallu faire le cycle trois fois avant de comprendre que ça peut tourner en rond éternellement, c’t’affaire.
Mais je sais m’adapter, et ne compte pas vous faire souffrir plus longtemps.
Les Québécois —vous ne me contesterez pas ce point j’espère— ont la réputation d’être des gens francs et directs, n’est-ce pas ?
**********************************************************************************************************
Alors permettez que je nous sorte de ce cercle vicieux en nous tirant tous VERS LE HAUT.
Vers la clarté de la vie réelle, là où les pseudos et autres multi-avatars n’ont plus cours...
Vous êtes prêts ? On y va...
**********************************************************************************************************
Je m’appelle M-a-r-i-o B-é-l-i-s-l-e. (le nom vient de votre Belle-Isle-en-Mer en Bretagne).
J’ai 48 ans. Je suis né à Montréal en 1961. Marié, deux enfants.
J’habite à La Chaux-de-Fonds, dans le canton de Neuchâtel.
Je suis venu en Suisse et j’y ai appris l’espéranto en 1988, auprès de Claude Gacond, d’abord... et des autres que j’ai cités (Ertl et cie). J’avais, juste avant de quitter Montréal, connu pendant quelques mois Normand Fleury et les autres familles proches de la Société québécoise d’espéranto. Mais c’est loin déjà.
En Suisse, j’ai travaillé en espéranto pour la Fondation Edmond-Privat et au K.C.E. de cette même ville de 1989 à 1994. Durant cette époque, j’allais à chaque Nouvel an en Allemagne pour participer à IS, et j’ai aussi participé à quelques IJK, ou autres junularaj arangoj. En 1994, quand Claude Gacond a cessé de s’occuper du K.C.E., c’est un nouveau comité sous la houlette de G. Silfer qui a repris les rennes, et j’ai alors complètement pris mes distances. Du Centre... et ma foi aussi un peu de l’espéranto. J’avais probablement besoin d’air.
Après ces années d’esperanto à temps plein, j’ai trouvé un "vrai" travail (non, je ne me moque pas de l’Eo), nous avons eu des enfants, et j’ai cessé de participer à des rencontres internationales. Ma compagne et moi avons néanmoins élévé nos enfants comme denaskuloj. Et pas complètement en marge du monde esperantophone non plus. il y a aussi des rencontres en Suisse, et plusieurs membres de notre famille proche parlent aussi esperanto, dont ma belle-mère, qui est la co-présidente de la Société suisse d’espéranto , impliquée dans ILEI, dans les commissions d’examens, et qui participe à U.K., elle. Elle a été la présentatrice de la audiaua vespero du U.K., ces dernières années. D’où ma remarque antérieure à Kroko où je lui disais : si vous allez au U.K., vous connaissez même ma belle-mère (alors, vous y allez, ou pas ?).
Nous avons donc eu, comme je le disais, beaucoup de contacts avec des esperantophones, mais pratiquement aucun en France, sauf avec mon ami Gijom du Kotopo, qui a travaillé avec moi au K.C.E. avant de revenir sur Lyon pour y lancer son propre projet.
Durant l’année scolaire, nous accueillons des esperantophones de passage, puisque nous figurons dans le pasporta-servo, sous la ville de La Chaux-Fonds.
Et durant l’été, nous avons participé à chaque REF avec les enfants, depuis que le premier a eu à peu près 3 ans. A ces 8 ou 9 dernières rencontres des familles, j’y suis moi-même allé 5 ou 6 fois. L’été passé, c’était à Grésillon en France, au lieu d’être en Hongrie, en Pologne, en Tchéquie ou en Croatie comme les années d’avant. On en a profité pour passer à la Kvinpetalo de Bouresse, et à Gray.
Quant au web, c’est une autre histoire.
Je n’avais pas de liens à fournir vers des blogs ou des forums sur lesquels je figurerais sous un pseudo quelconque (je l’ai déjà dit) mais ça ne veut pas dire que je n’apparais pas sur le web. Sauf que lorsque j’y figure, c’est sous mon vrai nom tout simplement. (voila pourquoi Skirlet ne trouvait d’abord pas chaussure à son pied).
Maintenant que vous connaissez mon nom, vous me trouverez évidemment dans le pasporta-servo version papier.
Et sur le site du pasporta-servo je crois (je n’ai pas en tête le lien web).
Ailleurs sur le web, lorsque j’y figure en photo ou autrement, c’est souvent sur des sites où personne ne m’a demandé mon avis.
Je viens de me "google-iser" moi-même et voici quelques pages sans pseudo.
Vous me trouverez en photo au premier plan avec mon fils ainé
sur le site de Claude Gacond : Galerie de photos (oui, oui, le même que dans la vidéo de France 3).
Vous me trouverez aussi là : Listo de svisaj esperantistoj avec mes deux enfants cités comme denaskuloj.
Et j’ai eu droit (comme tous les e-phones suisses) à une courte rubrique dans l’encyclopédie suisse des langues planifiées en page 1085. C’est un gros pavé, faudra venir le consulter en Suisse ou aux bibliothèques de UEA, de UFE, etc.
Dans les livres plus connus en France mais accessibles aussi sur le web, j’apparais dans le livre Le Défi des Langues, du gâchis au bon sens, de Claude Piron, sous les remerciements.
C’est publié à L’harmattan, j’en parlais dans mon premier message.
Certes ce ne sont que des liens web. Mais avec mon vrai nom, et en photo, vous pourrez si ça vous chante interroger les amis que je vous ai précédemment livrés en pâture. Y’a alors intérêt que je sois moi, car sinon je vais me coller un bon procès.
Quand vous serez revenus de votre petite balade sur ces diverses pages nominatives (Kroko et Skirlet, ou même ceux qui depuis le début ne doutaient pas, si vous y allez), nous serons, je vous le souhaite, sorti de ce cercle vicieux par le haut. Et pour les non-esperantophones qui auront suivi le suspense "Helveto" sur cette page, vous aurez compris que les parcours de vie de ceux qui apprennent et/ou utilisent l’espéranto sont variés comme la vie, au point que même entre locuteurs, il faille parfois se renifler un peu pour ne plus montrer les dents...
Pour m’écrire perso hors d’AgoraVox, utilisez cette adresse jetable qui a une durée de vie d’une semaine à partir d’aujourd’hui : [email protected] (Il ne viendra maintenant à personne l’idée de me reprocher de ne pas mettre mon vrai e-mail pour ne pas me faire spammer, hein ?). Je répondrai de ma vrai boite e-mail à ceux qui m’écriront de la même manière.
Et vous, Kroko, Skirlet, existez-vous dans le monde réel ? Parce que les esperantophones sont toujours les bienvenus dans le canton de Neuchâtel dans le cadre du pasporta-servo.
Mon invitation pour une vraie fondue tient toujours (je suis pas rancunier)... mais il vous faudra apporter DEUX SACRÉS BONNES BOUTEILLES.
Mario
(jusque-là méconnu, mais douteusement apparu sous le tout frais pseudo de huit jours à peine de L’Helveto, ou Helveto, ou La Helveto ou The Helveto, ou der Helveto, ou Est levé tôt).
P.S.
1) N’ayez crainte, ce sera mon dernier LONG message sur cette page.
2) Le premier qui doute encore ou qui dit : "Ben voilàààà, tu vois, il suffisait de le dire" ou qui pense que je suis un imposteur parce que j’ai renoncé à mettre un accent circonflexe sur une lettre "g", je le passe au lance-flamme. :->
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération