En cachant mal ses visées partisanes, l’auteur prend ses lecteurs pour des naïfs en nous expliquant qu’il est en position de donner des leçons d’exemplarité républicaine.
A partir du moment où le gouvernement ne tient pas ses engagements de financer prioritairement et massivement les transports, en accédant aux demandes de l’opposition de gauche : il est donc logique qu’on refuse de s’associer à un tel projet.
L’auteur affecte donc de penser que le pouvoir UMP (qu’il soutient) est animé des meilleurs intentions républicaines. Mais il se contredit en affirmant que le projet du grand Paris est destiné à se substituer à une région (dirigée par ses adversaires politiques) ne répondant pas aux ambitions d’un président de la république en mal de résultats.
Qui croire ?