Il
faut le reconnaître, nous subissons les conséquences de 50 années
d’immigration insuffisamment régulée qui ont abouti à un échec de
l’intégration.
Il faut se réveiller. Pour voir ce qu’il a
produit. Il a marché. Il ne marche plus.
Nous ne devons pas
nous laissé intimider par la pensée unique.
Il est quand
même invraisemblable que des jeunes gens de la deuxième, voire de
la troisième génération, se sentent moins Français que leurs
parents ou leurs grands-parents.
Tous ici vous pourriez en
porter témoignage. Tous. Tous vous avez des exemples. Pourquoi ne le
dit-on pas ? On a peur ? Ce n’est pas ce constat qui fait
peur, c’est la réalité. Nous n’avons pas le droit à la
complaisance en la matière.
Pour
réussir ce processus d’intégration, il faut impérativement
maîtriser le flux migratoire.
Avec un taux de chômage des étrangers
non communautaires qui a atteint 24% en 2009.
Nous
devons donc évaluer les droits et les prestations auxquelles ont
aujourd’hui accès les étrangers en situation irrégulière. On ne
parle pas des étrangers en situation régulière qui ont
naturellement le droit à des prestations, ça serait un comble qu’il
en soit autrement !
Nous parlons des étrangers en situation
irrégulière. Une situation irrégulière ne peut conférer plus de
droits qu’une situation régulière et légale ! Là aussi, ce n’est
pas une affaire de majorité, de gauche ou de droite, de président
de la République ou de maire.