Je crois qu’il serait de bon ton de recentrer le débat sur le sujet de cet article, à savoir la gène que constitue le médiocre niveau d’anglais des businessmen coréen qui est pour la plus grande partie du aux sons employés dans leur langue maternelle.
En effet, ils ont du mal à reproduire les sons présents dans d’autres langues car ceux-ci sont totalement absent du coréen, leur cerveau a donc du mal à les distinguer.
De manière à remédier à ce problème, il serait donc bon de les faire apprendre de l’anglais plus jeune, de manière à ce que leur cerveau prenne en compte ces sons et la structure des phrases de l’anglais. Mais vu la vitesse à laquelle ce pays a été capable de développer son niveau d’éducation je doute que ce problème perdure longtemps.
Et épargnez nous, s’il vous plait, votre parano sur la domination hégémoniste et assoiffée de sang de l’anglais qui se repait de sa supériorité et se gausse de l’exploitation des autres langues, blah, blah, blah...