Les grands révolutionnaires comme le Che ou Mesrine ont toujours excercés une grande fascination sur le public. Le marché des produits dérivés s’est développé en conséquence. Que ce phénomène touche les petits révolutionnaires des banlieues me semble entrer dans une continuité naturelle.
Que cette publicité de zones de non-droit choque, je le comprends, mais je ne le déplore pas. Après tout, ces zones ne sont que l’oeuvre du parti unique français, l’UMPS, que les électeurs et leurs partis s’arrangent maintenant avec leurs créations. Que ces bandes fassent en plus leur promotion, je dois avouer que le spectacle est assez délicieux. Bon article, merci.