Réclamer l’interdiction de la corrida, c’est condamner le toro à disparaître inéluctablement.
Réfléchissez-y et posez-vous la question de la survie de ce fauve venu du fond des âges, qui au final ne doit son existence qu’à la tauromachie. C’est elle qui lui garantit les espaces vierges dont il a besoin, et c’est la présence du toro qui préserve ces espaces de toute atteinte humaine. Personnellement je ne vais jamais voir de corrida mais l’idée de l’arène me gène moins que celle de la tuerie érigée en systéme.