Je m’attendais à des réactions plus virulentes. Surtout quand je compare la Démocratie, loi du plus grand nombre, à la loi des « bandes ». Et personne n’en parle. Un commentateur propose un « permis de voter ». C’est dans les faits ce qui se passait effectivement dans la Gréce antique où ce n’est pas tout le peuple qui avait le droit de voter comme le remarque quelqu’un. Enfin pour continuer à donner des précisions il faut observer le mot « monarche » employé par Platon. Il doit être pris dans son sens éthymologique « monos »= seul et « arkhos »= celui qui guide. Nous n’avons pas de mot équivalent en français. Le mot « président » n’est pas assez fort. Et le mot « führer » est au contraire si connoté que pour le coup il va déclencher la.... fureur.
Cet inventaire est exact. Mais il faut faire une différence entre ceux qui ont gagné les grosses sommes que vous mentionnez et ceux qui se les sont faites attribuer en se débrouillant bien. Pour celui qui gagne l’argent qu’il a, je n’ai rien à dire. Et par exemple le gagnant du Loto qui pendant des années a acheté son ticket sans rien toucher et puis soudain décroche le gros lot, ou bien celui qui monte une entreprise en prenant tous les risques et ensuite est récompensé. Rien à dire non plus. Il y en a trop qui prennent au contraire un bouillon. Mais ceux qui se font attribuer des émoluements pharamineux comme Domenech, ou Boutin ou autres, pas d’excuse. C’est honteux.
J’ai lu avec beaucoup d’attention votre article et je trouve qu’il est bien rédigé. D’une certaine façon il fait penser par sa répétition au célèbre « J’accuse » de Zola. Mais ce que je lui reproche c’est qu’il suppose que nous soyons au courant de ce discours de Grenoble. Or je suis en vacances et j’avoue que je ne m’y suis pas intéressé de près. Notre président s’est tellement dévalorisé par des propos qui n’ont jamais eu de suite que je ne m’intéresse plus à ce qu’il dit.
Voilà pourquoi je ne comprends pas bien les sens de tout l’article. Je vois qu’il semble avoir séparé les français en deux camps, qu’il flatte nos penchants les plus vils. Je lis aussi ses déclarations de candidat. Mais ces informations ne me disent pas ce qu’il a fait maintenant pour que je puisse moi aussi juger. Car l’essentiel dans un article me semble la possibilité laissée au lecteur de pouvoir lui aussi se faire un jugement à partir des arguments que vous donnez. C’est dommage.
A peine viens je de faire une suggestion qu’il m’en vient une autre. La voici
Chaque auteur écrit sur un sujet qui lui tient à coeur. Si les avis des autres lui sont indifférents il le publie sur un blog où il bloque les commentaires. Sinon il le publie sur Agora Vox. Et alors les commentaires qu’il reçoit l’amènent parfois à changer d’opinion. C’est la discussion à la manière de Socrate, la plus élégante qui soit.
De même qu’Agora Vox demande un avis des lecteurs sur les auteurs, de même il faudrait que les auteurs puissent donner un avis sur les commentaires qui leur sont faits et sur le degré d’influence qu’ils ont eu sur leur réflexion. Par exemple en donnant à ces auteurs la possibilité de signaler les commentaires qu’ils ont le plus appréciés notés ***, puis ** puis *. Et le top serait de classer ensuite ces commentaires en commençant par les ***.
Ainsi la balance serait égale entre auteurs et commentateurs ces derniers étant pénalisés s’ils se bornent à l’invective comme c’est souvent le cas puisque eux ne passent par aucune sélection ! Et pourtant il n’y aurait pourtant pas de censure, chose horrible.
D’abord félicitation pour le principe d’Agora Vox. J’ai déjà publié plusieurs articles. Voici ma suggestion pricipale :
Chaque auteur devrait pouvoir supprimer les articles qu’il a écrits et qu’il trouve désuets ou pour lequel les commentaires l’ont amené à changer d’avis. Cette auto sélection serait un plus considérable pour la qualité d’Agora Vox
Diogène
Merci de vos commentaires et en particulier pour Ethos. Il me semble suffisamment documenté pour savoir quel est le prix Nobel d’Economie qui a écrit « Le libéralisme estime qu’il est bon que soit traduit en loi seulement ce qu’accepte la majorité, mais il ne croit pas que le résultat soit forcément une bonne loi ». Alors je pense faire un nouvel article pour montrer pourquoi, à mes yeux les termes Démocratie Libérale sont antagonistes, la Démocratie privilégiant le nombre et le Libéral privilégiant au contraire l’individu. Mais encore faut il que les lecteurs soient d’accord pour en débattre sereinement pour le simple plaisir d’exposer des idées.
Bonjour Ariane.
J’ai beaucoup apprécié votre article. Je suis devenu veuf en 2003 et c’est grâce à Meetic que j’ai trouvé la nouvelle compagne avec laquelle je vis depuis 4 ans. Je ne me voyais pas aller dans les bals pour trouver quelqu’un. Je remercie infiniment Meetic. C’est vrai que j’ai cherché pendant longtemps car, si, jeune, il est facile de s’accorder, c’est beaucoup plus difficile quand on prend de l’âge. En effet beaucoup de personnes seules portent la solitude déja en elles. Mon plus grand regret est de n’avoir pas consigné les rencontres que j’ai faites pendant ma recherche. Chacune d’elles était très émouvante. Comme celle ci où celle que je rencontrais et à laquelle j’essayais de dire que j’allais réfléchir me demanda au moment de nous quitter « Voulez vous être aimable juste un peu. Avant de nous quitter, prenez moi dans vos bras ». Oui merci encore de votre article.
Oui cet article est percutant et il reflète évidemment la vérité. Les commentaires qui l’accompagnent sont excellents eux aussi. Et comment être lu dans cette masse ? Impossible. Ce qui ne marche pas par contre c’est la contrainte. Et que ce soit Nicolas Sarkozy ou bien d’autres c’est la seule solution qu’ils voient. Et ce n’est pas une solution. Les voeux pieux non plus n’en sont pas une « il faudrait que les parents.... » « Il faudrait que les enseignants... » et tuti quanti.
J’ai été prof 40 ans. Aujourd’hui, grâce à Dieu j’en suis sorti. Mais évidemment je me sens concerné. Alors j’ai écrit sur un site (http://revesdefrance.free.fr ) la solution qui nous sortirait de là. Mais qu’on ne s’inquiète pas, elle ne sera jamais appliquée.
Au fil des jours des mois et des années Internet nous permet de suivre en direct le suicide de l’Occident. La conversion de Diams est une chose. Les réactions précédentes sont elles aussi révélatrices. Soit on ricane, soit on déblatère, soit on rabaisse. Et si j’étais Diams ces réactions me conforteraient dans ma décision. Face à l’immoralité qui nous submerge ( notre propre ministre de la culture adepte du tourisme sexuel !) et notre adoration du Dieu Argent, elle a le courage de tourner le dos. Je dis « Chapeau ! ». Et je suis loin d’être islamiste puisque je suis un vieux pépé de la campagne. Sarcarstiques de tous poils à vos plumes !
Une leçon de mon prof de philo, il y a très très longtemps, m’avait fortement impressionné. C’était une expérience. On donnait du grain à des poules situées derrière un grillage fermé, et ce grain elles ne pouvaient l’atteindre qu’en passant la tête à travers le grillage. Il était donc presque inaccessible pour elles .
Or si on enlevait la partie du grillage située dans leur dos, elles tournaient à peine la tête, et continuaient à se précipiter , en vain, contre le grillage pour essayer d’attraper du grain. Evidemment, il leur aurait suffit de faire demi tour, de sortir par la brèche ouverte et de venir picorer à volonté. Mais elles n’y songeaient pas.
Les témoignages que je viens de lire sont émouvants, surtout par ces détails qu’il est impossible de donner quand on n’est pas soi même dans le bain. Mais ce qui me désespère c’est que, eux aussi, se heurtent contre le grillage. Et si on leur disait que la solution est de faire demi tour, il diraient " Qu’est ce que c’est encore que cette connerie ?"
Très beau témoignage. Et finalement porteur d’espoir puisque tu as réussi à sortir de l’enfer où tu étais et que surtout il existe encore des établissements où l’enseignement est normal.
Chaque réforme nous fait descendre une marche vers la grande misère de l’éducation. Au fait félicitations pour cette citation de Platon que j’ai tout de suite reconnue.
Sur Agora vox j’ai fait passer un article où il serait facile de remèdier à tout ça, mais ce n’est pas politiquement correct , alors on va continuer à descendre nos marches vers le fond.
Ca me fait penser à cette appréciation de prof sur un élève " A déja touché le fond depuis longtemps et réussit quand même à descendre encore"
Bon développement et bien argumenté. Je suis aussi tout à fait du même avis sur l’intérèt des discussions sans passion. Comme le disait Socrate ( par l’intermédiaire de Platon) " d’accord pour DISCUTER et non pour DISPUTER".
Les cafés philo sont un échappatoire à notre besoin de participation et de réflexion, dans une société où tout devient de plus en plus "moulu d’avance". Mais ce qui manque parfois à ces cafés philo c’est la synthèse nécessaire pour faire le point. A cet égard je relève dans votre texte : "D’ici quelques jours nous pourrons lire la synthèse sur internet, garder une trace de la soirée que le retour en voiture aura prolongée…". Dommage que (sauf erreur de ma part) le lien du site où on peut trouver ces synthèses ne soit pas donné.
Amicalement
Diogène
Oui c’est une données prise en compte par les anciens que j’ai oublié de signaler. Les solides réguliers pris en compte par les anciens étaient des solides convexes*. Si on ne pose pas cette condition il en existe effectivement d’autres.
Merci
* Solide convexe= solide tel que si on prend deuc points de ce solide, tout segment ayant ces deux points pour extrémité est contenu en entier dans le solide.
Certes ce débat est fondamental. L’éducation est évidemment une priorité. Pas étonnant que les problèmes qui la concernent émeuvent beaucoup de monde. Déja le 1° février j’ai publié ici ce que serait une vraie réforme de l’enseignement (http://www.agoravox.fr/ecrire/articles.php3?id_article=35099) . Mais inutile de prendre peur . Elle ne se fera jamais car elle n’est pas politiquement correcte.
Ce qui est navrant c’est de constater notre aptitude à débattre "à coté de la plaque". Le problème n’est plus de savoir si un site comme Note2be est acceptable ou non. Le problème est dorénavant de savoir comment nous allons vivre avec. En effet il est désormais impossible d’empêcher l’existence de sites où on notera les professeurs. Il est facile de voir que pour le moment le site Note2be va fermer. D’autres s’ouvriront clandestinement. C’est tout ce que nous y aurons gagné. Cette stupidité est navrante.
Comme j’ai malheureusement pas mal d’ancienneté j’ai vu ce processus mainte fois reproduit. Dans mon village il y a eu les mêmes manifestations contre l’implantation d’un supermarché. Il ne s’est effectivement pas créé chez moi. Et maintenant tout le monde va faire ses courses au village voisin qui l’a accepté, et mon village se meurt. A l’arrivée du minitel puis d’internet même levées de boucliers. On se demandait comment l’interdire tant il allait contribuer à semer la mauvaise graine dans les esprits. Et c’était probablement vrai. Mais le problème n’était plus là. Il était impossible de l’arrèter.
" France, mère des Arts des Armes et des Lois " tu es toujours en retard d’une guerre !
Je comprends très bien la suspicion de ce commentaire envers un prétendu enseignant qui écrit "vélléitère" au lieu de "velléitère" , honte d’autant plus grande que, paraît il, il commet cette faute à plusieurs reprises ! Hélas je suis désolé de lui confirmer que j’ai bien été enseignant pendant quarante années. Mais je pense que dans mon cours de maths il ne m’a heureusement jamais été demandé d’écrire ce mot devant mes élèves. C’est une chance. Mais mon honorable correspondant apporte ainsi une preuve que la dégradation de l’enseignement ne date pas d’aujourd’hui.
Mais je crois cette invitation inutile puisque le texte de mon site à aussi été publié par Agora Vox la semaine passée. Je lui ai simplement apporté quelques aménagements ce qui est le grand atout d’internet. Les professeurs de philo savent que justement Socrate s’opposait à la chose écrite (il n’a laissé aucun texte !) car il lui reprochait d’être figée. Avec internet cet inconvénient disparait. Un texte est perpétuellement modifiable à volonté au fur et à mesure des observations qu’il suscite. C’est un merveilleux atout.
Merci de votre commentaire.
Naturellement j’étais justement professeur de mathématiques. J’ai donc souvent rencontré des élèves "nuls" en maths. Mais ce sujet sera pour une autre fois.
Vous écrivez " Nous sommes d’accord, ce que les parents veulent pouvoir dire c’est : mon fils est nul en conjugaison vu qu’il a 5 sur 20 alors qu’il est bon en maths vu qu’il a 17 sur 20. Et les élèves eux-mêmes (surtout les bons) réclament des notes. D’ailleurs nombre d’entre eux ne travaillent que pour cette "médaille". Mais cette méthode comptable est injuste et approximative précisément parce qu’elle ne peut pas rendre compte de ce qui n’est pas toujours quantifiable par une note et qui est pourtant, souvent, l’essentiel. Bref, si la notation pose problème, il y a une solution simple : arrêter de noter. "
D’abord je crois que c’est une très mauvaise chose de travailler à l’audimat, c’est à dire sous la pression des parents d’élèves. Nous ne devons adopter des mesures que parce que nous pensons qu’elles sont bonnes.
Ce qui par contre m’étonnerait, si j’étais vous, c’est que vous reconnaissez que les bons élèves aiment être notés. Ici encore je dois revenir sur cette constatation qui fait qu’en France nous savons traiter avec sérieux ce qui est futile et nous sommes laxistes avec ce qui demanderait à être traité sérieusement. Par exemple allez dire aux joueurs de foot que leur match sera sanctionné par une appréciation générale, et non par un score. Ce serait une révolution. Or vous pouvez dire cela dans l’enseignement sans vous faire lyncher.
Oui ce sont les notes qui stimulent les élèves. Et c’est bien dommage que nous les dévalorisions en leur permettant de les marchander, car elles seraient une excellente motivation. Et les supprimer relève de la même logique qui consiste à casser un thermomètre quand un malade à la fièvre. Mais il ne s’en porte pas mieux pour cela.
Merci pour votre commentaire.
J’y relève la phrase suivante " Votre désir de bien faire vous a donc poussé à vous faire noter par vos élèves ?... Voilà une idée qui ne me viendrait pas avec mes propres enfants. Non que j’aie toujours raison, mais mon intransigeance à leur faire croire que c’est le cas les pousse à trouver les arguments pour me prouver que j’ai tort. Ce que j’admets volontiers lorsque leurs démonstrations sont convaincantes, clairement exposées. Cette victoire sur moi est leur plus belle récompense, encore faut-il la mériter."
Je la trouve très intéressante...car je ne la comprends pas très bien.
Ce n’est pas un désir de bien faire qui m’a fait demander leur avis aux élèves. je trouvais simplement que c’était une mesure de justice. Et j’en ai toujours été récompensé. Les élèves étaient contents que je demande leur avis. De même je suis content quand la marque de ma voiture me demande si j’ai été content de leur concessionnaire. C’est dommage que vous n’ayez pas tenté l’expérience une fois. Je suis sùr que vous en auriez été étonné car les enfants sont intraitables mais justes. Et en tant qu’enseignant je trouve que la justice est essentielle. Mais évidemment c’est mon humble avis.
Vous dites aussi " mon intransigeance à leur faire croire que c’est le cas les pousse à trouver les arguments pour me prouver que j’ai tort.". Cette stimulation est surement efficace. Mais elle part du principe que c’est par la confrontation qu’on s’élève. Je sais que c’est une théorie. Mais je suis beaucoup plus pacifique. J’aime beaucoup la réponse de Socrate à un de ces interlocuteurs auquel il répondit " Je suis d’accord pour DISCUTER mais s’il s’agit de DISPUTER je renonce ".
En toute amitié.
RP
Pourtant vous avez semblé aussi cherché à etre juste puisque vous acceptez " les démonstrations convaincantes". Et la fin est encore plus mystérieuse.
Merci pour votre commentaire.
Il est d’ailleurs remarquable de lire sa première phrase "Merci pour cet article qui fait réfléchir. Vos thèses sont à l’évidence trop mécanistes. Vous vous rapprochez de l’utopie de Jules Ferry qui aurait souhaité que, dans chaque classe de France et de Navarre, et au même moment, tous les élèves d’un même niveau étudient la même leçon"
Je ne savais pas effectivement que ce rève était celui de Jules Ferry. Mais mon Dieu maintenant que je le sais je trouve que c’était un beau rève, malheureusement inaccessible à son époque où il fallait plusieurs jours pour rejoindre la capitale quand on habitait à Nice par exemple.
Et justement Internet rend aujourd’hui possible ce beau rève, alors qu’il n’est plus question en France que de lycées d’élites et de lycées défavorisés et de supprimer la carte scolaire dont viendrait la disparité extrème de nos enseignements. Alors que nous aurions maintenant les moyens de rétablir cette égalité dont révait Jules Ferry , nous allons probablement par aveuglement passer à coté de cette chance. Quel dommage.
Et je dois avouer que si j’étais un jeune des banlieues je serais sans doute aussi exaspéré qu’eux de constater, sous des déclarations d’intentions plus grandiloquentes les unes que les autres, que ces diplomes dont on leur fait dorénavant cadeau ne servent à rien, et qu’aujourd’hui, grâce à nos grands principes, il faut être un fils à papa pour être sur d’avoir une bonne place ( voir les listings à la télévision par exemple)
Les hasards de la navigation sur le net m’ont amené sur votre texte. Je suis originaire de Luzech dont je parcours depuis plus de 60 ans toutes les collines. J’ai évidemment connu les textes de César et d’Hirtius auxquel j’ai été envoyé par l’étude parue en 1930 « De la Barbacane au pont du diable » dont l’auteur est H Pelissié, lui aussi natif de Luzech.
J’ai beaucoup apprécié vos développements. Sur Wikipedia j’avais déjà mis le texte paru sur Uxellodunum dans les éditions de La Pléiade, et qui lui aussi plaide pour Luzech.
Naturellement je suis heureux de savoir que mon village peut avoir d’aussi illustres origines. Mais l’objectivité me fait dire que si un jour on veut savoir sans aucune hésitation où était le véritable emplacement d’Uxellodunum, il faut absolument retrouver les squelettes de ces mains qu’il a fait couper. Et à Luzech il y a eu beaucoup de travaux qui vont rendre impossible cette recherche : le barrage EDF de 1950, et le canal qui existait au XIX° siècle dans la partie resserrée de l’isthme.
Comme je ne crois pas qu’il y ait eu ces mêmes travaux dans les autres sites présumés, ce serait à eux de chercher les preuves irréfutables.
Amicalement
RP
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