@ l’auteur :
Un article très provocateur mais intéressant par les réactions qu’il suscite.
Je me permettrais de rebondir sur votre conclusion :
« Une pensée, un concept ultra minoritaire est-il donc obligatoirement faux ou mauvais ? »
Il l’est si soi-même ou quelqu’un d’autre a à en souffrir.
Dans le cadre de cet article, c’est l’enfant qui souffrira s’il n’est pas aimé. Cela a suffisamment été démontré.
Si vous voulez savoir si vous êtes vous-même dans le vrai, méditez cette maxime :
« ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fît »