Oui il doit rester un « fond » de corium dans la cuve mais le restant a formé plusieurs grosses boules compactes qui forent bien verticalement par gravité ; Dès lors, comment en mesurer correctement en surface l’activité neutronique qui est pourtant relevée (mais pas trop documentée) ?
En ce qui concerne le pilotage permettez-moi de rappeler que les Japonais disaient exactement la même chose avant l’accident.
La nature n’est qu’à moitié responsable de cette catastrophe qui est loin d’être maitrisée, l’homme et sa prétentieuse toute-puissance technologique a fait une bonne moitié de la route.