« les Français préfèrent largement une contraction forte des dépenses à une nette augmentation des impôts (85% contre 12%) »
La question du sondage est déjà mal posée, elle demande, parmi deux solutions, laquelle on préfère. Cela admet implicitement, d’une part, que la dette est légitime, et d’autre part, qu’il faut la rembourser… Ce qui est vraiment la question centrale…