Cela dit, la Tunisie n’est pas dupe au point de tirer une balle dans le pied. Ben brik a fait feu de tout bois dans quelques journaux français, avant, pendant et après les élections présidentielles et législatives. Il n’a jamais été inquiété, pourtant ces écrits tombaient bel et bien sous le coup du code de la presse, au vu des diffamations et autres balivernes dénuées de tout sens.
L’affaire est purement de droit commun, l’accusé n’est pas à son premier délit de cette nature. Selon l’AFP, il doit comparaitre devant le T.G.I. de Paris en janvier prochain pour une agression contre une franco-tunisienne