Supprimer le mot « race » de la Constitution c’est autoriser un État raciste
Le Gouvernement prévoit de supprimer, avant l'été, le mot "race" dans l'article premier de la Constitution, qui stipule : "La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée."
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On aura donc probablement, puisque dans cette démocratie représentative c'est le Gouvernement qui décide, un article premier qui stipulera : "La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée".
Certes, on pourrait discuter du bien-fondé de cet article, et se demander s'il est respecté par le Gouvernement, mais ce n'est pas le sujet car on parle ici du seul mot "race".
Mais puisque la France n'assurera plus l'égalité de tous les citoyens sans distinction de race, on peut en déduire que la France pourra assumer être un état raciste sans contrevenir à sa Constitution.
Certes, le mot "race", concernant les êtres humains, est actuellement en disgrâce pour le politiquement correct qui lui préfère "ethnie", et il faudrait alors que le Gouvernement pense à remplacer le premier mot par le second.
Mais cela ne changerait rien au fond du problème.
Car le mot aujourd'hui honni par les élites politico-médiatiques est encore très apprécié par une partie de la population qui, par son vote et un retournement de situation dont l'histoire témoigne de la possibilité, peut fort bien dans l'avenir devenir majoritaire et parvenir au pouvoir.
Ce mot est d'ailleurs encore couramment utilisé dans les pays anglo-saxons sans que personne ne trouve rien à y redire.
On se trouverait alors avec un Gouvernement disposant d'une Constitution lui permettant d'instaurer une politique raciste en faveur du groupe dominant, qu'il se définisse comme "Caucasien", "Noir", "Maghrébin" ou "Asiatique" n'ayant pas d'importance.
Et la situation actuelle (crise économique, UE tremblant sur ses bases, profonds troubles sociaux, division de la population en communautés) correspondant en bien des points à ce qui amena, il y a somme toutes peu de temps, un tel pouvoir en Allemagne, on peut se dire que la France ferait bien de garder sous la main cet article tel qu'il est.
On voit d'ailleurs en Grèce un parti ouvertement raciste réaliser des scores inimaginables il y a peu.
Certes on peine à imaginer la supériorité des blonds aux yeux bleus se manifester en France, à moins d'une très forte immigration nordique spontanée, mais pour le reste tout est malheureusement ouvert étant donné le brassement intense de populations actuellement en cours.
Que le Gouvernement actuel soit conscient ou pas de ce risque, et certains excités iront probablement jusqu'à dire qu'il le fait dans ce but, importe bien moins que le fait réel : la suppression du mot "race" de la Constitution, tant que ce mot est encore agrée par une partie de la population, représente un danger immense pour l'avenir du pays et Monsieur Hollande et ses ministres feraient bien de réfléchir, pour une fois et s'ils en ont les capacités et/ou la volonté, un peu plus loin que le bout de leur nez humant avidement l'air ambiant et les odeurs appétissantes des prochaines élections à gagner.
Car ouvrir ainsi la porte à l'infâme en se croyant au-dessus du danger, c'est tenter le diable.
Et ce diable n'attend souvent que ça pour se manifester.
68 réactions à cet article
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@adurae.choses,
les moitié-gaulois moitiés-arabes et plus tard, les quart-gaulois quart-arabes quart-sénégalais quart-norvégiens , dans quelle race les mettez-vous ?
cdlt -
Qu’est ce qui définit une race selon vos critères ?
Pourquoi la couleur de peau et pas la couleur de cheveux ou la couleur des yeux ou encore la taille du nez ?
Ce que vous voyez à l’oeil nu c’est simplement la diversité génétique et donc physique de la race humaine.
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Il y a une espèce humaine divisée en races de même qu’il y a par exemple une espèce canine divisée en races.
Non. Il y a deux catégories : les cons et ceux qui réfléchissent. -
C’est vrai que ce mot faisait tache dans un si beau texte, il aurait dû être enlevé depuis bien longtemps.
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Ce n’est pas le mot qui fait tache. Pas plus que le mot tyrannie dans l’hymne national.
Faire disparaître le mot race ne supprimera pas les racistes et l’ensemble des cons qui se croient supérieurs par leur naissance. On se sentirait supérieur par son travail ou ses connaissances, le pays irai mieux !
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Une race humaine est une catégorie de classification de l’espèce humaine selon certains critères telle que la morphologie ou la culture, me dit Wikipédia...
Une ethnie est un groupe humain homogène dans sa culture et dans sa langue...
Il suffit donc de supprimer de la constitution le fait indéniable que des individus puissent être morphologiquement dissemblables pour qu’ils ne le soient plus... ???
du kafka..
des bouffons !-
S’il est écrit de telles inepties sur wikipédia alors c’est que le lobby raciste est surement actif.
D’ailleurs visiblement cet article est pointé par les internautes comme manquant d’objectivité et sujet à controverse.
Une race est une lignée. Et il n’existe aujourd’hui qu’une seule lignée humaine. Ce ne fut pas toujours le cas. Deux races humaines ont cohabité pendant un moment. Mais l’autre race fut exterminée par nos ancêtres.
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C’est le mot Françe qui les emmerde ......
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Pas seulement le mot France les emmerde mais aussi les français , l´histoire de la France et même le drapeau français . C´est pourquoi , le gouvernemant de Normal 1er a jugé bon de faire disparaître le drapeau français du site internet de l´élysée . Incroyable mais vrai . Un comble ! Si vous ne le saviez pas , maintent , vous le savez .
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Faux. Il est toujours présent.
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Cela dit, vous pouvez vous aussi faire parti de la modération AV, il suffit d’avoir posté quelques articles.
Au boulot
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Effectivement puisqu’il n’y a pas de races différentes d’être humain, mentionner l’existence de race est non seulement absurde mais... raciste.
Cela dit cet article aussi est profondément raciste.
En effet prétendre qu’en supprimant le mot race de la phrase « Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. » , la France pourra assumer d’être un état raciste sans contrevenir à sa Constitution indique que l’auteur pense que certaines personnes ne seraient pas des citoyens comme les autres.
Inscrire une différence dans la loi, c’est la reconnaitre, même si c’est pour affirmer qu’on ne doit pas la reconnaitre. Ainsi si on supprime le mot race, ça veut dire qu’il n’y en a pas et qu’on ne pourra plus discriminer sur ce critère, mais seulement violer les droits fondamentaux d’un individu comme les autres. Un acte raciste ne sera donc plus un acte contre une communauté mais contre la République dans son ensemble, non plus contre un groupe de personne mais contre tous. Il ne devrait plus y avoir de lutte contre le racisme, mais contre les injustices dans leur globalité.
Supprimer le mot race de la constitution est une excellente chose et supprimera une contradiction de la constitution : comment est il possible que les races n’existent pas si leur existence est écrite dans la constitution ?
Le gouvernement agirait enfin dans un esprit égalitariste... contrairement à la manière dont il s’y est pris pour le mariage homosexuel. En effet dans ce cas précis il a réaffirmé la différence entre les hommes et les femmes. A quand la suppression de cette reconnaissance de fait que les femmes et les homme ne sont pas égaux et que pour qu’ils aient les même droits il faut le préciser dans la loi ?
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Le mot « genre » ou « sexe » par exemple, qu’on remplacera par « orientation sexuelle » .
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Même pas « orientation sexuelle », rien du tout sur le sexe. Des « citoyens » tout court, ça suffit largement.
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Bien-sûr que les races existent.
Il existe bien plusieurs races de chevaux, pourquoi n’y aurait-il pas plusieurs races d’hommes ?
La race, en dernière analyse, qualifie une variation de l’espèce.
Une variation qui n’empêche pas la fécondité des rapports.
Il n’y a qu’une espèce humaine, mais plusieurs races (plusieurs variations).Variation viens du latin « varius », qui signifie divers.
Donc, quand on parle de diversité, on parle de la variété des hommes, dont celle de leur race. -
Il existe plusieurs races de chevaux parce que c’est un animal domestique, et parce que l’homme par l’élevage crée et entretient artificiellement celles-ci.
Une race est une lignée.
Les humains se mélangent constamment depuis toujours. Il n’y a qu’une seule lignée humaine.
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« Supprimer le mot race de la constitution est une excellente chose et supprimera une contradiction de la constitution : comment est il possible que les races n’existent pas si leur existence est écrite dans la constitution ? »
Il n’y a pas de contradiction dans la constitution, celle ci en l’état stipule que les droits d’un individus sont les mêmes quelque soient la religion, l’origine ou la morphologie de celui ci...
Imaginons donc un employeur qui demain refusera une embauche parce que la tête du postulant ne lui plait pas et qu’il le lui fasse savoir... « je ne vous embauche pas parce que je n’aime pas votre nez épaté, ou votre peau trop blanche, ou vos yeux bridés... »
Puisque cette mention de non différentiation dans les droits ne s’étend plus aux caractéristiques morphologiques d’un individu, celui ci n’aura aucun recours.. le racisme n’existant plus (pas de race, pas de racisme donc)...
Vous me suivez là ??-
Taubrouk 4 février 2013 13:53Pas de façon là pour moi en tout cas
(
? )
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@Lyacon
quelles sont vos sources ?
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Aucune.
En fait, l’erreur vient de ce qu’ au Japon, il est coutumier de parler de la grossesse féminine (mais en existe t-il une autre ???) en terme de mois lunaire (qui fait 28 jours et non 30 31 pour un mois calendaire).Ce qui n’est pas surprenant, nos médecins parlent eux en semaines de gestation, et non en mois. -
ensuite il y a un autre aspect, et ce même chez nous : certains parlent en semaines aménorées (depuis les dernières règles) et d’autres en semaines de grossesse (depuis l’ovulation) ... soit un écart de 2 bonnes semaines qui fausse un peu et permet a certains de dire n’importe quoi.
Mais rassurez vous, les japonais font bien partie de l’espèce humaine ...
Mais c’est vrai aussi qu’on est dans une société où la différence est, de beaucoup, plus importante que la ressemblance. Plutôt que de se sentir tous humains, ensemble dans la même galère, on préfère se sentir différent des autres, trouver chaque point qui fait que l’autre n’est pas nous, et le rejeter pour ça.
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J’adore le « Cela ne signifie pas que je sois pour une nation multiculturelle qui a mon avis sape la cohésion. »
donc, ok pour parler a des gens différents, c’est ce qui enrichie, mais par contre ils restent chez eux loin de chez nous, sinon on s’y retrouve plus :D
Ce n’était pas mon propos. Quand je parle de se focaliser sur les points communs et non sur les différences ca ne signifie pas « ne pas voir les différences ».
Oui, certaines personnes ont la peau foncée, d’autre moins
Oui, certaines personnes ont des habitudes culturelles et d’autres en ont de différentes
Oui, certaines personnes ont les cheveux blond, d’autres non
Est-ce bien utile de s’arrêter sur ces différences pour faire rentrer l’autre dans une catégorie humaine ? A quoi ca vous sert de ranger les gens dans des cases, si ce n’est à vous sentir plus en sécurité dans la votre ?
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Je vérifie toujours avant de poster, mais ce « salopard » m’a marabouté et j’ai pris ses dires pour argent comptant.
Je suis désolé de la grosse connerie sortie.C’est si rare de voir ici un posteur reconnaitre son erreur qu’il me paraît normal de le souligner et de l’en féliciter.En même temps, il ne faut pas trop en vouloir au médecin japonais s’il n’a pas spécifié le caractère lunaire du mois. Il a pu se dire que cela était évident pour lui, et donc pour les autres aussi. -
Ce genre de réformes me met particulièrement en colère car elle n’a en réalité aucun intérêt...
Par contre, lorsqu’il s’agit d’étendre le champ du référendum, il n’y a plus personne...
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lulupipistrelle 4 février 2013 15:57Ce genre de réformes me met particulièrement en colère car elle n’a en réalité aucun intérêt
Mais si, diviser, ha,ha,ha. -
Sujet crucial.
C’est pas comme si on avait une crise à affronter...
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ben vu la situation, si on ne peut plus se faire plus naif qu’on est, y’a plus que le suicide...
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Pour poursuivre dans les délires sémantiques, la suppression du mot « race » fait penser à ces féministes américaines qui voulaient supprimer le mot « woman », car il y avait « man » à l’intérieur.
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lulupipistrelle 4 février 2013 16:01Le problème majeur, c’est qu’il faudrait, pour bien faire, bannir l’anglais de notre pays... et interdire toutes les publications scientifiques en Anglais... parce que voyez-vous, et épidémiologie par exemple, mais aussi en immunologie, etc... on trouve le mot race partout.
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Principe : ► Si on veut abolir un concept, on supprime ou interdit le mot qui s’y rapporte ◄
Mais je ne vois pas, en effet, commet le pouvoir en place va pouvoir supprimer définitivement le mot « race » dans tous les domaines où on le rencontre. -
D’après tous les scientifiques les races n’existent pas.
Cela ne gomme pas les différences physiques entre les individus (petits, grands, dolichocéphale ... etc°).
Relire un livre de biologie.
C’est difficile à comprendre pour des esprits peu instruit.-
lulupipistrelle 4 février 2013 18:12C’est vrai les scientifiques français ne connaissent pas les races, ou plus exactement ils confondent race et espèce... pas de bol, non seulement la médecine moderne fait de plus en plus appel au typage HLA caractérisitique de différentes... populations, mais en plus maintenant qu’on ressort notre vieil ancêtre Néanderthal des poubelles de la préhistoire force est de constater qu’il y a de sacrés différences entres toutes les populations de la planète, et qu’on peut parler de plusieurs espèces et d’hybridations, ha,ha,ha....
Au fait pour faire simple : a-t-on jamais connu une population asiatique ou africaine de rhésus négatif et Kell positif ?Les spécialistes de la stérilité des couples pourront-ils un jour nous expliquer pourquoi certains partenaires sont stériles ensembles et féconds avec d’autres...sans l’excuse de l’hypofécondité, bien entendu...ha,ha,ha. -
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*** Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion ***
Il y a deux siècles, il n’allait pas de soi qu’un noir ou un gueux puisse avoir les mêmes droits qu’un aristocrate blanc.
Mais les concepteurs de l’égalitarisme ont eu tort de s’appesantir sur ce qu’ils ne voulaient plus distinguer sans préciser ce qu’est un citoyen.
Ils ont eu tort de dire qu’ils ne voulaient pas distinguer les races, les origines et les religions alors qu’il y aurait eu à ajouter les sexes, les âges, les classes sociales, les poids, les forces les réputations, les tailles, les santés, les philosophies, les obédiences, les goûts, les instructions, les fortunes, les casseroles... Toutes choses discutables sans soif.
Si l’on sait qui est un citoyen, comment il se définit ; si c’est automatique, par demande, si c’est de naissance, de majorité, de jus soli, de jus sanguinis, de jus urbi, de jus orbi, il devient inutile de dire ce qu’on ne veut pas distinguer
Il n’est déjà pas évident de dire qui est citoyen, même entre Parisiens et Vendéens quand on part d’une situation où l’on traite mieux un aristocrate étranger de passage qu’un gueux de ban.
Dire qui est citoyen en considérant le cas des étrangers, y compris quand ils sont repartis chez eux, y compris quand ils n’ont pas de chez eux précis, c’est loin d’être évident.
C’est le mot citoyen (ou le mot justiciable) qui est le plus difficile à définir car il interpelle les considérations des états étrangers.
Une fois qu’on a réussi le tour de force de dire ce qu’est un citoyen (ou un justiciable), il n’y a aucune utilité à préciser ce qu’on refuse de distinguer.
Il fallait travailler la définition de citoyen (ou justiciable). Mais comme ce n’était pas facile, on a cru pouvoir s’en tirer en s’appesantissant sur ce qu’on refusait de distinguer.
Or, en réalité, sur le terrain, la Justice frappe celui qui fait quelque chose de bizarre par religion, parce qu’il vient d’ailleurs, même quand il ne se voit pas citoyen.
L’astuce des révolutionnaires avait consisté à poser comme évident que chacun était citoyen, que chacun était justiciable alors que c’est cela qui ne va pas de soi.
Même l’attribution de nationalité ne résout pas cette question puisqu’un étranger aussi tombe sous les coups de la loi (S’il n’est pas prince étranger).
Qui sont donc ces citoyens que la république prétend traiter de manière égalitaire ?
Et pourquoi un député, un Président en exercice n’est-il plus un citoyen ?-
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Le gouvernement ambitionne de retirer le mot du dictionnaire ?Parcequ’en toute logique, ils devront en discuter avec les immortels.Extrait ci-dessous de la définition du Larousse (la définition étant trop longue)Race :A. −1. Vieilli, littér. [En parlant le plus souvent d’une grande famille] Ensemble des personnes appartenant à une même lignée, à une même famille. Synon. ascendance, descendance.La race des Atrides, vieille race. Que Bonaparte et sa race doivent tomber, c’est ce qui me paraît infaillible ; mais quelle sera l’époque de cette chute (J. de Maistre, Corresp., 1808, p. 104).Aujourd’hui cette race, égale aux Rohan sans avoir daigné se faire princière (...) cette famille, pure de tout alliage, possède (...) sa maison de Guérande et son petit castel du Guaisnic (Balzac, Béatrix, 1839, p. 10) :1. La première pensée du biographe, qui veut avancer dans la connaissance d’un homme, est de chercher d’abord du côté de ses ascendants. L’individu le plus singulier n’est que le moment d’une race. Il faudrait pouvoir remonter le cours de ce fleuve (...) pour capter le secret de toutes les contradictions, de tous les remous d’un seul être.Mauriac, Vie Racine, 1928, p. 8.B. − P. anal. Race de + subst.1. Ensemble de personnes ayant entre elles des caractères communs importants. Synon. espèce.Être d’une autre race que qqn. De là est née la race meurtrière et carnivore des Géants (Ménard, Rêv païen, 1876, p. 121).La race méprisante des grands seigneurs de la révolution (Camus, Homme rév., 1951, p. 205).2. Catégorie de personnes ayant en commun certaines particularités sur lesquelles on attire l’attention. Race des seigneurs. Ceux-là, c’est la race des obstinés rêveurs pour qui l’art est demeuré une foi et non un métier (Murger, Scènes vie boh., 1851, p. 6).Cette nostalgie morne qui asservit un grand nombre d’entre nous à leur passé le plus trouble et qui crée une horrible race de vieux adolescents inconsolables (Mauriac, Vie Racine, 1928, p. 241).S’il y a une race suspecte, c’est celle des taverniers et des hôteliers (Faral, Vie temps st Louis, 1942, p. 76).A. − ANTHROPOLOGIE1. Groupement naturel d’êtres humains, actuels ou fossiles, qui présentent un ensemble de caractères physiques communs héréditaires, indépendamment de leurs langues et nationalités. Race blanche, jaune, noire ; race pure, métissée ; races primitives, vivantes ; croisement entre races ; caractères, classification, concept, définition, différenciation, histoire, mélange, notion de(s) race(s). Les individus de la race caucasique (Cuvier, Anat. comp., t. 3, 1805, p. 17).On possède de très nombreux crânes et squelettes humains de l’époque de la pierre polie (...). Suivant les pays, nous voyons des races à tête ronde, des races à tête allongée, des races de grande stature, des races de petite taille, etc. (Boule, Conf. géol., 1907, p. 211) :.-
Deux pour le prix d’une
Définition de propagande (à l’adresse du gouvernement) Larousse :
Action systématique exercée sur l’opinion pour lui faire accepter certaines idées doctrines notamment dans le politique ou social.Trois points de daube-
SergePietr
« On aura donc probablement, puisque dans cette démocratie représentative c’est le Gouvernement qui décide, un article premier qui stipulera : "La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée« .
Certes, on pourrait discuter du bien-fondé de cet article, et se demander s’il est respecté par le Gouvernement, mais ce n’est pas le sujet car on parle ici du seul mot « race ».
Mais puisque la France n’assurera plus l’égalité de tous les citoyens sans distinction de race, on peut en déduire que la France pourra assumer être un état raciste sans contrevenir à sa Constitution. »
Bien vu ! Superbe aricle !
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ERRATUM
Lire : Bien vu ! Superbe Article ! -
Le chien qui danse 4 février 2013 21:10Les gros faf’s sont de sortie, après les propos ignominieux de louphi sur les homos le voilà qui soutient les propos raciste.
Agoravox réveille toi, les immondes sont dans la place. -
Le chien qui danse
« Apparemment, vous n’avez rien pigé à l’article C’est pas étonnant ! »
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Certes, le mot « race », concernant les êtres humains, est actuellement en disgrâce pour le politiquement correct qui lui préfère « ethnie »
Quelle erreur ! la plus répandue et la plus lamentable des confusions est celle qui substitue la race à l’ethnie et réciproquement. L’ethnie étant le groupement naturel pour la détermination duquel entrent en ligne de compte surtout la culture et la langue. Tandis que la race est un groupement déterminé par les savants, selon une classification arbitraire.
Mais dans un vieux sens, plus originel, la race fait plus état à la filiation (qui on le sait depuis « le mariage pour tous » ne vaut plus son kopeck).
Étymologiquement le mot « racine » lui est apparenté au niveau sens : « principe, source, cause, souche, origine (d’une personne) ».Disparue donc la noblesse de race. Disparues, la race blanche, la jaune, la noire ; C’est pourtant jolie toutes ces couleurs, avec cette si belle palette de nuances. Quelle poésie dans la Création !
Que nenni de race pure, métissée ; de races primitives, vivantes ; de croisement entre races ; ni de chiens de race. Disparues, bannies, les races.Subsistera-t-il néanmoins par extension, la race humaine - l’Espèce humaine, l’humanité - ?
Fini le racisme, non pas qu’il disparaitrait aussi vite que l’on biffera le mot de la Constitution, mais comment le qualifiera-t-on après ? ne subsisterait donc que la xénophobie ?
Mais en quoi l’étranger serait-il étranger après nous être aperçus de l’erreur de nos vieux savants mal éclairés des Lumières, que de races il n’y a point. Étant tous de la même race, il n’y a donc plus d’étrangers.-
Le chien qui danse 4 février 2013 21:13Vous n’avez pas honte, votre intelligence est-elle si rabougrie, êtes vous si mauvais que ça dans le fond, faites un examen de conscience vous en avez besoin.
Un étranger à toujours été une personne de CULTURE différente, et vous vous êtes un gros conn....ard sans culture.
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Pas trop d’accord avec vous le chien qui danse.
Il y a bien parmi les gens de ma CULTURE française, bon nombre qui me sont étrangers, pour la bonne raison simplement que je ne les connais pas. Inutile de passer des frontières, nos campagnards de province sont parfois très xénophobes, de xénos, « étranger » et phobos, « rejet, peur ». La xénophobie est d’ailleurs un néologisme du XX° siècle (de 1900), tout comme le racisme est un mot de la même époque (1902).
La xénophobie manifeste de l’hostilité, de l’antipathie à l’égard des étrangers pour des raisons très diverses (de nationalité ou d’ethnie, de race ou de couleur, de religion ou d’idéologie, d’origine de faciès, de concurrence économique ... ). Le spectre est beaucoup plus plus large que pour le racisme, qui lui trouve sa source dans des théories et des croyances qui établissent une hiérarchie entre les races, entre les ethnies - le racisme est un phénomène historique nouveau, caractéristique des sociétés capitalistes modernes - à la différence importante près que le racisme n’est pas fondé sur la peur mais sur un rapport de domination vis à vis d’une race ou ethnie, voire d’une classe sociale ou d’une caste considérée comme inférieure, avec les conséquences plus ou moins pensées et structurées qui en découlent, pratique de la discrimination, de la ségrégation, de la persécution ou de la domination de peuples. Historiquement, le racisme est apparu à l’époque de la colonisation.
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« le racisme est apparu à l’époque de la colonisation ».
N’importe quoi, le racisme a toujours existé. C’est le contraire puisque c’est le racisme qui a servi de ligitimité aux colonialistes...
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@ Enzo
Non les inégalités ont toujours existé, pas le racisme ! elles ne se justifiaient pas par la race, elles étaient établies par un statut, de castes (nobles, esclaves, serfs ... ) - ou de classes - et non pas en raison de critères ethniques de races. Il y avait une hiérarchie sociale légalement définies ou reconnues dans les sociétés antérieures.
A partir du moment où ces catégories ont disparu (individus égaux, société plus égalitaire) il a fallu exprimer le rapport de domination sur d’autres critères pour le justifier autrement. Le racisme est historiquement un concept récent, dont on ne trouve trace auparavant.
Un regard marxiste sur la question ...
Racisme et lutte de classes
D’où vient le racisme ?Le racisme s’est développé dans une phase clef de l’expansion du capitalisme à l’échelle mondiale : la colonisation et l’instauration de plantations coloniales dans le Nouveau Monde au XVIIe et au XVIIIe siècle reposant sur le travail contraint d’esclaves importés d’Afrique.
Non qu’il n’existait pas de pratiques discriminatoires, notamment religieuses, dans les systèmes précapitalistes mais elles ne correspondaient pas à une vision racialisée du monde et la plupart du temps la conversion des opprimés permettait d’y échapper. C’est bien le capitalisme qui universalisa pour la première fois les préjugés raciaux. [je crois que nos sociétés auront toujours du mal à l’admettre !]On a coutume de dire que l’esclavage fut le produit d’un racisme déjà enraciné dans la société occidentale. Or c’est l’inverse qui est vrai, les théories racistes firent leur apparition avec la nécessité de justifier l’esclavage. Auparavant ce besoin n’avait pas lieu d’être, pas même dans les sociétés esclavagistes grecques ou romaines. En effet, dans les sociétés hiérarchiques précédentes, la population était divisée en groupes légalement inégaux – l’esclavage n’étant que l’une des formes de ces statuts juridiques inégaux – mais ces inégalités n’avaient besoin d’aucune justification particulière autre que leur utilité sociale. Les esclaves en Grèce pouvaient être tout aussi grecs que leurs maîtres. Il était donc directement question d’inégalités de classes et non de races. Il en va autrement avec le capitalisme puisque son mode de production repose sur l’exploitation d’une main d’œuvre salariée libre. Le capitaliste et le travailleur sont désormais légalement égaux sur le marché du travail. Le travailleur est libre de ne pas vendre sa force de travail, mais comme il est aussi libre de toute propriété, il est poussé à se monnayer pour survivre. Dans un tel système où l’égalité formelle masque l’inégalité réelle, le recours au travail forcé est une anomalie qu’il faut pouvoir justifier.L’énorme besoin en main-d’œuvre que créait l’établissement des plantations coloniales pour satisfaire en matières premières et en produits de consommation le marché mondial florissant impliquait d’importer massivement des travailleurs sur le continent américain. Cette réorganisation monumentale du travail à l’échelle planétaire impliquait à son tour le recours au travail servile.Au début, ce besoin fut satisfait par des serviteurs blancs sous contrat venus d’Europe en échange du prix de leur voyage, de leur liberté, etc. Leur servitude était quasi totale mais ne pouvait être perpétuelle en raison des conséquences que cela risquerait de produire sur les travailleurs européens si la situation de leurs frères leur était révélée. En plus de tarir la source d’immigration nécessaire, cela risquerait sans nul doute de créer des désordres sociaux en révélant au grand jour l’exploitation cachée derrière « l’égalité » promise par le capitalisme.
Le besoin intarissable en nouvelle force de travail et le problème d’instabilité qu’impliquait la fin de la servitude de la main-d’œuvre européenne conduisirent les capitalistes de l’époque à recourir à l’esclavage des africains.
Mais le besoin de justifier la contradiction manifeste que représentait la dépendance du capitalisme vis-à-vis du travail servile restait entier. En créant une catégorie d’humains qui ne méritait pas l’égalité, le racisme put résoudre cette contradiction. Il fut le seul artifice permettant de refuser aux uns ce que le capitalisme promettait aux autres.
Le racisme a également été nécessité par l’impérialisme. La concurrence entre les nations européennes dans le contrôle des richesses et des matières premières nécessaires à leur supériorité économique mit les classes dirigeantes en conflits directs avec les populations « indigènes ». Une autre justification devint nécessaire. La spoliation des richesses fut masquée par l’idée du « fardeau de l’homme blanc », dont la mission consistait à amener la « civilisation » à des peuples primitifs et barbares.
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Njama,
Je suis d’accord avec vous sur le fait que dans l’antiquité (notamment gréco-romaine) le « racisme » était culturel ou/et social et non ethnique...dumoins ça c’était le 1er critère mais l’animal...et donc l’Homme a toujours inconsciemment, a toujours une méfiance pendant une fraction de seconde envers ceux qui lui diffèrent. C’est la réflexion, la conscience qui nous permette d’aller au-delà de nos préjugés. C’est ce que l’on appelle l’instinct de survie... (différents, donc meute différente, donc intérêts différents....qui peuvent alors entrer en conflit...et aboutir à un éventuel combat ;..pouvant lui-même déboucher sur la mort !
Pour le racisme moderne (post renaissance), effectivement d’accord avec le fait qu’il a été instaurer comme normalité pour légitimiser l’esclavage.
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ben non.. on peut même supprimer la mention à la religion..
et dire tous les citoyens sont égaux et point barre...Sinon on pourrait t imaginer aussi un mouvement capillaire déniant aux chauves s les droits élémentaires du citoyen..la constitution devrait elle donc prévoir tous les délires des allumés de tout poils ??? et préciser interdit de discriminer sur la taille, les cheveux, le tour de taille, le taux de cholestérol, le sexe, la négation du réchauffement du climat, de la validité du saint suaire de turin etc etc....La mention de la race et de la religion montre simplement que cette constitutions’intègre dans l’histoire de ce pays ou religion et race ont été des sources de discrimination.. ...Je doute d’ailleurs qu’un état totalitaire se soucierait beaucoup de la constitution....Une remarque les races existent bel et bien....mais sont absolument arbitraires , on commence par définir des critères et on range les gens ensuite, il y en a autant qu’on veut...tiens il parait que il existe des gens qui ont des gènes de néandertaliens...et pan deux races les purs et les impurs...et sur une base génétique en plus !La nature humaine étant ce qu’elle est..si il y a des blanc par là et des noirs par ici..au milieu traînent pas mal de gris.Le concept de race est surtout très con...ça ne peut servir qu’à adopter des mesures raciales...soit à considérer les gens comme une moyenne....donc les noirs ont le sens du rythme et un gros pénis... ben non !!!!si vous voulez savoir si UNE PERSONNE a un gros pénis . ;vous lui demandez de le montrer et si vous voulez savoir si il a le sens du rythme vous envoyez du franck michael !!!A oui les français sont sales..tout le monde sait ça... ne vous lavez pas ..ça ne sert à rien...On juge les gens un par un...c’est mon principe...j’ai des préjugés du fait de mon éducation, de la culture , de ce qu’on entend et voit à la teloche de mon expérience personnelle..mais je m’en tiens au premier principe.-
lulupipistrelle 5 février 2013 00:09Ha, mais il y a aussi les descendants des denisoviens...
Vous avez raison, on apprécie un homme pour ce qu’il est ,pas pour son pedigree.Quant au concept de race, il est sans intérêt, sauf en médecine préventive et en médecine où on pourrait cibler des populations au lieu d’appliquer à tous les mêmes dispositions... ou les mêmes traitements. On ferait de sacrées économies, mais surtout on améliorerait la santé publique générale. -
Allons bon ! Alors, nous allons voir disparaître une expression qui n’attendait que son heure pour entrer dans le Larousse moderne : « nique ta race »
Un bien mauvais coup porté à la diversité
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Le chien qui danse 4 février 2013 21:18C’est vrai qu’avant y’avait plein de « race »
des niaquoués
des youpins
des monzami
des ratons
des bougnoules
des crouilles
des jaunes
des tonkins
des bolderiz
des polacs
des ritals
des russkoffC’est con je suis pas spécialiste mais ici visiblement y’en a qui tiennent la medaille d’or, si vous pouviez faire une petite liste des « races » de l’humanité on s’informerait un peu...
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Marrant , quand on sait que deux chimpanzés éloignés de 1 km ont plus de chance d’être éloignés génétiquement que deux hommes « bien francais » vivant dans un même rayon .
Même pas assez de diversité parmi les humains modernes pour parler de sous espèce.Le terme race c’est aussi classifier ce qui est unique . Bonne chance avec ça , ça passe de 450 races à 7 milliards si on pousse le principe jusqu’au bout.
C’est un problème de définition , (est-ce légitime et vraiment pertinent d’utiliser le mot race) avant d’être un problème de politiquement correct je crois.Il convient , je pense , d’utiliser le mot race comme d’une étiquette facile et rapide mais en sachant pertinemment que ce n’est pas très très scientifique. Il y a plusieurs races de chiens mais ce sont tous des canis vulgaris.
La race c’est un peu l’étiquette du profane.-
Sur le thème de l’article, très bon billet d’Atlantico.fr, interview de André Senik et Eric Deschavanne, tous deux philosophes.
Après la « laïcité positive » , le retour de « la discrimination positive » ? ... pour la promotion de ce « racisme positif » au service de l’antiracisme.
Extraits :
Eric Deschavanne : Comment une proposition aussi saugrenue a-t-elle pu être germer dans l’esprit de François Hollande ou de l’un de ses conseillers ? On peut supposer qu’elle repose sur l’hypothèse selon laquelle le racisme dépend de la reconnaissance de l’existence des races : en supprimant le mot race, on supprimerait donc l’idée que les races existent, ce qui contribuerait à faire reculer le racisme.
[...]Le paradoxe dans cette affaire est que la suppression du mot « race » de la Constitution pourrait favoriser le retour en force de l’idée de race dans la vie politique, sous la forme de la discrimination positive. En effet, la doctrine dite des « distinctions interdites » contenue dans l’article 1er de la Constitution - qui établit que le principe de l’égalité devant la loi prohibe l’usage des distinctions fondées sur l’origine, la race et la religion – est considérée par les juristes comme constituant un cran d’arrêt à une politique de traitement préférentiel qui envisagerait de cibler des groupes identifiés par leur origine ou leur couleur de peau.
Les partisans de la discrimination positive combattent cet « aveuglement aux différences » en considérant à l’inverse que la prohibition des distinctions est une erreur : les races doivent selon eux être reconnues par la législation, non comme réalité biologique bien sûr, mais comme des « constructions sociales » produites par l’histoire et le regard racialisant. Il est donc faux de dire que la suppression du mot « race » de la constitution restera sans effet : elle permettra en réalité la promotion de ce « racisme positif » au service de l’antiracisme.
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Décidément, Agoravox est un des hauts lieux où souffle l’esprit. Surtout l’esprit de clocher.
La notion de race, serpent de mer des mécontents. Elle fait son apparition de temps en temps, chez ceux qui sont en verve ou sont fiers de posséder un dictionnaire.
Discussion parfaitement inutile pour les attardés, les illettrés, les ceusses qui profitent d’un machin qu’ils ne connaissent pas et qui les excite.
C"est pas très joli votre tambouille.
P.S. @Njama, La discrimination positive, renseignez- vous avant d’en parler. Ca peut servir...
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@Jason
C’est fait ! si ça peut vous servir ...Le concept est si fumeux ... et si controversé ! je ne suis pas très surpris que ce philosophe évoque le danger qu’il conduise in fine en douceur à une nouvelle forme de racisme soft peut-être mais racisme tout de même, dit « positif » .
En France
En 2007 Lotfi Bel Hadj ,Président de l’Observatoire Économique des Banlieues affirme dans son ouvrage « Trop Français ou Français de trop » que « La discrimination positive est un concept d’inspiration raciste » et « qu’un tel système attise les tensions raciales et qu’il constituerait un point de rupture avec notre histoire »
« Le thème de la discrimination positive a été porté dans la perspective de l’élection présidentielle de 2007 par Nicolas Sarkozy. Dans un premier temps, le président de l’UMP n’excluait pas une discrimination positive basée sur la couleur de peau : « Les administrations sont obligées par la loi d’avoir 6 % de leurs collaborateurs avec un handicap. Qu’est-ce que c’est, sinon un quota ? J’aimerais qu’on me dise pourquoi il serait normal de faire de la discrimination positive pour les femmes ou les handicapés, et pourquoi ce serait anormal pour les compatriotes de couleur » (Le Parisien, 20 octobre 2006). Dans un deuxième temps, en revanche, il a clairement exclu une discrimination positive basée sur la couleur de peau : « Je refuse le communautarisme qui réduit l’homme à sa seule identité visible » (congrès de l’UMP, 14 janvier 2007).
L’opposition à la mise en place d’une discrimination positive et de statistiques ethniques ou raciales reste vive comme en témoigne la pétition lancée par Jean-François Amadieu et Patrick Weil en 2007. **
Les nombreux rapports français sur la question de la discrimination positive privilégient la mise en place de statistiques ethniques pour pouvoir évaluer correctement la situation, et l’amélioration de l’école publique française ; le respect véritable du principe d’égalité permettrait de corriger les problèmes tout en évitant la stigmatisation des personnes concernées et les doutes sur leurs compétences qui seraient entraînés par un accès différencié aux diplômes et aux emplois. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Discrimination_positive** Les statistiques ethniques auraient pour effet de faire droit à la notion de « race » dont chacun reconnaît le caractère non-scientifique et le danger et de développer les affrontements communautaires. L¹établissement de telles statistiques n¹aurait de sens que dans le cadre de politiques de discrimination positive : ...
Nous rejetons ce type de discours et de politiques discriminatoires parés des vertus de l¹égalité réelle mais qui portent en elles les germes du racisme et de l¹antisémitisme. Les statistiques ethniques ne sont donc pas un outil de lutte contre les discriminations, mais risquent d¹être l¹instrument de certaines formes de discrimination.
http://www.liberation.fr/evenement/010194553-engagement-republicain-contre-les-discriminations
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le problème du mot « race » est qu’il se base, il est vrai sur des critères non définis et donc subjectifs...A ce titre ils sont utilisés comme ils nous arrangent et à ce titre il « peut » générer de la haine de la part de gens ignorants que nous sommes tous des agglomérats d’ethnies depuis la potohistoire.
Deplus on se réfère aux différences flagrantes comme la couleur qui nous saute tt de suite aux yeux mais qui n’est qu’une concentration de mélanine différente par daptation au milieux depuis des millénaires alors que d’autres différences notables peuvent se faire comme la couleur des yeux... ou plus subtil : la forme du nez, des oreilles, des orbites, la taille etc...Vous m’avez compris il y a une infinité de critères ! Après je ne sais pas comment celà ce traduit en term de différence génétique et en quelle proportion...mais c’est aussi une réalité et ce, même si elle est moins visible !
Pour autant le fait qu’il y ait des races d’animaux au sein d’une même espèce doit aussi exister chez l’homme et je ne vois pas pourquoi l’on devrait retirer la définition d’une réalité dans le dictionnaire. après libre aux idiots de penser que des différences impliquent une supériorité des uns vis-à-vis des autres, celà ne changera rien pour eux mais si les races représentes des différences morphologiques et donc génétiques alors elles existent, c’est un fait ! n’en déplaisent aux bien-pensants effrayés par leurs interprétations boîteuses et sur des critères subjectifs et choisis dont on ne sait de quelle manière ils interfèrent sur l’Homme.
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Ce gouvernement , tout comme le précédent est une équipe de marionettes dociles entre les mains du mondialisme américano-sioniste , qui fait absolument TOUT ce qu´il peut et même un peu plus , pour satisfaire ses maîtres et trahir ses propres citoyens .
Ils veulent à TOUS PRIX nous métisser ,DE GRÉ OU DE FORCE , le nabot l´a dit et redit .
http://www.youtube.com/watch?v=UCs4ZcsDo4E
Maintenant ils veulent faire disparaître le mot race de la constitution !! Quelle bande d´abrutis , les races existent bel et bien , on n´y peut rien et on ne peut pas blanchir tous les noirs et tous les bronzés pour satisfaire le gouvernement français qui est en train de devenir plus c*on que c*on !!-
Taubrouk 5 février 2013 05:02Une véritable espèce de bâtards
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La nuit .. Tous les chats sont gris .. Ce matin, chui noir de chez noir
NB : savez pas vu mirza .. Je le cherche partout .. Ti chien-chien sa mémère -
Le mot race est sémantiquement incorrect puisque pour qu’il y ai différence de race, il doit y avoir une différence dans le code ADN. Et jusqu’à preuve du contraire, il n’y a aucune différence dans l’ADN des humain.
Est ce que changer un mot va mettre un terme au racisme ou l’encourager ? Aucune idéeCe que je vois c’est que encore une fois la république brasse du vent. Elle s’occupe plus des mot que des faits.-
Oui.
Quoique , tout le monde n’est pas d’accord. Certaines variantes humaines ne sont là que parce qu’un même gène s’exprime plus ou moins fortement.De plus , comme il est dit plus haut , il y a eu métissage avec Neandertal et chez les Européens et les Asiatiques , une partie infime de ce génome est présent.
Et , pourtant , celà n’empêche pas que c’est en Afrique qu’il y a la plus grande diversité génétique. -
J’ajoute que moinsser des faits est équivalent à nier la réalité.
Ca en dit beaucoup sur la conception des choses de cette personne qui ferait mieux de répondre par écrit au lieu d’étaler sa frustration en cliquant sur + ou - -
la race des cons aussi alors , s’rait temps que la frenchie ai un gouvernement
ça fait quand même 6 ans que s’pays est dirigé par une boule de cristalrésultat la frenchie est en faillite
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Ce mot « race » ..., mot qui figure non seulement dans la Constitution de 1958 (article premier, 1er alinéa), mais aussi dans le Préambule de 1946 (alinéas 1 et 16), dans 14 articles du Code pénal, dans cinq articles (13-1, 24, 32, 33 et 48 ; 48-1 pour l’adjectif raciale) de la loi sur la liberté de la presse de 1881, enfin huit fois dans la Décision-cadre 2008/913/JAI du Conseil de l’Union européenne du 28 novembre 2008 "sur la lutte contre certaines formes et manifestations de racisme et de xénophobie au moyen du droit pénal."
Le Préambule de 1946 fait partie du bloc de constitutionnalité ; les socialistes vont-ils réécrire ce Préambule ?-
Constater que par la taille les Scandinaves sont statistiquement 40 % plus grand que les Pygmées est un constat objectif de différence sur un critère prédéfini, ce n’est pas une affirmation raciste. Si des différences existent entre les groupes raciaux, si ces différences peuvent être objectivement constatées, il doit être permis d’exprimer ces faits. Pour cette raison, afin de pouvoir désigner les variétés des groupes humains tout en évitant les accusations de racisme, de nombreux scientifique qui veulent publier les résultats de leurs travaux sans être agressés par des « antiracistes » ont fini par abandonner le mot « race » et emploient plutôt le mot « type ».
http://lemondeactuel.angelfire.com/article/lesraceshumaines/Races_humaines_ types_humains_partie_1_sur_7.htm
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