Quand on pense aux dégâts commis sur une foultitude d’animaux, par des humains complexés de leurs petits pénis (essentiellement des asiatiques, d’ailleurs), et leurs recettes de perlimpinpin (cornes de rhinocéros, pénis de tigres, de yaks, concoctions de serpent, l’os de tigre (très cher), la chair de certains singes et, plus récemment, la bile d’ours ou la soupe de nids d’hirondelles)., pour amplifier leur puissance sexuelle (à l’heure du viagra et du cyalis)
on attend avec impatience les pubs sur les procédés d’ « enlarge your brain » ; remboursés par la sécu...