@PiXels
Attention j’ai bien dit je « n’envisagerai » !!! Mais je sais très bien qu’aucun candidat n’osera aller dans ce sens.
Merci pour la vidéo, qui confirme cette affirmation de Mayer Anselm Rothshild, banquier (1744-1812)
« Donnez-moi le droit d’émettre et de
contrôler l’argent d’une nation, et alors peu m’importe qui fait ses lois"
- )
Ce n’est donc pas nouveau, sauf que cela devient critique !!!!!!
J’en profite avant de me faire « tailler », pour me dédouaner des quelques fautes (orthographe et d’accords) constatées à la relecture de mon post.
Le programme de Macron parait assez cohérent, et assez flou, pour satisfaire un électorat un peu perdu, qui veut du changement sans pour autant faire la révolution. Mais Je ne peux pas m’empêcher de faire un rapprochement entre Macron et Pompidou, ne serait-ce que par leur passage chez les banquiers Rothschild. Pompidou reste celui qui a asservi l‘état français aux marchés par les lois bancaires de1973, ce principe, étant repris pour l’Europe, lors de l’établissement du traité initial de Maastricht. Comme le dit bien Mr Godin, cette connaissance de la « grammaire financière » est une arme à double tranchant. A la suite, de la crise bancaire de 2007, la plupart des autorités politiques européennes, avaient suggérés la séparation banques de dépôt et banques d’affaires.
Mais en 2013 malgré la volonté affichée de Hollande, le lobby bancaire français a effrayé et dissuadé les politiques, de finaliser cette solution. Quelle fut le rôle du conseiller Macron à cette époque ? J’aimerai que le candidat Macron s’explique à ce sujet.
Je n’envisagerai, de voter pour lui que s’il se positionne 1) sur la modification des statuts de la BCE afin que celle-ci puisse prêter directement aux états.2) Qu’il agisse en faveur d’une loi de séparation bancaire réelle.
Aujourd’hui, internet permet l’accès à une quantité énorme d’informations ; Encore faut-il prendre le temps de rechercher lire et analyser, trier. Je maintiens que le doute est permis dans cette affaire du réchauffement lié au CO2 anthropique.
Toutes les méthodes de mesure des températures, du CO2, du niveau des mers, de la fonte des glaces, des phénomènes météorologiques tels que les cyclones, sont décrits dans le rapport « livre blanc sur le réchauffement climatique » www.scmsa.eu édité en aout 2015.
Aujourd’hui, internet permet l’accès à une quantité énorme d’informations ; Encore faut-il prendre le temps de rechercher lire et analyser, trier. Je maintiens que le doute est permis dans cette affaire du réchauffement lié au CO2 anthropique.
Il y a dans les forums traitant de ce sujet, tout et son contraire. Allez fouiller, vous constaterez que rien n’est clairement défini, que même au sein des scientifiques qui travaillent avec le GIEC il existe des désaccords.
Enfin et surtout, avant de polémiquer, il serait peut-être temps de revenir aux fondamentaux et au bon sens en se rappelant que :
Que l’ensemble du système, dans lequel notre terre circule, est piloté par notre soleil dont la masse représente 99.8 % de la masse totale du système solaire…. ! Qu’il semble logique que ses fluctuations influent directement sur la température des planètes.
Que dans l’atmosphère terrestre, le CO2 ne représente que 0.03 % du volume, qu’il est plus lourd que l’air, qu’il est nécessaire à la vie végétale. Que l’élément principal de notre atmosphère participant à l’effet de serre, est la vapeur d’eau.
Qu’à l’échelle du temps géologique la période des 200 ans passés ne correspond à presque rien. Ramenée à une journée de 24 heures depuis l’accrétion terrestre (4.5 milliards d’années), l’ère industrielle ne représente que 1 centième de secondes. Nous ne sommes grand-chose ….. !!!
Qu’il semble un peu prétentieux de vouloir prédire le climat futur, alors que les techniques permettant des analyses fines n’existent que depuis 50 ans, ce qui est une période trop réduite à l’échelle du temps géologique.
Dans un autre domaine, J’ajoute que le fait que la finance spéculative se soit emparée des droits carbones, en les titrisant, engage à penser qu’il y ait derrière cette affaire, une logique qui n’a rien à voir avec le climat. Voir http://www.lesechos.fr/07/05/2002/LesEchos/18650-133-ECH_les-permis-d-emission-negociables-et-la-titrisation-des-autorisations-administratives.htm ..
Enfin quelle que soit l’évolution future des températures, le monde du vivant s’adaptera comme il l’a toujours fait depuis des millénaires.
Alors ce débat sur le climat et CO2 anthropique est certes nécessaire et bien loin de moi l’idée de persister dans l’hyperconsommation ; des réajustements dans notre mode de vie sont nécessaires mais sans catastrophisme extrême et surtout sans se relancer dans le système pervers de l’hyperconsommation verte : Car le vrai problème est la ; ce que j’appelle l’écologie mercantile. L’écologie, la vraie devrait au contraire nous amener à faire d’importantes économies au sein de chaque famille et surtout pas d’être surtaxés.
Il serait étonnant qu’après des accords signés entre les deux ministres américain et russe, des ordres inverses soient donnés sur le terrain. Ou alors, ces ordres viendraient des commandements opérationnels sur le terrain. Auquel cas il faut s’attendre à ce que les responsables soient virés.
D’ailleurs les services spéciaux américains au sol ont eu vite fait d’avertir les CO intéressés, qu’il y avait erreur sur l’objectif.
Ce n’est pas nécessaire de compliquer l’affaire. Dans un tel imbroglio de troupes au sol, ce n’est peut-être simplement qu’une « bavure » : ce qui est même plus étonnant, c’est que cela ne soit pas déjà arrivé, ce dont je doute. Il suffit de regarder une carte des différents fronts, et comment sont imbriquées les forces en présence, pour comprendre, que tout est possible. Il ne faut pas s’imaginer que les progrès technologiques nous mettent à l’abri de ce genre de contretemps.
@Sirrocco
Ne vous méprenez pas sur mes intentions. Il y a des moments ou je désire ardemment sortir de cette Europe .Mais j’aimerais quand même essayer de revoir l’Europe dans un système confédéral, proche de ce que j’ai connu avant 1990.Dans laquelle nous cohabitions bien même, avec des barrières douanières et des monnaies différentes. Je pense que cette Europe des nations est réalisable.
L’affaire du BREXIT, c’est un problème sociétal, avant tout. Le peuple de l’Angleterre profonde a exprimé un rejet des institutions européennes dans la configuration actuelle. On peut ne pas être d’accord, mais ce qui est fait .. est fait. L’aspect financier, je pense qu’on peut compter sur le pragmatisme britannique pour le régler. Rendez-vous dans quelques années pour le résultat.
LES VERITABLES RESPONSABLES DE CE BREXIT SONT A LA TETE DE L’EUROPE Junker et sa bande doivent eux aussi partir, à ce niveau-là il y a du « grain à moudre »si on ne veut pas voir d’autres pays suivre la même voie
@gruni
Pour essayer de répondre à ma question, on peut s’appuyer sur les textes actuels, concernant le referendum, et les appliquer à toutes les consultations électorales. Textes de loi sur le referendum
« Le projet soumis à référendum local est adopté si la moitié au moins des électeurs inscrits a pris part au scrutin et s’il réunit la majorité des suffrages exprimés. »
Mais nous en revenons au problème initial .Qui fait les lois, qui aurait le courage de proposer cette modification du code électoral. Celui-là aurait certainement ma voix. On peut rêver !!!
@non667
*Je ne donne pas de conseils, je donne mon avis.
*« il vous a échappé que s’abstenir ou voter blanc équivalait a laisser les autres s’exprimer à votre place »
Dans la configuration actuelle du code électoral, sur la forme vous n’avez pas tort, mais en en votant blanc je vote, j’exprime un désaccord avec les politiques proposées par les grand partis de gouvernement.
Rappel des textes de loi ;
« Le vote blanc consiste à déposer dans l’urne une enveloppe vide ou contenant un bulletin dépourvu de tout nom de candidat (ou de toute indication dans le cas d’un référendum). Ce type de vote indique une volonté de se démarquer du choix proposé par l’élection. »
Notez quand même que depuis la loi du 21 février 2014 visant à reconnaître le vote blanc aux élections les bulletins blancs sont, décomptés séparément des votes nuls et annexés en tant que tel au procès-verbal dressé par les responsables du bureau de vote. Ce qui permet de faire remonter, vers « l’autorité suprême » un taux de mécontentement un peu plus sélectif que l’abstention.
.
Le vieux que je suis ne vote ni a à droite ni à gauche, depuis bien longtemps ; je suis un adepte du vote blanc. Je sais, certains diront que c’est stupide et que cela ne sert à rien, mais comme je suis farouchement républicain et conseiller municipal de mon petit village, je dois au moins d’avoir un comportement citoyen et montrer l’exemple civique. Mon raisonnement est le suivant ;
Le problème c’est la volonté de réforme .Comment reformer quand ceux qui font les lois ne veulent pas perdre un peu de leur prérogatives .N’espérez pas faire évoluer les choses en continuant à voter pour les partis quels qu’ils soient.
Nos élus ne nous écoutent pas. LES COMMENTAIRES SUR LA PRESSE, ILS NE LES LISENT PAS. Pour connaitre un peu le milieu des élus régionaux, je peux affirmer que pour beaucoup d’entre eux, particulièrement ceux qui ont derrière eux plusieurs mandats, la logique est la suivante : un exemple vécu lors d’un repas, après quelques verres.je cite « Les électeurs gueulent, mais au moment de voter ils rentrent dans le rang »…….Et ils ont raison.
Partant de ce principe, je me demande quelle serait la réaction de nos élus, si 80% ou plus du corps électoral votait blanc…..
Légalement, c’est la seule solution pour manifester son mécontentement, envers toute notre classe politique tous partis confondus ; faites votre choix !!!
@Robert GIL
le jour ou les syndicats auront compris que les citoyens n’acceptent plus les discours démagogues et stériles, le jour ou on pourra s’exprimer librement dans la rue sans avoir pour horizon un drapeau rouge, et des vandales comme électrons, ce jour la, les syndicats retrouveront peut être leur justification auprès du peuple français .
La sécurité des citoyens dans cette période exige une petite contrainte au niveau des libertés qui ne gêne que ceux qui vivent hors la loi ou qui avaient oublié que dans une république, la liberté est assujettie au devoir. Pour la grande majorité des citoyens, l’état d’urgence ne change rien.
Quant à votre réponse « pas de police à l’école », L’école EST majoritairement publique. La sécurité publique est l’affaire de la police nationale. Surtout lorsque l’encadrement scolaire n’a plus les moyens ou n’est plus à la hauteur.
La prévention est certes nécessaire mais, elle ne doit pas devenir un prétexte au laxisme devenu monnaie courante ces dernières décennies.
Un petit rappel nécessaire sur l’aspect spéculatif de la sphère pétrolière
En 2000 est créé à Londres L’ICE (Intercontinental exchange) place boursière dans la City, ou se côtoient des plus grandes institutions financières mondiales ; des producteurs et des raffineurs de pétrole et de gaz, des sociétés des secteurs de l’électricité, de la chimie et des transports, des banques et des hedge funds. C’est à Londres que se font les principales transactions sur le « Brent » pétrole issu majoritairement de la mer du nord.
Or, en janvier 2006, l’ICE a commencé à
être le théâtre de transactions de pétrole « WTI » . En avril de la
même année, L’ICE a informé la CFTC (Commodity Futures Trading Commissions ) qu’elle
autorisait les courtiers américains à utiliser ses terminaux pour l’achat vente
de WTI. D’importants flux de capitaux ont alors été détournés du NYMEX et ont
privé la CFTC de sa capacité de contrôle et de supervision.
Contrairement à ce qui se passe pour les transactions « futures »
effectuées par le NYMEX, celles qui sont réalisées par le biais de l’ICE
ressemblent à des futures mais n’en sont pas
On les connaît sous le nom de
« futures look alikes ». Elles ne sont pas surveillées et ne donnent
lieu à aucun rapport de la part des compagnies et de leurs courtiers auprès des
instances de contrôle type CFTC).
La création de l’I.C.E est un acte lourd de signification. Grâce à ce nouveau
canal de transaction, les gros investisseurs ont les coudées franches et
peuvent engranger des gains sans précédents. Plusieurs analystes ont estimé que
les achats spéculatifs de pétrole brut ont ajouté de 20 à 25 dollars à son prix
normal, faisant monter de ce fait le prix du pétrole de 50 à environ 70 dollars
par baril. »En temps normal, dès que des tensions apparaissent dans les pays
producteurs, certains courtiers très écoutés dans ce milieu parient sur
l’augmentation des prix du baril vers des valeurs hors réalité 150/ 200
dollars ; de telles déclarations "ressemblent plus à des objectifs à
atteindre qu’à des prévisions réalistes. D’ou les tensions vues en 2008 puis
2011.
Aujourd’hui changement de paradigme .Aucun spécialiste en pointe n’avait prévu cet écroulement du prix du baril, on revient à la réalité des prix, qui , sans spéculation n’auraient d’ailleurs pas du évolué au-delà des 40 dollars. Encore une fois ce genre de déni de la réalité, organisé par les forces spéculatives mondiales pousse l’économie moniale vers une nouvelle catastrophe.
Que les corses veuillent se débarrasser de la clique au pouvoir depuis 40 ans semble logique. Mais, Monsieur Talamoni, dans son discours d’investiture, dit que la corse ne fait pas partie de la nation française, et qu’il entend gérer l’ile à sa façon, La ,je doute …. Si Mr Talamoni, veut s’exclure de la nation, laissons le faire, mais en supprimant l’assistance de la France, les indemnités des élus, l’assistance scolaire, sociale, médicale etc. Derrière ces beaux discours indépendantistes, le système mafieux va se développer ; si c’est la volonté démocratique des corses soit. Mais on ne peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre et la crémière !!
La liberté de penser autrement existe-t-elle encore ? Plus cela va plus j’en doute quand on observe ce qui se dit dans bien des domaines actuels.
En matière de climat tout est affaire de compromis. Pourquoi s’alarmer d’un réchauffement de la planète. Pourquoi le monde du vivant ne s’adapterait pas comme il l’a fait de nombreuses fois lors des millénaires précédents. Ce qui m’inquiète moi, c’est avant tout que l’affaire du CO2 anthropique a généré depuis 12 ans tout un mécanisme de titrisation spéculatif « des droits carbone ».
Voilà une source intarissable de revenus s’appuyant sur une « noble cause ». Avant de se désintégrer dans un feu d’artifice de manipulations malhonnêtes, ENRON avait été un des lobbyistes les plus actifs pour le protocole de Kyoto. ENRON espérait devenir une société spécialisée dans les échanges des droits d’émission de carbone. Il ne s’agissait pas d’un mince espoir. Les droits ont toutes les chances de s’élever à plus d’un millier de milliards de dollars et les commissions d’atteindre plusieurs milliards de dollars. Les fonds de pension examinent avec une grande attention les opportunités ; ainsi était-ce le cas chez feu Lehman Brothers. Goldman Sachs a fait intensément pression pour le projet de loi du "Cap and Trade" et elle est bien placée pour en récolter des milliards. Ce n’est certainement pas un hasard si Gore, lui-même, est associé à de telles activités. D’où cet alarmisme climatique dont on nous rebat les oreilles depuis quelques années. On veut nous faire avaler que la responsabilité de l’homme est l’élément essentiel dans le processus réchauffement, en s’appuyant sur un canal unique d’informations GIEC .Ceux qui s’intéressent à ce problème et qui prennent le temps de rechercher, savent bien que la communauté scientifique est très partagée. Que les données CO2 ne sont pas fiables. Mais à quoi bon crier dans le désert….
Qu’il faille s’inquiéter de l’avenir de notre planète et modifier nos comportements, j’en suis conscient et acteur avisé. Commençons déjà par mettre un accent sur la pollution des océans et des rivières, le recyclage de nos rejets, l’abandon de l’obsolescence programmée des produits manufacturés, mettons l’accent sur les ressources énergétiques géothermiques et maritimes. Dans ces domaines il y a du grain à moudre. Mais surtout , faire la guerre cette financiarisation spéculative, bien plus dangereuse pour l’avenir de l’homme que le petit problème du CO2.
J’étais encore dans l’active dans les dernières années 90, et j’ai pu observer l’évolution du service national dans les décennies 80/90. Je pense que, sur le fond, le rétablissement d’un service est intéressant mais, il serait d’abord nécessaire de ne pas perdre de vue, qu’ imposer à la jeunesse actuelle , les petites contraintes basiques de la vie militaire, me semble très délicat pour ne pas dire impossible.
Invoquer le brassage et la mixité sociale certes mais, déjà dans les années 90 il existait des « problèmes » d’intégration sérieux entre certains éléments issu des tribus de la banlieue et les autres ; situations déjà délicates à traiter il y a 25ans. Qu’en serait-il aujourd’hui, sachant qu’à l’époque, l’encadrement avait des consignes régulières pour ne pas « stresser » ces jeunes. Dans ces années 90, alors que je servais dans une unité située dans les Yvelines, J’ai connu des jours ou les parents venaient le soir vérifier si leur enfant n’avait pas d’ampoules aux pieds après une marche… de 12 km, et faire un scandale auprès du chef de corps ,s’étonnant que l’on oblige ces « soldats » à marcher en tenue de combat avec des rangers lacées et un casque sur la tête !!!!C’est dire !!
Bref, ce service dont plus de 40 % de jeunes étaient exemptés, n’avait plus aucune raison d’être.
Il faut ne pas oublier que la discipline, nécessaire à toute communauté militaire, doit être librement consentie. Cette condition ne me semble pas être « dans l’air du temps ».malgré la prise de conscience du danger suite aux évènements récents.
Si nos jeunes, à l’instar de leur parent d’ailleurs, n’acceptent plus les contraintes, vouloir imposer un service n’est pas possible. Et je souhaite bien du courage à ceux qui récupèreraient l’encadrement des populations de certaines banlieues.
Par contre si ce pseudo service est volontaire, que sa durée soit suffisante pour former un citoyen aux actes de défense, et que celui-ci débouche ensuite sur une possibilité d’intégrer une structure de type garde nationale, alors pourquoi pas.
Et encore faudrait-il que l’armée dispose à nouveau d’infrastructures adaptées, de cadres suffisants ( ce pourrait être l’occasion de recycler certains engagés enfin de contrat, et des réservistes) Mais, tout cela a un cout, que je suis prêt à assumer via mes impôts, je ne suis pas certain que ce soit le cas de la majorité.
@alinea
C’est une mauvaise manip de ma part.SI les liens sont rompus retapez les dans la barre d’adresse. vous jure que vous ne serez pas déçu.la conférence de Courtillot et très facile à suivre et captivante. Quant au rapport il est composé d’un résumé et du rapport par lui même ,171 pages quand même, mais quel régal.
Combien va coûter la COP 21 ? Combien d’avions
supplémentaires, Combien l’augmentation de tous ces véhicules VIP va t’il
polluer Paris ? 20 à 30000 personnes vont être présentes en une ou deux
semaines. Qui va payer ? « C’t’une Bonne question » comme disait
Georges Marchais a ELKABACH dans les années 70.
Le climat, le réchauffement, tout le monde en parle, depuis quelques années
c’est un dogme. Tous ceux qui émettent des doutes sont qualifiés d’hérétiques
et interdit d’intervention sur les médias. Voir l’affaire récente Philippe
Verdier viré de France 2.
Les décisions qui seront prises lors de cette COP 21seront telles appliquées, rien n’est moins sûr, et s’acharner à vouloir réguler la température terrestre est louable mais cela reste assez présomptueux.
Avant de polémiquer, il serait peut-être temps de revenir aux fondamentaux et au bon sens.
L’ensemble du système, dans lequel notre terre circule, est piloté par notre soleil dont le diamètre est 109 fois celui de la terre. Qu’un réchauffement global soit en cours soit, mais n’est-on pas simplement au début d’un cycle naturel, lié à l’activité solaire. La communauté scientifique penche d’ailleurs vers cette thèse depuis quelques années, ce qui paraitrait plus logique étant donné que sa masse représente 99.8% de la masse totale du système solaire…. !
D’autre part à l’échelle du temps géologique la période des 200 ans passés ne correspond à presque rien. Ramenée à une journée de 24 heures depuis l’accrétion terrestre (4.5 milliards d’années), l’ère industrielle ne représente que 1 centième de secondes.
L’alarmisme climatique déclenché depuis une dizaine d’années, par les travaux d’un organisme politico scientifique est-il nécessaire ? Les analyses et données font débat dans le milieu scientifique, au sujet de l’origine anthropique du léger réchauffement observé sur une période bien courte. Le propre du raisonnement scientifique dans tous les domaines, c’est le doute et la remise en cause permanente.
En 2007 la projection mathématique des calculs du GIEC donnait une augmentation constante de la température depuis 1950 jusqu’à atteindre 4.6 ° à la fin du 21 siècle. Dans le dernier rapport il apparait bien une pose de cette augmentation de température depuis 1999 contredisant leurs rapport 2001 et 2007.La cause anthropique peut être mise en évidence, mais pas à un niveau suffisant.
Heureusement pour ceux qui s’intéressent à l’affaire, internet permet de vérifier que les allégations dont on nous assène avant chaque réunion de type COP, sont souvent sujettes à caution. Encore faut-il prendre le temps de lire et de visionner, ce que nos décideurs ne font pas. Ils sont alimentés par un canal unique, le GIEC.
Pour bien ouvrir les yeux et les oreilles, que je conseille à ceux qui ne s’informent que par le biais des medias et de la presse :
1/Télécharger le livre blanc sur le réchauffement climatique mis en ligne par (www.scmsa.eu) Ce document, rédigé par des mathématiciens objectifs et sans allégeance, est éclairant.
2/ visionner la conférence donnée à l’université de Nantes en 2009 par Vincent Courtillot, ex directeur de l’Institut de physique du globe de Paris, en conférence à l’université de Nantes, en septembre 2009, visionnable en 5 parties :
« http://www.Dailymotion.Com/fr/relevance/search/vincent+COURTILLOT/1# » qui démontre de façon magistrale et claire, le peu d’esprit scientifique qui a présidé aux études du GIEC ayant abouti aux conclusions sur l’origine anthropique réchauffement climatique dans leur rapport de 2007.
Alors ce débat sur le climat et CO2 anthropique est certes nécessaire et bien loin de moi l’idée de persister dans l’hyperconsommation ; des réajustements dans notre mode de vie sont nécessaires mais sans catastrophisme extrême et surtout sans se relancer dans le système pervers de l’hyperconsommation verte : Car le vrai problème est la ; ce que j’appelle l’écologie mercantile. L’écologie, la vraie devrait au contraire doit nous amener à faire d’importantes économies au sein de chaque famille.
Pour en finir et revenir à la COP 21 tous les décideurs du monde y seront nous dit-on ; je ne pose qu’une seule question : Dieu sera-t-il présent à Paris ?
Combien va coûter la COP 21 ? Combien d’avions
supplémentaires, Combien l’augmentation de tous ces véhicules VIP va t’il
polluer Paris ? 20 à 30000 personnes vont être présentes en une ou deux
semaines. Qui va payer ? « C’t’une Bonne question » comme disait
Georges Marchais a ELKABACH dans les années 70.
Le climat, le réchauffement, tout le monde en parle, depuis quelques années
c’est un dogme. Tous ceux qui émettent des doutes sont qualifiés d’hérétiques
et interdit d’intervention sur les médias. Voir l’affaire récente Philippe
Verdier viré de France 2.
Les décisions qui seront prises lors de cette COP 21seront telles appliquées, rien n’est moins sûr, et s’acharner à vouloir réguler la température terrestre est louable mais cela reste assez présomptueux.
Avant de polémiquer, il serait peut-être temps de revenir aux fondamentaux et au bon sens.
L’ensemble du système, dans lequel notre terre circule, est piloté par notre soleil dont le diamètre est 109 fois celui de la terre. Qu’un réchauffement global soit en cours soit, mais n’est-on pas simplement au début d’un cycle naturel, lié à l’activité solaire. La communauté scientifique penche d’ailleurs vers cette thèse depuis quelques années, ce qui paraitrait plus logique étant donné que sa masse représente 99.8% de la masse totale du système solaire…. !
D’autre part à l’échelle du temps géologique la période des 200 ans passés ne correspond à presque rien. Ramenée à une journée de 24 heures depuis l’accrétion terrestre (4.5 milliards d’années), l’ère industrielle ne représente que 1 centième de secondes.
L’alarmisme climatique déclenché depuis une dizaine d’années, par les travaux d’un organisme politico scientifique est-il nécessaire ? Les analyses et données font débat dans le milieu scientifique, au sujet de l’origine anthropique du léger réchauffement observé sur une période bien courte. Le propre du raisonnement scientifique dans tous les domaines, c’est le doute et la remise en cause permanente.
En 2007 la projection mathématique des calculs du GIEC donnait une augmentation constante de la température depuis 1950 jusqu’à atteindre 4.6 ° à la fin du 21 siècle. Dans le dernier rapport il apparait bien une pose de cette augmentation de température depuis 1999 contredisant leurs rapport 2001 et 2007.La cause anthropique peut être mise en évidence, mais pas à un niveau suffisant.
Heureusement pour ceux qui s’intéressent à l’affaire, internet permet de vérifier que les allégations dont on nous assène avant chaque réunion de type COP, sont souvent sujettes à caution. Encore faut-il prendre le temps de lire et de visionner, ce que nos décideurs ne font pas. Ils sont alimentés par un canal unique, le GIEC.
Pour bien ouvrir les yeux et les oreilles, que je conseille à ceux qui ne s’informent que par le biais des medias et de la presse :
1/Télécharger le livre blanc sur le réchauffement climatique mis en ligne par (www.scmsa.eu) Ce document, rédigé par des mathématiciens objectifs et sans allégeance, est éclairant.
2/ visionner la conférence donnée à l’université de Nantes en 2009 par Vincent Courtillot, ex directeur de l’Institut de physique du globe de Paris, en conférence à l’université de Nantes, en septembre 2009, visionnable en 5 parties :
« http://www.Dailymotion.Com/fr/relevance/search/vincent+COURTILLOT/1# » qui démontre de façon magistrale et claire, le peu d’esprit scientifique qui a présidé aux études du GIEC ayant abouti aux conclusions sur l’origine anthropique réchauffement climatique dans leur rapport de 2007.
Alors ce débat sur le climat et CO2 anthropique est certes nécessaire et bien loin de moi l’idée de persister dans l’hyperconsommation ; des réajustements dans notre mode de vie sont nécessaires mais sans catastrophisme extrême et surtout sans se relancer dans le système pervers de l’hyperconsommation verte : Car le vrai problème est la ; ce que j’appelle l’écologie mercantile. L’écologie, la vraie devrait au contraire doit nous amener à faire d’importantes économies au sein de chaque famille.
Pour en finir et revenir à la COP 21 tous les décideurs du monde y seront nous dit-on ; je ne pose qu’une seule question : Dieu sera-t-il présent à Paris ?
La commission européenne vient de se fendre d’une décision logique. Bien sûr, elle ne plaira pas a certains.
Il est bien évident que si on ne peut pas excuser VW d’avoir trompé son monde, la tricherie VW est la résultante de normes trop contraignantes demandées aux constructeurs. D’autres parts, on ne peut pas non plus mettre par terre un pan important de l’industrie européenne surtout dans la situation économique actuelle.
Dans ces problématiques liées à l’environnement ou au climat, tout est affaire de compromis ; Il n’y a pas de solution miracle.
Quelles que soient les compétences des ingénieurs motoristes de VW ou des autres marques il y a toujours une limite. Aujourd’hui les normes euros 6 et puis, au fur et à mesure des possibilités de détections des particules, on en en arrivera dans l’absolu à supprimer les véhicules à moteur thermiques avant d’avoir mis en place les techniques de remplacement. Soyons sérieux comme dirais un certain président « il faut donner le temps au temps »
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