L’augmentation de la violence des jeunes me semble inversement proportionnelle à la perte de repères de notre société et en premier lieu à la diminution de l’autorité parentale, pour être plus précis de l’autorité paternelle.
Dans une société qui prône que le masculin est superflu voire qu’il représente le mal, la place du père est passé d’une toute puissance sans doute contestable à la situation d’un quasi-soumis s’il veut avoir la chance de voir grandir ses enfants.
Des enfants qui ne respectent pas une figure d’autorité dans la famille et qui n’apprennent pas dans la famille les règles de la vie en communauté n’ont aucune raison des les respecter en dehors du cercle familial.
Et n’en déplaise aux fémizistes, l’autorité paternelle ne pourra jamais être assurée par une femme .