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Eolien 19 août 2011 23:59

@Aliciabx

« Il est des exemples récents qui montrent que les victimes d’hier soient parfois les coupables de demain »
Ce qui n’est pas le cas dans cette affaire, réponse à côté comme on dit...
L’art décrire pour ne rien dire...
Fascinant "


Il me semble que, oui, justement c’est bien le cas. DSK nous a été présenté comme quasiment coupable avant l’heure. Certain(es) voyant dans cette affaire le symbole d’un combat plus vaste encore que celui qui oppose une femme à un homme dans une affaire de moeurs qui semble avoir pris la posture d’une affaire criminelle. Le puissant contre le faible, le blanc contre le noir symbolisant les crispations même d’une société en proie au doute.
Or, dans un second temps, la plaignante nous a été désignée par le procureur lui-même, dont je vous rappelle qu’il est le représentant de la justice de l’Etat de New-York, celui-là même qui a engagé les poursuites contre DSK, comme une plaignante dont le témoignage serait décrédibilisé.

Aussi, si vous pensez, encore, que DSK est toujours présenté comme le coupable qu’il a été et que sa plaignante serait toujours la victime qu’elle a dit être, je crois, Madame, que votre sens de l’observation est quelque peu défaillant ou alors, mais j’en doute, que nous ne lisons pas les faits de la même façon.

Mais peut être (sans doute ?) DSK ne peut pas être autre chose, à vos yeux, que ce coupable idéal, symbole d’une certaine idée du masculin ?



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