Qu’est ce que le GIEC ?
Le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) est une organisation créée par l'ONU en 1988. Réunissant un panel de scientifiques désignés par leur gouvernement, ses statuts indiquent qu'il "a pour mission d'évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d'ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au changements climatique d'origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d'éventuelles stratégies d'adaptation et d'atténuation. Il n'a pas pour mandat d'entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l'évolution des variables climatologiques ou de d'autres paramètres pertinents. Ses évaluations sont principalement fondées sur les publications scientifiques et techniques dont la valeur scientifique est largement reconnue."
Par conséquent,le GIEC prend d'emblée comme point de départ un volet d'une controverse scientifique non réglée à ce jour, à savoir que le réchauffement du climat est une catastrophe due aux émissions de gaz à effet de serre (dont le CO2 et le méthane), et principalement aux émissions d'origine humaine.
Ce qui appelle les remarques suivantes :
- Le GIEC n'étudie pas le changement climatique,mais "les risques liés au changement climatique d'origine humaine". La conclusion de ses travaux est donc déjà dans l'intitulé de ses missions. Malgré ce qu'il dit, le GIEC prend parti dans le débat scientifique.
- En matière d'évaluation, il s'agit avant tout d'une compilation d'informations sur ce sujet,visant, dans les faits, à éliminer toute théorie déviante par rapport au parti pris de départ. Tous ceux qui ont tenté au sein du GIEC d'apporter une analyse critique se sont vu désigner la porte de sortie.
- Et pourtant, le Giec ne se revendique pas comme un centre de recherche ou même un observatoire de la réalité des résultats des recherches. Il n'en a pas besoin, puisqu'il a déjà la réponse.
- En revanche, il se fixe la mission "d'envisager d'éventuelles stratégies d'adaptation et d'atténuation" du changement climatique d'origine humaine. Il a donc pour fonction de conseiller les gouvernements et même leur enjoindre d'appliquer telle ou telle politique. (d'ailleurs les membres du GIEC n'y sont pas au nom de leurs compétences sur ce sujet, mais désignés par leur gouvernement).
- Une partie importante de la communauté scientifique considère et véhicule l'idée que le GIEC est LA référence incontestable.
Mais malgré les apparences, les hypothèses "validées"par le GIEC et la méthode qu'il emploie sont beaucoup plus largement critiquées que l'on ne le croit et que ce que les médias officiels veulent bien faire passer. Parmi ces scientifiques critiques, citons l'entretien publié par le New York Times, avec Freeman Dyson (1) : "la science ce n'est pas une question d'opinion, elle s'appuie sur des faits. Concernant le réchauffement climatique, Dyson réclame davantage de données. Ce à quoi la plupart des spécialistes lui répondent qu'on ne peut plus perdre de temps pour agir. Dyson explique que le problème se réduit finalement à "une profonde différence de valeurs"entre, d'un côté, ceux qui estiment que "la nature sait mieux que tout le monde" et que "toute grande perturbation humaine de l'équilibre écologique est un crime", et, de l'autre côté, les "humanistes", qui affirment (comme lui) que la protection de la biosphère est moins importante que la lutte contre des fléaux autrement plus désastreux, tels la guerre, la pauvreté et le chômage. Freeman Dyson a toujours fermement rejeté l'idée d'un éco-système idéal. -"La vie s'adapte en permanence"déclare t-il. Il déteste également l'idée que les êtres humains ne feraient pas partie de la nature et que nous devrions "nous excuser d'être humains". Les hommes , poursuit il, ont le devoir de modifier la nature pour survivre. Cela explique peut-être pourquoi l'homme qui écrit que "nous vivons sur une planète fragile que notre manque de vision à long terme est en train de transformer en bidonville. "se permet également de se moquer des américains qui manifestent à Washington contre le charbon. Si Dyson aime tant le charbon, c'est essentiellement pour une raison : cette ressource est tellement bon marché que la plupart des habitants de la planète peuvent y accéder. "Il est tout à fait vrai que les écologistes sont généralement des hommes et des femmes qui n'ont jamais eu à se faire du souci pour leur note d'épicier"explique-t-il. Pour Dyson "le passage des populations chinoises et indiennes de la pauvreté à la prospérité des classes moyennes serait la plus grande victoire de ce siècle.
Mais cela ne sera pas possible sans le charbon. "Cela dit, Dyson considère le charbon comme un simple relais du progrès. "Dans une cinquantaine d'années", quand l'énergie solaire sera devenue abondante et bon marché, "il y aura beaucoup de bonnes raisons de la préférer au charbon. "Dyson affirme que c'est uniquement par principe qu'il s'est intéressé au problème du réchauffement climatique. "Selon les apôtres du réchauffement climatique, je suis payé par l'industrie pétrolière. C'est évidemment faux, mais cela fait partie de leur rhétorique. "Le réchauffement climatique"est devenu un positionnement idéologique."
(1) Freeman Dyson est considéré comme un génie des mathématiques. Après avoir côtoyé les plus grands esprits de son temps -Albert Eistein, Richard Feynman, Niels Bohr ou Enrico Fermi- il a produit des travaux révolutionnaires pour le monde de la physique en unifiant les théories quantique et électrodynamique.
Citons également Vincent Courtillot, géophysicien,responsable de l'institut de physique du Globe de Paris, qui déclare sur la radio française France Inter (7 décembre 2009) : "Quand on dit qu'on est sûr de ses conclusions (c'est-à-dire le réchauffement climatique du à l'homme) à 90%, ce qui est la conclusion finale des rapports du GIEC pour les décideurs politiques, eh bien,on dit quelque chose qui est très au delà de ce qu'on peut affirmer. L'hypothèse du réchauffement climatique est plus que raisonnable, je la partage.Il y a un réchauffement, et encore,il faudrait préciser lequel. Sa source est moins évidente. Que ça soit l'homme à cause du gaz carbonique est une hypothèse très intéressante, elle n'est pas démontrée. Nous pensons, nous, que c'est le soleil qui pour l'instant est responsable de l'essentiel de ce réchauffement, nous nous trompons peut-être." Courtillot poursuit : "Que ce soit nous ou quelques-uns des scientifiques du GIEC qui se trompent, ce domaine n'est pas encore sûr à 90%. Ce n'est pas raisonnable d'avoir annoncé une telle certitude." Quant aux conséquences, elles aussi se discutent. Pour Courtillot, "le climat a toujours changé. L'homme n'a cessé de s'y adapter. Il y a 18 000 ans, nos ancêtres connaissaient un niveau de la mer qui était 120 mètres en dessous du niveau actuel et ils sortaient d'un âge de glace. Plus récemment, au temps des vikings, il faisait à peu près le même climat qu'aujourd'hui. Au temps de Louis XIV ou de Napoléon 1er, on pelait de froid. En tout cas ça changeait sans arrêt, il y avait beaucoup de froid. Aujourd'hui,depuis cent ans ça se réchauffe. Est-ce si dramatique que cela ?" Il poursuit : "mon domaine, ce n'est pas de savoir si c'est bien ou mal que le temps se réchauffe, c'est de savoir si c'est vrai ou faux(... ) Les gens qui disent que le débat est clos(..) se trompent. Ils se trompent pourquoi ? Quand,en sciences, dans un domaine aussi compliqué que le climat qu'on étudie depuis aussi peu de temps, on dit qu'on a tout compris et tout résolu et qu'il n'y a plus de débat, c'est qu'il n'y a plus de sciences et qu'on est passé dans le domaine de la religion."
51 réactions à cet article
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Je pense que l’on peut se demander si tous ces processus, organisations -on parlait récemment des nouvelles ampoules- n’ont pas pour but ultime de NOUS FAIRE CONSOMMER en changeant nos habitudes, isolant nos maisons, changeant de véhicule, renouvelant des appareils plus aux nouvelles normes ... ? La survie du système capitaliste actuel ne reposant plus que sur la consommation.
Lorsque l’on voit à quoi aboutissent les premiers changements, la réponse semble évidente.Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas modifier en particulier nos rapports avec la nature.
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Le GIEC n’est en rien responsable des décisions de nos politiques concernant les nouvelles ampoules, les agro-carburants ou autres décisions contre-productives. Il est juste chargé de fournir un état des lieux du climat terrestre et des perturbations qui en découlent. C’est la vision la plus objective que nous avons à ce jour.
L’article est dans la continuité des mauvais procès intentés au GIEC par les lobbies (pétroliers notamment) et les escrocs (Claude Allègre entre autres) qui souhaitent que rien ne change.
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Il est utile de présenter dans son intégralité ce qu’est le GIEC (http://www.ipcc.ch/home_languages_main_french.shtml) :
Conscients du problème que pourrait poser le changement climatique à l’échelle du globe, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) ont créé, en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Le GIEC est un organe intergouvernemental qui est ouvert à tous les pays membres de l’ONU et de l’OMM.
Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou d’autres paramètres pertinents. Ses évaluations sont principalement fondées sur les publications scientifiques et techniques dont la valeur scientifique est largement reconnue.
L’une des principales activités du GIEC consiste à procéder, à intervalles réguliers, à une évaluation de l’état des connaissances relatives au changement climatique. Le GIEC élabore aussi des rapports spéciaux et des documents techniques sur des sujets qui nécessitent des informations et des avis scientifiques indépendants et contribue en outre à la mise en œuvre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) par ses travaux sur les méthodes à appliquer pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre.
Le GIEC définit actuellement les grandes lignes du Cinquième Rapport d’Evaluation (AR5), qui paraîtra en 2014. Comme ce fut le cas dans le passé, les grandes lignes sont élaborées selon des modalités précises auxquelles doivent se conformer des spécialistes du changement climatique de toutes les disciplines et des utilisateurs des rapports du GIEC, en particulier les représentants gouvernementaux. Les grandes lignes seront présentées à la trente et unième Assemblée plénière du GIEC et aux sessions de ses trois groupes de travail, qui se réuniront à Bali, Indonésie, du 26 au 29 Octobre 2009.
Le GIEC est aussi en train d’élaborer deux Rapports spéciaux. Un Rapport Spécial sur “ Les Sources d’énergie renouvelables et les mesures d’atténuation du changement climatique” devrait être prêt en 2010. Le Rapport spécial sur la gestion des risques d’événements extrêmes et de catastrophes en vue d’une meilleure adaptation aux changements climatiques est aussi en préparation et va sortir en 2011.
L’auteur biaise de façon considérable à la fois ce qu’est le GIEC, ses travaux et ses objectifs, et met en avant un nombre volontairement extrêment réduit de contradicteurs du consensus scientifique international sans bien entendu présenter les éléments qui expliquent ce consensus.
La réalité est que les rapports du GIEC prennent en compte toutes les publications scientifiques reconnues, qu’elles aillent en faveur d’un rôle anthropogénique ou non sur le climat. Ces rapport sont ensuite soumis à de nombreuses phases de validation auprès des groupes d’experts nommés par l’ensemble des pays membres de l’ONU, puis approuvé par consensus par ces mêmes pays. On peut parfaitement discuter ces conclusions, tout comme de nombreuses personnes discutent la réalité de l’évolution des espèces par exemple, mais les rapports du GIEC sont basés sur une analyse consensuelle des publications scientifiques du moment, tout comme le consensus des publications scientifiques indique qu’il y a bien évolution des espèces vivantes.
Ensuite, l’interprétation politique de ces faits sont de la responsabilités des gouvernants, mais attaquer le thermomètre, même si celui-ci n’est certainement pas totalement précis en raison de la complexité du phénomène, revient à se mettre la tête dans le sable. -
@voltaire,
ce n’est pas de réciter la brochure publicitaire du GIEC
qui efface les errements de cet organisme, les soutiens pour le moins contre-nature dont il bénéficie et ses méthodes plus que douteuses pour faire taire la controverse.Si vous êtes dans une démarche de propagande, il est évident que vous allez rejeter tous les arguments qui vous seront présentés
mais si vous êtes simplement naïvement sincère,
alors reportez-vous à ce message du 30/10/2010 de l’auteur du forum du
SILENCE DES LOUPS (Décryptage d’un monde interdit aux moins de 16 dents)dont le titre est :
RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE ANTHROPIQUE : GIEC comme un doute…Voici une phrase-clé :
"On attend de la science qu’elle dissocie objectivement le vrai du faux et non qu’elle définisse de subjectives notions de bien et de mal en fonction desquelles elle ajusterait son distinguo entre le vrai et le faux."Ne le lisez pas en diagonal,
consultez les liens,
consultez les renvois vers ses précédents messages sur le sujet (le premier date de juin 2009)
et ne passez pas non plus à côté du lien vers le site de l’écrivain Jean-Paul Jody
et notamment du passage qui dresse le portrait des hommes impliqués dans cette propagande mondialiste.Voici de quoi mettre l’eau à la bouche du lecteur avide de vérité :
_____________________________MAURICE STRONG, l’homme de l’ombre.
Canadien. Important leader environnementaliste. Haut-fonctionnaire international. Conseiller spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, vice président du WWF.
Il a été directeur de la Fondation du Forum Économique Mondial de Davos, à l’origine des Sommets de la Terre, d’où vient la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique. Premier directeur exécutif du PNUE, l’ancêtre du Giec.
Administrateur de la Fondation Rockefeller, ami et partenaire de David Rockefeller. Conseiller de la Banque Mondiale. Partisan d’une gouvernance mondiale. Membre de la Commission trilatérale. Membre du Club de Rome. Membre du groupe de Bilderberg. Directeur de l’Agence canadienne de développement international, administration sœur de l’USAID, qui sert comme elle de paravent à la CIA. Maurice Strong est aussi adepte du « New-Age » et membre de l’Église de Scientologie. Coprésident du Forum économique de Davos et proche conseiller du directeur de la Banque mondiale.
_________________________________La conclusion de l’auteur du Silence des Loups :
"Soyons écolos dans nos actes et dans ce que nous enseignons à nos enfants.
Mais n’abandonnons pas notre démocratie aux mains de ces félons qui veulent imposer leur dictature à la planète entière .«En temps que lecteur régulier de son »blog", je peux vous assurer que sa sincérité ne fait aucun doute...et que ses analyses s’appuient sur des recherches et des recoupements extrêmement factuels.
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@Alpo47
Surtout ne changez rien. N’isolez surtout pas votre maison, continuer de consommer autant d’énergie que vous voulez mais vous risquez de connaitre des lendemains qui déchantent. Le capitalisme ne doit sont existence qu’au pétrole et autre énergie fossile. Dans les 50 ans qui viennent (et avec 50 ans je suis optimiste) les énergies fossiles (nucléaire compris) auront quasiment disparu de la surface de notre terre. La taxe carbone qui était anticonsommatrice à été rejeté par la majorité des français. La croissance du PIB c’est fini pour toutes les puissances occidentales. Notre pouvoir d’achat va se réduire pour être diviser par 3 ou 4 car il n’y a plus de ressource ! Les subprimes, la crise de la dette toutes les crises depuis l’an 2000 ont toutes en partie pour origine l’augmentation du prix de l’énergie.
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@Voltaire, pour l’éclairer de mes Lumières....
Je suis en train de lire (in english, with my big Harraps Shorter) l’ouvrage de Donna Laframboise que j’ai acheté pour quelques euros en version PDF (the delinquent teenager - vous trouverez le lien dans mon article « Pourquoi le GIEC n’est pas crédible » sur
http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/2012/01/12/pourquoi-le-giec-n%e2%80%99est-pas-credible/#more-6171 ).
Donna Laframboise a effectué un excellent travail de journaliste d’investigation sur le GIEC.Je n’en suis qu’à la page 30, mais voici ce que j’ai déjà appris :
-Pachauri clame sur tous les toits que le GIEC n’utilise comme sources que des publications dans des revues à comité de lecture : c’est faux !.... Plus de 30% des sources proviennent de littérature grise, et 21 chapitres sur 44 ont très peu de sources peer-review.
- Pachauri clame urbi et orbi que le GIEC n’utilise que les meilleurs spécialistes mondiaux dans leurs domaines respectifs : c’est faux !... Comme le GIEC est construit sur une base d’équilibre entre 113 pays et sur le respect de la parité homme-femme, il y a nombre de contributeurs de seconde zone, dont plus de 20 sont des étudiants n’ayant ni terminé leur thèse, ni publié.
- Le GIEC est infiltré par des scientifiques activistes
- Les contrôles des modèles numériques sont faits par les modélisateurs, qui bénissent leur excellent travail et gardent leurs jobs....
- Aucune transparence dans le processus de sélection des contributeurs.
- Aucun processus interne de contrôle qualité -
@ Voltaire
Vous présentez la surface des choses, qui laisse croire que le GIEC est parfait, qu’il n’utilise jamais de littérature grise, que tous les contributeurs sont les meilleurs experts mondiaux dans leurs domaines respectif, que l’accès aux données est libre et transparent, ...
Or, quand on regarde l’intérieur du GIEC, son vrai fonctionnement n’est vraiment pas joli à voir.
Vous pouvez acheter pour quelques euros le livre de Donna Laframboise en version PDF. Peut-être cela vous ouvrira-t-il les yeux ?
Voici le lien :
Bonne lecture !... -
Il faut faire confiance aux scientifiques, lorsqu’ils ne sont pas manipulés par des intérêts économico-militaro-politiques !Le GIEC est une honte. Honte ! Honte ! Honte !
HONTE !
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Le GIEC est uniquement là pour faire accepter au gens que tout est de leur faute et qu’ils doivent donc payer avec le sourire...
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Pouvez-vous nous donner la liste de ces scientifiques « incompétents » qui siègent au GIEC ?
Quant à ces pétitions, l’immense majorité des signataires ne sont pas scientifiques, ou scientifiques dans des domaines sans aucun lien avec le sujet, et bien sûr, de nombreuses personnes ont des intérêrets évidents à déconsidérer des analyses qui indiquent un effet négatif de leur industrie... -
@ Alain Colignon et @tous (sauf sans doute chria, que cela risque de trop énerver...)
Bonjour,
Vous pouvez acheter, pour quelques euros, la version PDF de l’ouvrage de Donna Laframboise « The Delinquent Teenager Who Was Mistaken Top Climate Expert ».
Vous y trouverez pas mal de réponses à vos questions sur le GIEC et ses graves dérives.
Voici le lien : -
le plus sidérant, c’est qu’il se trouve encore des gens pour y croire.
Allez donc consulter le site de Mr. MacIntyre,ou bien tentez de lire le Jesus papier,pour savoir comment fonctionne le GIEC, et ses équipes de scientifiques irréprochables, et reconnus mondialement.
Dans le rapport Weggman(à l’initiative d’une commission du congrès US) on en parle comme d’une clique,qui bien qu’ayant en anglais une signification bien moins péjorative, est en français particulièrement bien adapté-
Yes, my dear : the english name is « the team ». Maybe « the firm » would be more appropriate ????
Best Regards -
L’effet de serre par le CO2 est majoritairement dû aux activités humaines. Il ne faut évidemment pas oublier le résultat des activités volcaniques.
Les Républicains américains ne veulent pas de limitation à la pollution par leurs industries.Aussi demandent-ils à des lobbies de contester les climatologues. Certes, les rapports de ceux-ci peuvent contenir des inexactitudes, qui ne remettent toutefois pas en question les conclusions générales. Les négationnistes de tout poil sont à la manoeuvre, ils reprennent les mêmes techniques que celles utilisées pour contester l’existence des chambres à gaz du génocide des Juifs.Il est effarant de constater que de nombreuses personnes se laissent rouler dans la farine.-
Il serait peu être temps de se réveiller. Cela fait maintenant 10 ans que l’on enregistre des températures au dessus des normales saisonnières quasiment en longueur de temps. Les températures relevés un peu partout sur le globe depuis la fin des années 90 sont conforme au PIRE scénario envisagé par le GIEC. Et ne me sortez tous les peudos arguments des climatos sceptique, activité solaire, méthodes de correction des thermomètres, pluton qui se réchauffe ou encore les pseudos pétitions type OREGON qui n’est qu’une vaste fumisterie ou n’importe qui pouvait la signer et que si on renseignait un cursus scolaire de Bac +5 ou plus il était classé dans la catégorie « sceintifique » et vous trouvez donc des scientifiques en communication parmi les signataires !
De toute façon du pétrole il n’y en a aura bientôt plus. En ce début d’année le litre de super viens de battre son record de prix à la pompe alors que la dernière fois qu’il a été aussi cher c’était en 2008 juste avant la crise financière. Depuis la croissance est anémique et la demande faible mais les prix continuent de grimper. Le pic de pétrole conventionnel à été passé en 2006 on est sur le plateau de l’offre et la demande grâce au pétrole non conventionnel mais d’ici 2015 les productions de non conventionnel et de conventionnel n’arriveront pas à satisfaire la demande mondiale.
Mais le point de non retour à de toute façon certainement déjà été franchi, c’est plus maintenant qu’il faut essayer de repenser nos économies. c’était il y a au moins 10 ans. Au mieux on se prendra 2 à 4° de plus mais on se dirige plus vers un +6 à +8°.
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Cela fait maintenant 10 ans que l’on enregistre des températures au dessus des normales saisonnières quasiment en longueur de temps. Les températures relevés un peu partout sur le globe depuis la fin des années 90 sont conforme au PIRE scénario envisagé par le GIEC. Et ne me sortez tous les peudos arguments des climatos sceptique, activité solaire, méthodes de correction des thermomètres, pluton qui se réchauffe ou encore les pseudos pétitions type OREGON qui n’est qu’une vaste fumisterie ou n’importe qui pouvait la signer et que si on renseignait un cursus scolaire de Bac +5 ou plus il était classé dans la catégorie « sceintifique » et vous trouvez donc des scientifiques en communication parmi les signataires !
De toute façon du pétrole il n’y en a aura bientôt plus. En ce début d’année le litre de super viens de battre son record de prix à la pompe alors que la dernière fois qu’il a été aussi cher c’était en 2008 juste avant la crise financière. Depuis la croissance est anémique et la demande faible mais les prix continuent de grimper. Le pic de pétrole conventionnel à été passé en 2006 on est sur le plateau de l’offre et la demande grâce au pétrole non conventionnel mais d’ici 2015 les productions de non conventionnel et de conventionnel n’arriveront pas à satisfaire la demande mondiale.
Mais le point de non retour à de toute façon certainement déjà été franchi, c’est plus maintenant qu’il faut essayer de repenser nos économies. c’était il y a au moins 10 ans. Au mieux on se prendra 2 à 4° de plus mais on se dirige plus vers un +6 à +8°.
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Je propose à l’auter de l’article et à tous ceux qui semblent avoir un avis sur la questions de faire comme moi :
1- suivre une formation scientifique pour acquérir la méthode rationnelle de la science
2- étudier les récents livres écrits par les scientifiques du CNRS eux-mêmes, et non pas par des mathématiciens ou physiciens qui n’y connaissent rien (comme moi ), à savoir :
- Climat : le vrai et le faux de Valérie Masson-Delmotte
- Climat : une planète et des hommes : Quelle influence humaine sur le réchauffement climatique ?Erik Orsenna, et al- Le climat à découvertCatherine Jeandel, Rémy MosseriJe suis en train de lire ces livres, ils sont passionnants et présentent la science du climat de façon objective. Parlons en connaissance de cause, sinon abstenons-nous ! Il n’y a pas de honte à dire qu’on ne sait pas, mais de la prétention à croire faussement qu’on sait.
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A ceux que ma précédente proposition (neutre) d’apprendre la méthode scientifique et de lire les ouvrages des scientifiques du climat eux-mêmes ne plaît pas, je leur dirai de rendre leurs ordinateurs, portables, chauffage, voiture, etc... Sans la science, vous en seriez encore à l’obscurantisme du Moyen-Âge !
Le rationnalisme, le cartésianisme, sont la base de notre civilisation. Si vous remettez tout cela en cause, vous vous élevez contre les Lumières, la démocratie, la raison humaine, le progrès scientifique et technique ... Est-ce que vous souhaitez ? Attention, lisez moi bien,je n’ai pas pris partie dans le débat, j’ai juste appelé à ce que les gens s’éduquent sur la question avant d’émettre un avis qu’ils pourraient peut-être regretter par la suite (dans un sens comme dans l’autre).
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Trop fort de critiquer le GIEC, et de mettre dans l’autre plateau de la balance... les Courtillot et autres Allègre, qui sont des charlots pour toute la communauté scientifique !
Procès d’intention en sorcellerie, qui fait le jeu des lobbies des compagnies pétrolières, et autres irréductibles du « la nature s’adapte, gnagnagna... » alors qu’il suffit de constater LES FAITS pour s’apercevoir que les conclusions et prévisons du GIEC s’avèrent INDUBITABLES.D’accord avec ce commentaire de Politeia :Par Politeia (xxx.xxx.xxx.151) 19 janvier 10:46Il serait peu être temps de se réveiller. Cela fait maintenant 10 ans que l’on enregistre des températures au dessus des normales saisonnières quasiment en longueur de temps. Les températures relevés un peu partout sur le globe depuis la fin des années 90 sont conforme au PIRE scénario envisagé par le GIEC. Et ne me sortez tous les peudos arguments des climatos sceptique, activité solaire, méthodes de correction des thermomètres, pluton qui se réchauffe ou encore les pseudos pétitions type OREGON qui n’est qu’une vaste fumisterie ou n’importe qui pouvait la signer et que si on renseignait un cursus scolaire de Bac +5 ou plus il était classé dans la catégorie « scientifique » et vous trouvez donc des scientifiques en communication parmi les signataires !
LES FAITS MONTRENT, sans aucune espèce de contestation possible, que le réchauffement planétaire, depuis 10 ans, et pire chaque année, est une RÉALITÉ : largement constatable sur l’ensemble de la planète ; et que la part anthropique de ce réchauffement ne saurait être niée que par ceux à qui ça profite, ou qui ont intérêt à ce que ça continue, pour leurs profits personnels.
D’accord également avec :
Par JC (Exether) (xxx.xxx.xxx.138) 18 janvier 13:49Le GIEC n’est en rien responsable des décisions de nos politiques concernant les nouvelles ampoules, les agro-carburants ou autres décisions contre-productives. Il est juste chargé de fournir un état des lieux du climat terrestre et des perturbations qui en découlent. C’est la vision la plus objective que nous avons à ce jour.
L’article est dans la continuité des mauvais procès intentés au GIEC par les lobbies (pétroliers notamment) et les escrocs (Claude Allègre entre autres) qui souhaitent que rien ne change.
A chaque fois que je lis un article de ce genre, je me demande si l’auteur est réellement dupe, ou partisan fanatique des théories du complot, ou carrément à la solde des lobbies pétroliers, et/ou industriels ? .
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Sisyphe
pourquoi ne pouvez vous pas comprendre qu’un texte ou un commentaire correspond tout simplement à ce que pense le rédacteur, compte tenu de son référentiel de connaissance ?
Vous faites trop facilement un procès d’intention en imaginant qu’un commentaire qui ne correspond pas à ce que vous pensez (compte tenu de votre référentiel de connaissance) est le fait d’un rédacteur suborné par un groupe de pression.
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@ pissefroid
le procès d’intention premier n’est pas de mon fait, mais bien de celui de l’auteur, vis à vis du GIEC.Quand on doit évaluer la « qualification » d’un organisme regroupant des centaines de scientifiques du monde entier, et qu’on n’a pas, soi-même, la compétence scientifique pour le faire, le seule référence OBJECTIVE à laquelle on puisse se fier, est celle DES FAITS.Or, les faits montrent que les analyses et prédictions du GIEC s’avèrent, année après année, absolument avérées.Et que les dénégateurs n’ont ni la compétence, ni la qualification, ni les données,ni les éléments OBJECTIFS pour étayer leur argumentation (et pour cause), outre le fait qu’ils ne sont qu’une poignée dans la communauté scientifique.Le réchauffement planétaire est UN FAIT ; prouvé, constaté, irréfutable, dont les effets se manifestent concrètement, jour après jour. La part de l’origine anthropique de ce réchauffement est, elle aussi, indiscutable.Ne s’élèvent contre cette donnée scientifique que, je l’ai dit ; soit des partisans paranoïaques de la théorie du complot : ceux qui voient la main invisible du « N.O.M. » dans chaque organisme officiel, - soit des charlots à la Courtillot ou Allègre qui font rire la communauté scientifique dans son ensemble, - soit les lobbies pétrochimiques ou industriels, qui ont intérêt à dénier la réalité pour que rien ne change de leurs colossaux profits à leur pollution systémique.Et pourtant, elle se réchauffe...2010, année la plus chaude de l’histoireC’est ce que confirme l’Organisation météorologique mondiale, qui y voit une tendance « significative » au réchauffement à long-terme.Le procès d’intention n’est donc pas de mon fait. -
Bigre il n’ a pas fallu longtemps pour que ceux qui doutent des causes « anthropiques » du changement climatique soit assimilés aux négateurs des crimes nazis. Encore un indice du caractère religieux et dogmatique d’une certaine « écologie politique ». Nous sommes tous de pauvres pêcheurs consuméristes menacés d’apocalypse climatique parce que nous faisons bobo à maman planète.Haro haro sur les hérétiques ,vils suppôts du diable productiviste.
Les membres du GIEC ne sont pas élus ou désignés par la communauté scientifique mais nommés par les gouvernements pour « évaluer les risques climatiques liés aux activités humaines » -peu de chances donc que facteur humain du changement climatique soit sous évalué ..ça se comprend.Bien des scientifiques ont cessé de collaborer avec le GIEC : John Christy,Madhav Khandékar,Christopher Landsea, Hajo Smith...Tous des farfelus ou des vendus ?Sacré lobbys ils sont partout .Rajendra Pachauri -directeur du GIEC n’a t-il pas des intérêts solides dans le business du « développement durable » à la tête de la Tata organisation ?Je m’interroge surtout sur la diabolisation du gaz carbonique déclaré « gaz politiquement intéressant » (sic) depuis le rapport Brunttland pour l’ONU (1987).Peut être parce que -symbole de la révolution industrielle-il permet de stigmatiser l’activité humaine en tant que telle ( sans que l’on mette en cause forcément le mode de production capitaliste)-il est vrai que nous sommes toujours menacés par la « taxe carbone » et que le trafic et la spéculation sur « les droits d’émission carbone » (crédits carbone) permet de gagner des milliards en fermant des usines et détruisant des emplois ainsi que l’a fait Laksmi Mittal récemment.Suis je corrompu par les lobbys ? Ils y pensent pas ces cons...pourtant l’achat d’électricité et de gaz n’a rien de glamour (c’est pas comme offrir un manteau de fourrure à une jolie femme) et je n’aurais rien contre une ristourne vu que ma facture de gaz-depuis qu’il y a des actionnaires à nourrir-a plus que doublée en 7 ans. Maintenant si des écolos veulent améliorer l’isolation de mon HLM je n’ai rien contre-avis donc aux lobbys qui veulent m’acheter (MDR !)-
Autant sont dommageable les raccourcis débiles de certains, autant les sceptiques actuelles n’ont plus rien à envier dans leur dogmatisme aux fanatiques verts.
La science est prise en otage par cette guéguerre idéologique, et vu que personne n’est parfait, tout n’est que manipulation des esprits de part et d’autre.D’ailleurs je lis plus dans votre article une diatribe anti-écolo qu’autre chose. A défaut de combattre la science, il est plus facile de tomber dans le complotisme.Il n’empêche que personne à l’heure actuelle ne peut démontrer qu’envoyer une quantité massive de GES dans l’atmosphère sur le long terme n’aura aucun incidence sur son fonctionnement. -
For the Godwin Point..the winner... is......... BRUENOR !!!!
Sans rire, vous devriez faire de la politique, se poser en victime dès qu’il y a la moindre contestation au lieu de contre argumenter c’est une spécialité de nos hommes politiques.
Faudra juste me trouver l’intérêt des gouvernements à nous vendre un réchauffement d’origine humaine !
Regardez l’intérêt que porte les gouvernements aux différents congrès internationaux sur l’environnement depuis Kyoto et vous comprendrez qu’il est quand même difficile de croire que c’est ces mêmes gouvernement qui pilote le GIEC.
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@Politeia
Tout dépend de la manière dont les données d’observation sont présentées. T est monté de +0,7°C depuis 1850, de manière non linéaire et rarement en phase avec le taux de CO2, sauf sur la courte période 1980-1998, ce qui est insuffisant pour en déduire une relation de causalité CO2--->T. Depuis 1999, donc depuis 13 ans, T est stable. Donc, toute température moyenne annuelle de ce plateau est supérieure aux températures enregistrées depuis 1850, c’est exact, mais cette façon de présenter les faits est manipulatoire, car elle laisse croire que T continue à augmenter, ce qui est faux.
Voyez les courbes sur :-
Je vous propose un autre graphique que celle que vous m’avez faites en supprimant les corrections.
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@politeia
J’ai vu votre lien : sur une aussi longue période, il est clair que l’on ne perçoit pas bien le plateau de T depuis 1999. Par contre, je suis sûr que vous avez remarqué que les pentes d’augmentation de T sur 1910-1940 et 1980-1998 sont identiques. Dans le premier cas, le taux de CO2 a très peu augmenté, dans le second cas son augmentation a été significative.
Pourquoi une augmentation de T à taux de CO2 à peu près stable ? Est-ce que, par hasard, il n’y aurait pas de relation de causalité CO2--->T, sachant qu’une telle relation de causalité est toujours une hypothèse audacieuse du GIEC qui n’a jamais été prouvée de quelque manière que ce soit ?.... -
@Politeia
« 2010, année la plus chaude de l’histoireC’est ce que confirme l’Organisation météorologique mondiale, qui y voit une tendance »significative" au réchauffement à long-terme.
Hé bé, l’OMM a du culot de nous sortir une telle ânerie !...
T était plus grande que de nos jours pendant l’Holocène, l’Episode Romain et l’Optimum Médiéval. Sans compter les périodes bien plus chaudes dues aux cycles de Milankovich.
Dans cette affaire, l’OMM joue un jeu trouble en faveur du catastrophisme climatique...-
@jeanpierre bardinet : sur votre premier message vous êtes complétement décrédibilisé puisque ce que vous montrez (la relation binaire et linéaire entre CO2 et temp) n’a rien à voir avec la physique de base de l’action des GES sur l’atmosphère. Et c’est un système complexe non d’un bonhomme. Vous faites quoi des autres facteurs ?
Le pire c’est que vous le savez.Le manipulateur c’est vous.Par contre sur l’OMM c’est sûr que c’est (encore une fois) du grand n’importe quoi, sauf s’ils veulent bien redéfinir ce qu’est l’histoire...Disons que depuis le début des mesures, oui c’est sûr.Mais ce n’est pas une erreur de com qui va remettre en cause la science.Bah il ne reste plus que ça... On rigole.Sur le Giec cela montre bien aussi que les sceptiques sont complètement à cours d’argument en ce moment, quand on a AUCUNE étude scientifique qui remettent en cause l’idée générale et bien on verse dans le complotisme, rien de tel pour attirer les naïfs et ceux qui pensent que tenir le bar rend plus intelligent que de se taper la littérature scientifique. -
C’est vrai qu’au temps du Carbonifère les sociétés d’insectes géants ont parfaitement su s’adapter au réchauffement ou au refroidissement de l’atmosphère, ouf, on a rien à craindre, on peut péter tranquille !=) -
@chria
J’ai parlé de phase T et CO2, donc de covariation occasionnelle. Je n’ai pas parlé de lien entre le taux de CO2 et T. Et covariation sur moins de 20 ans ne veut pas dire relation de causalité, d’autant que c’est la seule période de covariation significative que l’on connaisse, dans l’état actuel de nos connaissances. -
@chria
Allez voir l’introduction de ce billet sur le renversement de la preuve (texte de Serge Galam).
http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/2012/01/12/pourquoi-le-giec-n%e2%80%99est-pas-credible/#more-6171
Bonne lecture, et faites travailler vos petites cellules grises....-
Le catéchisme habituel résumé en une page...
Des arguments qui ont déjà été démonté un à un.A quoi bon les reprendre en plus ici ? La science se fait dans les labos, pas sur les blogs d’activistes.Un bel exemple de la technique de l’épouvantail, un cas d’école.Allez, associez-vous avec the fritz et soumettez votre article à Nature.Ah mince, j’oubliais... Le complot ! -
@chria
Ce qui est étonnant avec vous, c’est que les données d’observation diffusées par les institutions les plus crédibles (RSS, UAH par exemple) soient considérées comme fausses, alors que c’est tout l’inverse : ce sont les modèles qui sont faux. En science, quand un modèle est contredit par les données d’observation, on le met à la poubelle et on reprend tout à zéro. Dans le monde de la climatologie GIECquienne, on continue à défendre ses modèles qui sont faux, et on néglige les données d’observation qui dérangent. Curieuse manière de faire de la science, vraiment : le GIEC fait de la science fausse.
Par ailleurs, dès qu’une publication dérangeante paraît dans une revue à comité de lecture, vous la rejetez sans prendre la peine de l’analyser ou en essayant de la contester, le plus souvent en vain, et elle n’est jamais prise en compte par le GIEC, qui choisit les « bonnes publications », qu’elles soient avec peer-review ou grises.
Je vous rappelle que le GIEC est censé, comme il le clame sur les toits par la voix de son Président, se baser sur les publications avec peer-review. Or ’il ne respecte même pas cette procédure interne : 30% au moins des sources du GIEC sont de la littérature grise, et sur 44 chapitres, 21 ne sont basés que sur très peu de publications avec peer-review, donc non crédibles. De plus, quand un contributeur veut obtenir les données utilisées par un projet de publication non encore accepté, donc douteux, on les lui refuse et on menace de le virer...
Bel exemple de transparence et de respect des procédures !....
Vous pourrez continuer à déblatérer comme bon vous semble pour défendre un GIEC qui n’est pas défendable et un dogme qui ne l’est pas moins, votre crédibilité restera proche du zéro absolu.... -
@chria
Au fait, vous n’avez rien dit au sujet de la prose de Galam.
Mais peut-être met-elle trop en exergue le manque de preuves du GIEC et vous en restez coi, car le raisonnement de Galam est imparable ?
Alors, vous faites des manoeuvres de diversion pour éviter de répondre, cher Grand Manipulateur en Chef.... -
oups. voici la fin de ma réponse à Chria
Or, il ne respecte même pas cette procédure interne : 30% au moins des sources du GIEC sont de la littérature grise, et sur 44 chapitres, 21 ne sont basés que sur très peu de publications avec peer-review, donc non crédibles. De plus, quand un contributeur veut obtenir les données utilisées par un projet de publication non encore accepté, donc douteux, on les lui refuse et on menace de le virer... Bel exemple de transparence et de respect des procédures !... Vous pourrez continuer à déblatérer comme bon vous semble pour défendre un GIEC qui n’est pas défendable et un dogme qui ne l’est pas moins, votre crédibilité restera proche du zéro absolu....
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Est-ce que j’ai défendu une seule fois le Giec : non. Alors pourquoi dire cela ?
J’en ai juste marre de vos techniques nauséabondes, à quoi bon répondre puisque vous ne répondez vous jamais à rien.
Si, sur Galam il fait une grave erreur, il veut des preuves alors que dans tout science des systèmes la notion de preuve n’a aucun sens.
Bref la technique classique.
De toute façon la physique ne se jouant pas sur les blogs, on verra bien qui a raison, celui qui pense que les GES peuvent avoir une influence sur l’atmosphère, et celui qui blablate sur l’idéologie à longueur de temps.-
@chria
Vos réponses ne sont pas satisfaisantes.
Dans toute science physique, donc liée au réel, la preuve est fondamenale et nécessaire. Certes, le climat est un système extrêmement complexe, que nul ne maîtrise, et certainement pas le GIEC, mais une hypothèse faite sur un facteur précis nécessite d’être prouvée, ce qui n’est toujours pas le cas. Votre réponse au propos de Serge galam est donc nulle et non avenue.
Je suis très étonné de votre affirmation péremptoire selon laquelle je ferais de l’idéologie à longueur de temps. Je pose des questions, je cite des données d’observation, et je m’informe à partir des publications dans des revues à comité de lecture. Si pour vous cela est de l’idéologie, alors vous devriez revoir votre vocabulaire.
Par contre, vous faites de l’idéologie en défendant par tous les moyens, y compris les insultes et les insinuations perverses, la cause du GIEC et le dogme du RCA.
Nous verrons dans quelques années qui avait raison de ne pas croire à la propagande carbocentriste, quand Dame Nature aura démontré l’inanité des modèles numériques, ce qui aura fait éclater au grand jour les errances du GIEC. -
Encore un article écrit trop vite… Si vous aviez lu la synthèse du rapport 2007, vous y auriez vu que la thèse du réchauffement solaire EST prise en compte, contrairement à ce que vous affirmez un peu hâtivement. Le facteur entre le réchauffement dû au soleil et à l’homme est évalué à 1 pour 10 (page 49).Et l’énoncé que vous citez ne tranche PAS la question de savoir si le réchauffement est majoritairement dû à l’homme. Il évoque simplement l’existence d’une PART de réchauffement dû à l’homme (cette part n’est pas quantifiée). Donc, contrairement toujours à votre affirmation hâtive, le travail du GIEC n’est PAS à sens unique. Un tel reproche peut par exemple être adressé au NIST, dont le rapport sur l’effondrement des Tours Jumelles a ni plus ni moins écarté totalement une hypothèse (le NIST l’a admis). Le GIEC, lui, prend en compte l’hypothèse du soleil, donc tout va bien de ce point de vue. Il n’y a pas d’erreur méthodologique.Et de fait, le reproche de Courtillot n’est pas que le réchauffement solaire soit oublié, mais la non-prise en compte d’études donnant plus d’importance au soleil. Jouzel (du GIEC) estime pour sa part que ces études ont été démenties. Le débat est donc quantitatif et vous allez au-delà de ce que disent les détracteurs du GIEC.Enfin, quand Courtillot se plaint que les taux de certitude ne sont pas suffisamment mis en avant dans le résumé aux décideurs, c’est d’une extrême mauvaise foi puisque, si vous aviez lu la synthèse encore une fois, vous auriez vu qu’une pleine page (page 37) est consacrée à la définition des termes exprimant les taux de certitude (« Pratiquement certain », « très probable », etc.), termes qui tout au long de la synthèse seront mis en italique. C’est donc peu dire qu’un soin particulier a été apporté à pondérer chaque affirmation. Ces taux de certitude sont présents également dans le résumé aux décideurs, plus court que la synthèse. On se demande quelle mouche a piqué Courtillot.Par pitié, lisez les documents dont vous parlez !Notez bien que je ne tranche pas sur le fond : je ne suis pas scientifique et n’ai pas l’expertise nécessaire. Simplement, j’ai écouté Courtillot et Allègre ainsi que leurs contradicteurs (Raymond Pierre-Humbert par ex.).L’argument habituel de l’exploitation politicienne du travail du GIEC est nul et non avenu puisque cette exploitation est à l’heure actuelle, à peu près nulle. Hormis, donc, rassurer (faussement) l’opinion publique en se donnant un vernis écologique (sans contenu). Il ne sort aucune mesure concrète du GIEC. Le marché du carbone a immédiatement exonéré les principaux pollueurs et le cours du CO2 est si bas que cela vide la mesure de son sens (comme un impôt de 0,00000001 %…).Quant aux opposants du GIEC, ils avancent masqués : Courtillot et Allègre finissent par reconnaître, lorsqu’on les écoute suffisamment, qu’ils craignent pour l’économie. Or, c’est d’une insondable naïveté car les politiques se fichent éperdument du climat et ne veulent pour rien au monde casser l’économie ! Comme on le voit : ils ne font rien.J’estime cependant qu’il est une excellente chose qu’il existe un débat et des contradicteurs, en tout domaine.-
Votre réponse au propos de Serge galam est donc nulle et non avenue.
?
et je m’informe à partir des publications dans des revues à comité de lecture
?quand Dame Nature
pas besoin d’aller plus loin-
En plus qui en a foutre de mes réponses non satisfaisantes, tout comme qui en a à foutre de vos réflexes ?
Arrêtez de vous prendre pour le centre du monde, celui-ci va à sa mesure, et le CC n’est qu’une pression de plus (RCA ou non) à ajouter.
J’ajoute que pour moi ça n’a pas de grande importance sur nos sociétés sur le court et moyen terme.
Alors pourquoi tant de haine face à un fait sans conséquence ?
=> combat d’arrière garde, idéologie débile.-
@ Alain Colignon
Vous avez raison, et, de plus, la constitution du GIEC suit les règles politiques de l’ONU : participation de 113 pays (tous doivent être représentés) et parité homme-femme.
Peu importe qu’alors le GIEC compte nombre de seconds ou troisièmes couteaux, pourvu que les règles de l’ONU soient satisfaites... et cela présente l’avantage de pouvoir faire aisément passer des choses pré-établies, comme le rôle pivot du CO2.... -
Les GES anthropiques sont en partie responsables de l’augmentation de température mesurée depuis plus d’un siècle et l’envoi massif de GES aujourd’hui et dans le futur continuera à perturber l’atmosphère et à provoquer un réchauffement.
Aucun scientifique n’a pu remettre en cause cela, et actuellement aucun scientifique qui s’est déclaré sceptique ne dit le contraire. Tous ont accepté le fait que les GES ont un rôle.
Les seuls qui se plaignent à coup d’arguments infondées sévissent sur internet, le seul lieu où on peut raconter n’importe quoi à longueur de journée.
On peut se demander pourquoi tant de haine face à un sujet scientifique ? Honnêteté intellectuel ? C’est franchement marrant. La technique de l’épouvantail étant constamment utilisé pour transformer les faits et détourner les regards.
Non tout n’est que politique et idéologie.Quant au Giec, il ne fait pas de la science.
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@chria
Vous devriez dire qu’aucun scientifique n’a prouvé à ce jour le rôle particulier que le GIEC attribue arbitrairement au CO2. Ce rôle particulier reste une hypothèse, et c’est au GIEC qu’il appartient d’en apporter la preuve irréfutable (et pas par des affirmations péremptoires, qui ne valent rien). C’est bien ce que dit avec raison Serge Galam, et c’est ce qui vous horripile.... -
Non, pas du tout, puisque dans tout système complexe on détermine le rôle de chacun des facteurs en terme de probabilité. On ne peut donc pas apporter de « preuve » déterministe. De plus, personne n’a jamais dit que les GES étaient le seul facteur de la variabilité climatique. Il s’ajoute avec les autres, tout simplement.
Bien sûr, il faut des modèles pour simuler tout ça. On peut les critiquer, c’est vrai. Ils ont du mal à simuler la variabilité naturel de court terme. Mais en fait cela ne change rien au résultat. Ca joue à la marge. Deux ou trois facteurs suffisent pour comprendre l’évolution de n’importe quel système à large échelle.Le problème, c’est qu’à l’heure actuelle, personne n’a pu apporter une autre explication que les GES dans la dynamique climatique de ces dernières décennies.
C’est ce que j’appelle le graal sceptique : mais on aurait déjà du le trouver. Il reste les petits hommes verts, une physique inconnue de l’univers, où je ne sais quoi.De plus, ce n’est pas le Giec qui fait la science. Il compile.
Donc, ce n’est pas à la science climatique d’apporter « la preuve » que les GES interviennent dans la machine climatique, puisque cela est déjà fait, mais bien aux dénégateurs de montrer que les GES sont sans effet.
Or c’est impossible avec la physique actuelle et en l’état des connaissances.Ce qui m’horripile c’est la manière dont les gens comme vous utilisent les mêmes arguments constamment alors que ceux-ci ont déjà été démontés.
Par ex, sur la relation CO2 -température, on compare une déglaciation qui fait intervenir des facteurs cosmiques dans le dégazage naturel de l’océan suite au réchauffement, alors que la situation actuelle n’a rien à voir : le CO2 provient des activités humaines...
A moins que vous ne vouliez remettre en cause la physique de l’effet de serre, mais là j’attends avec impatience votre article.
Soit ceux qui répètent cet argument sont complétement ignares, soit ils le font sciemment pour tromper le quidam.-
@chria
0) Encore faut-il avoir des éléments d’appréciation pour sortir une probabilité et il faut vérifier que les données d’observation sont en cohérence avec le modèle, ce qui n’est pas le cas ici. Dans le cas de figure où le modèle n’est pas conforme au Réel, il importe de revoir le modèle, ce qui n’a toujours pas été fait....
Je dirais à priori que l’influence du CO2 est sans doute marginale, Wood ayant prouvé que le modèle radiatif d’Arrhénius, repris par le GIEC, et réfuté par les physiciens du début du 20ème, est inexact. D’autre éléments vont en ce sens.
Et il n’y a toujours aucune preuve du rôle pivot du CO2. Il appartient toujours au GIEC de nous la trouver....
1) La petite montée de la moyenne des températures de 0,7°C depuis 1850 fait suite au Petit Age Glaciaire. Nombre de scientifiques considèrent que cette petite montée n’est en fait qu’un réajustement naturel du système climatique, ce qui est fort plausible.
2) Le CO2 ne peutt expliquer l’Optimum Médiéval, qui a eu lieu avec un taux de CO2 de 280 ppm, ni l’Episode Romain, ni l’Holocène.
3) La montée de T de 1910 à 1940 a eu la même pente que celle entre 1980 et 1998, mais à taux de CO2 quasiment constant.
4) Le GIEC compile, c’est exact, mais il n’a trouvé aucune publication dans un revue à comité de lecture qui prouve de manière irréfutable le rôle pivot du CO2. Donc, en toute logique, le GIEC n’aurait pas dû sortir une usine à gaz autour du CO2 comme moteur climatique central. Du reste, la saga de la courbe en crosse de hockey de Mann, qui est fausse, et qui avait pour but de faire disparaître l’OM (pas le club de Marseille !...) et le PAG, est significative d’un positionnement préétabli (qui n’existait pas dans le premier rapport, car l’OM et le PAG y apparaissaient clairement).
5) Si l’on ne connaît pas une cause, avant de prendre l’hypothèse CO2, le GIEC aurait dû regarder le passé, car les points 2, 3 et 4 (tout comme le point 0) posent problème et rendent l’hypothèse CO2 du GIEC très peu probable. Le GIEC n’a pris l’hypothèse CO2 que par défaut et n’a pas cherché d’autres causes. Des travaux récents amènent à réfléchir sur le rôle du soleil et des rayons cosmiques, sur les échanges dynamiques d’air et d’énergie, et sur les grands courants marins..... -
Ah bien voilà qui est déjà plus intéressant. Même si on doit être les deux derniers à lire ce fil, je tiens à répondre.
Je pense qu’à la base on a tous les deux un point de vue sur l’affaire : il est ainsi facile de se taxer mutuellement de dogmatique, puisque nous parlons d’un phénomène complexe. La seule bonne position pour se sortir de ce bourbier intellectuel est de faire preuve d’objectivité : votre position comme la mienne connaît de grandes zones d’ombre.
Pour revenir sur vos arguments, voici mon point de vue :
0) Les données d’observation sont utilisées pour alimenter le modèle. Vous affirmez que les modèles climatiques sont faux. Je trouve cela très étonnant puisque la grande majorité de la physique de l’atmosphère est bien comprise et que les modèles climatiques actuels (pas les scénarios du Giec) sont bons et simulent très bien l’évolution des températures depuis 1 siècle. J’aimerais quand même plus de détails de votre part.
Vous dites que la physique de l’effet de serre est fausse. C’est aussi très étonnant puisque cela voudrait dire qu’une grande partie de la physique serait fausse. Vous dites « je dirais que... » « sans doute »... en citant un gars... Tout cela semble très subjectif et contraire aux expériences.
Le rôle pivot du CO2 vient surtout du fait que le GES sont le seul facteur que l’on connaisse qui permet d’expliquer le Réel, comme vous dites (j’aime bien votre majuscule qui prouve une certaine connaissance en philosophie et phénoménologie, mais tout ça sent un peu le réchauffé, si je peux dire).
1) C’est une hypothèse par défaut, sans preuve si je peux encore dire. On pourrait très bien affirmer qu’il est plausible que ce soit la faute des petits hommes verts.
2) Qui a dit que le CO2 devait expliquer tout réchauffement historique ? Très bizarre comme affirmation. Vous l’avez inventé ?
3) Et alors ? Vous faites encore l’impasse sur les autres facteurs climatiques, et nous avons peu de données sur cette époque qui permettent de savoir avec exactitude pourquoi on a eu des montée et des descentes. On est par ex même pas encore capable de dire pourquoi on a eu une chute des temp de 1950 à 1980. Aérosols ? Arrêtez de vous focalisez sur le passé comme s’il était une fenêtre exacte du présent. N’oubliez pas non plus que le système est à chaque seconde dans une configuration unique. On ne compare pas des choux et des pendules.
4) Encore cette histoire de preuve sans queue ni tête.
Vous dites, les GES comme moteur central du climat : faux archi faux, c’est avant tout le soleil, et le Giec le dit très bien
Sur Mann, en dehors de la théorie du complot, certes il y a eu des couacs. Mais cela est rentré dans l’ordre. Est-ce qu’on vous ressort à tout bout de champs les bouquins débiles d’Allègre ? De plus la courbe de Mann reste une figure et non un élément de base de la science climatique.
5) Personne ne croit à par vous qu’on peut envoyer des doses massives de GES dans l’atmo sans que cela n’est d’effet. Et ce n’est pas quelques petites remarques sur la forme des courbes de températures passées qui vont vous donnez raison. La balance penche très fortement vers un rôle des GES, et non le contraire.
Quand aux autres facteurs (tient, là ils ressortent, comme c’est bizarre), ils ont contrairement à ce que vous dites été pris en compte, notamment le soleil (Courtillot s’étant fait botter le cul à l’académie des sciences sur le sujet d’ailleurs). Les rayons cosmiques agissent à la marge.
Par contre oui il reste à améliorer les modèles, mais le sens de la recherche montre qu’on est déjà sur la bonne voie et qu’il est très peu probable que tout soit remis en cause. Il faut arrêtez de faire croire qu’on ne sait rien et qu’on se trompe, car c’est bien tout le contraire. La critique est facile, mais l’art est difficile. Qu’avez-vous fait vous pour faire avancer la science en dehors d’écrire des milliers de mails sur les blogs en répétant encore et encore les mêmes arguments même faux ?Bref de ce que je peux lire de votre prose, c’est beaucoup d’avis personnels et d’opinion, et peu d’objectivité.
Les sceptiques sont morts, bienvenue les dénégateurs, les anti-sciences, les obscurantistes, les obsessionnels.
Moi, je m’en fout du CO2 ou qu’il fasse 4°C de plus, de la politique et du combat anti-écolo ou anti-libéral. Mais je suis vite irrité quand on se permet de mettre en doute la science à des fins politiques. Cela me rappelle de mauvaises heures de l’histoire. D’ailleurs, qui a parlé en premier de cause, de dogme, de pensée unique ? C’est bien de cette guéguerre entre les écolo et les libéraux que toute cette merde est sortie. Et la science, la vraie, pris en otage, continue tout de même à avancer, fait des erreurs, débat, et cherche et cherche encore dans ce domaine si passionnant qu’est le complexe, et ça ce n’est pas une bande d’activistes qui va le changer. Ca me rassure que la science ne se fasse pas sur les blogs.
Si vous voulez bouffer de l’écolo ou du socialo, laissez la science en dehors de ça, merci.Comme dirait Greg Bear : Internet et ses blogs, ou l’effroyable et immense magnitude de la folie humaine.
Et j’en fait parti, j’assume.
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D’accord avec vous Chria ; sage manière de votre part de ramener le débat à des confrontations d’arguments scientifiques et pas à autre chose. Le problème c’est que certains sont, par psycho-tropisme si je puis dire, attirés avant tout par tout ce qui pourrait infirmer la « science officielle », le « consensus », la « pensée dominante » ; ils n’aiment rien que d’avoir raison seul contre tous. Pour un peu s’il leur arrivait une nuit de voir dans un village côtier courir une foule fuyant en courant la côte et criant « tsunami, tsunami », ils pourraient être tentés de ne pas se joindre à ce flux d’humains par trop moutonniers à leur goût. La hantise de passer pour des gogos qui gobent tout les poussent à ne croire personne. Aussi sont ils surs de n’être jamais trompés par personne. Ce faisant ils courent le risque d’être trompés par eux-mêmes. Danger de l’orgueil.
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Pardon pour les fautes d’orthographe
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Spéciale dédicace pour jipebe
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Je relai une réponse d’Olivier sur le pourquoi du comment du CO2 et le pourquoi du grand n’importe quoi de la « preuve » :
"le lien entre l’augmentation du taux de GES issus des activités humaines dans l’atmosphère et le réchauffement climatique ne se fait pas à l’aide d’une preuve unique et démontrable à coup d’équations ou de dispositifs expérimentaux univoques, mais à l’aide d’un faisceau de données cohérentes avec ce que la science connaît : variation des isotopes du carbone présents dans le CO2, physique des GES et de l’atmosphère, réchauffement plus fort aux hautes latitudes qu’aux basses, plus fort réchauffement des températures nocturnes, etc., et par élimination des hypothèses non vérifiées par la mesure : ce qui est typiquement le cas pour le soleil ou les rayons cosmiques qui ne montrent pas de tendances à long terme compatibles avec le réchauffement climatique.
Il existe un excellent site, conçu par Spencer Weart, physicien et historien des sciences, qui explique comment les chercheurs en sont arrivés à formuler et à vérifier le réchauffement climatique d’origine humaine : http://www.aip.org/history/climate/index.htm et son énorme bibliographie : http://www.aip.org/history/climate/bib.htm#824
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