ça parait si simple, c’est tout bonnement consternant que ces solutions........ soient proposées par des gens soi-disant sensés !!!!!! Premier point : pour n’avoir que des voitures électriques, il faut doubler le parc nucléaire ! Ca n’est dit nulle part, bien sûr ! L’éolien c’est de la daube, les USA ont fermé un champ immense d’éoliennes : trop cher, pas rentable, rendement débile ! Les Allemands ont freiné brutalement sur l’éolien, rendement : 16% de ce que les escrolos avaient promis. Et en avant la construction de centrales au lignite ! Le voltaïque ? oui oui en Afrique,. La bouse de vache : quand les gens vont se geler les roubignolles, on avisera !
Allende était un coco débile profond autocrate.
En France, les cocos éternels transformeurs de l’histoire et toujours admirateurs des plus autocrates de la terre négationeront les réalités du Chili. (comme ils font actuellement avec le Vénézuéla).
Les Français auront des informations parcellaire de la réalité économique du pays.
Un peu d’histoire pour les ignorants :
Elu avec seulement 36% des voix, Allendé « communistera » le pays« et creusera sa propre tombe.
Il étatisera l’économie. Il enfermera les grévistes qui s’opposent (mines de cuivre). Il nationalisera le papier, et empêchera les journaux d’opposition d’en avoir. Les entreprises privées fermeront en masse et le chômage de masse apparaîtra. Les magasins deviendrons vides. Les agriculteurs victimes de Allende et son autocratisme communiste se révolteront contre les spoliations de leurs terres par l’état.
L’état Chilien sous Allende créera la plus grosse dette mondiale. Il sera obligé de venir a Paris négocier son remboursement. L’URSS et les pays communistes lui donneront plusieurs milliards pour sauver la »planification comuniste« .
Il créera la plus grosse inflation mondiale connue : 606% l’année.
Ce débile profond créera des comités de quartier (Juntes militarisées) pour contrôler l’accès aux marchandises des magasins devenus étatisés.
En août 1972, les prix des denrées nécessaires augmentent en un jour de 200%. Des émeutes violentes éclatent. Allende sera obligé de mettre en »couvre feu" la province de Santiago.
En octobre 2012 il fera enfermer les petits artisans camionneurs qui s’opposent à la nationalisation des moyens de transport et les grévistes camionneurs. Une grève générale s’ensuivra. 70% des commerces et des entreprises stopperont leurs activités.
Le couvre feu deviendra national.
En bon autocrate, il fera fermer les radios.
Même l’administration consciente des spoliations refuse d’appliquer les décisions de justice tellement elle trouve dégueulasse les méthode de Allende.
Le 6 septembre 73, le gouvernement de Allende annonce que le pays n’a plus que 6 jours de farine disponible...il n’y absolument plus rien dans les magasins.
Les pneus et le carburant est indisponible. La crise, l’angoisse est terrible, la violence est a son paroxysme.
Le 11 un coup d’état le destitue......
Ah ces Parisiens, tête de chien...,Parigot, têtes de veau ! J’habite à côté de Monpezat. Nous ne sommes pas en Provence, mais en Languedoc !!!!!!!!!!! Oui, il y a une grosse différence !!!!!! Et Pagnol, c’est la provence !!!!!!
Confondre Languedoc et Provence, c’est confondre Brest et Strasbourg !
Sans rancune !
A sampierro n et la déchéance de la nationalité. Pénible l’ignorance des commentateurs qui glosent, qui glosent à perte de vue, ignorants des principes élementaires : Aucun pays ne peut déchoir de sa nationalité, l’un de ses ressortissants. En clair, pour les ignares, aucun pays ne peut transformer l’un de ses ressortissants en apatride.
Jamais lu autant d’âneries !!!!! On sent la vieille vulgate marxiste là dessous !
Oui très caricatural ! D’autres manifestants avaient choisi de défiler avec des pancartes avec la photo du pape… Des prières en pleine rue, des rosaires ou des chapelets dans les mains
Oh quelle horreur !! Les musulmans qui se vautrent par terre dans les rues, en criant jusqu’à plus soif, Dieu est grand, le cochon est grand aussi, ces musulmans n’attirent pas la haine de l’auteur de l’article ! Etrange
Ce que l’on peut trouver comme âneries !!! Les patrons, les patrons, les patrons !! Il y a sauf erreur 300 000 employés par les grosses entreprises. Le reste : que des petites ou moyennes entreprises.
Et dans ces petites entreprises, le personnel est tranquille et fait son boulot sans se syndiquer !!
Mais les règles d’embauche sont aussi contraignantes que dans les grosses boîtes. Ce qui est aberrant. L’entreprise de plomberie qui décroche un gros contrat, contrat qui dépasse ses capacités, doit embaucher. Elle va y réfléchir à deux fois. Quand le contrat sera terminé, elle est obligé de débaucher, sinon il va droit à la faillite. Si elle embauche en CDD pour 6 mois, et que le chantier dérape de deux mois, nous voilà parti pour une galère royale !!!! Tout, Tout est aberrant. Nos énarques, qui n’ont jamais mis les pieds dans une entreprise sauf en stage, à apporter les cafés et faire les photocopies, ne comprendront jamais les problèmes de l’entreprise. Mélanchon et la CGT par dessus tout ça, on repart en Union Soviétique (le paradis dont le bilan est globalement positif (Marchais) , je pouffe !. (La CGT qui a coulé le port de Marseille, qui a coulé Lipp, qui a coulé Le France etc etc)
Intérrogez les spécialiste du transport d’oeuvres d’art. Leurs hangars sont plein d« ’oeuvres » d’art contemporain, que les concepteurs ne réclament jamais après une expo, parce qu’elles n’ont aucune valeur ! Un de mes amis avait fait une expos dans son jardin, d’immenses tôles éparpillées, des tonnes et des tonnes de ferraille plus ou moins rouillées. L’artiste n’a jamais voulu les reprendre. Il les débite au kilomètre !! Et de temps en temps en vend à des imbéciles !!!!!!!! sans autre commentaire !
Je lisais, lisais, les commentaires en me disant : il n’y aura personne pour dire que cet article pue le socialisme à plein nez ! Si je résume l’auteur benêt dans sa naiveté : les pays du Nord ont fait ce qu’il fallait : restructuration du périmètre de l’Etat, diminution des dépenses, etc etc. Les pays du sud (le club Med) ont vécu à crédit pendant 30 ans.Et mieux : malgré le fait d’être obligés d’emprunter sur les marchés et non plus à une Banque centrale nationale qui imprimait les billets plus vite qu’un curé ne pouvait les bénir, ils ont emprunté et emprunté. Et l’auteur de l’article nous dit : S.alauds du Nord, vous allez nous faire crever !!! On sent là, le vieux fond marxiste caché, bien enrobé dans la sauce Sciences Po-Ena. Devinez de qui est la citation ci-après :
Le Libéralisme existe depuis que le monde existe. Mais des hommes ont décidés de s’emparer des richesses créer par ce système en s’emparant du pouvoir de différente façon et en réduisant en esclavage les producteurs de richesse. Pour s’emparer de ce pouvoir, toute sorte de technique ont été employé à travers l’histoire. Le socialisme est une des techniques les plus populaire car elle ne nécessite que peu de moyen, contrairement à la guerre. Il suffit simplement de diffuser la haine des riches et de promettre n’importe quoi aux peuples (à l’aide d’une certaine capacité dans l’art oratoire) pour l’obtenir.
Ne réfléchis pas, c’est plié . J’esseplique : On contruit 100 000 maisons voltaïques. Youpee ! on dit à l’EDF : pas d’inquiétude, on ne vous demande rien ! Youpee !!! Seulement les habitants de ces maisons vont dire : hé ho, la nuit il nous faut du courant, ainsi que les jours sans soleil !!!! Que voulez-vous que dise EDF ?????? Faut qu’on construise une nouvelle centrale !!! A vous de choisir : charbon ? Gaz ??? Nucléaire ????? Et cette embrouille, personne ne vous en parle ! Alors, ne vous laissez pas avoir par des charlots ! Pour chaque installation voltaïque, EDF prévoit le suplus à produire et construit en conséquence ! (Je signale, qu’en Allemagne, ils ont été obligé de mettre en marche des centrales au lignite !!!!! Comme polluant, y a pas mieux !)
Seul le régime syrien résiste à ce mouvement généralisé d’islamisation au prix d’une incompréhension généralisée et de l’opprobre internationale.
Avant de développer ce sujet, je crois devoir faire une mise au point puisque d’aucuns croient déceler dans mes propos et prises de positions des relents d’extrême droite et de complaisance pour les dictatures.
Je me rends régulièrement en Syrie depuis 1966 et y ai résidé pendant plusieurs années. Je ne prétends pas connaître intimement ce pays mais je pense quand même mieux le connaître que certains de ces journalistes qui en reviennent pleins de certitudes après un voyage de trois ou quatre jours.
Mes activités m’ont amené à devoir fréquenter à divers titres les responsables des services de sécurité civils et militaires syriens depuis la fin des années 70. J’ai pu constater qu’ils ne font ni dans la dentelle ni dans la poésie et se comportent avec une absolue sauvagerie. Ce n’est pas qu’ils ont une conception différente des droits de l’homme de la nôtre. C’est qu’ils n’ont aucune conception des droits de l’homme…
Leur histoire explique en grande partie cette absence. D’abord, ils puisent leur manière d’être dans quatre siècle d’occupation par les Turcs ottomans, grands experts du pal, de l’écorchage vif et du découpage raffiné. Ensuite, ils ont été créés sous la houlette des troupes coloniales françaises pendant le mandat de 1920 à 1943, et, dès l’indépendance du pays, conseillés techniquement par d’anciens nazis réfugiés, de 1945 jusqu’au milieu des années 50, et ensuite par des experts du KGB jusqu’en 1990. Tout ceci n’a guère contribué à développer chez eux le sens de la douceur, de la tolérance et du respect humain.
Quant au régime syrien lui-même, il ne fait aucun doute dans mon esprit que c’est un régime autoritaire, brutal et fermé. Mais le régime syrien n’est pas la dictature d’un homme seul, ni même d’une famille, comme l’étaient les régimes tunisien, égyptien, libyen ou irakien. Tout comme son père, Bashar el-Assad n’est que la partie visible d’un iceberg communautaire complexe et son éventuel départ ne changerait strictement rien à la réalité des rapports de pouvoir et de force dans le pays. Il y a derrière lui 2 millions d’Alaouites encore plus résolus que lui à se battre pour leur survie et plusieurs millions de minoritaires qui ont tout à perdre d’une mainmise islamiste sur le pouvoir, seule évolution politique que l’Occident semble encourager et promouvoir dans la région.
Quand je suis allé pour la première fois en Syrie en 1966, le pays était encore politiquement dominé par sa majorité musulmane sunnite qui en détenait tous les leviers économiques et sociaux. Et les bourgeois sunnites achetaient encore – parfois par contrat notarié – des jeunes gens et de jeunes filles de la communauté alaouite dont ils faisaient de véritables esclaves à vie, manouvriers agricoles ou du bâtiment pour les garçons, bonnes à tout faire pour les filles.
Les Alaouites sont une communauté sociale et religieuse persécutée depuis plus de mille ans. Je vous en donne ici une description rapide et schématique qui ferait sans doute hurler les experts mais le temps nous manque pour en faire un exposé exhaustif.
Issus au Xè siècle aux frontières de l’empire arabe et de l’empire byzantin d’une lointaine scission du chiisme, ils pratiquent une sorte de syncrétisme mystique compliqué entre des éléments du chiisme, des éléments de panthéisme hellénistique, de mazdéisme persan et de christianisme byzantin. Ils se désignent eux mêmes sous le nom d’Alaouites – c’est à dire de partisans d’Ali, le gendre du prophète - quand ils veulent qu’on les prenne pour des Musulmans et sous le nom de Nosaïris – du nom de Ibn Nosaïr, le mystique chiite qui a fondé leur courant – quand ils veulent se distinguer des Musulmans. Et – de fait – ils sont aussi éloignés de l’Islam que peuvent l’être les chamanistes de Sibérie.
Et cela ne leur a pas porté bonheur…. Pour toutes les religions monothéistes révélées, il n’y a pas pire crime que l’apostasie. Les Alaouites sont considérés par l’Islam sunnite comme les pires des apostats. Cela leur a valu au XIVè siècle une fatwa du jurisconsulte salafiste Ibn Taymiyya, l’ancêtre du wahhabisme actuel, prescrivant leur persécution systématique et leur génocide. Bien que Ibn Taymiyyah soit considéré comme un exégète non autorisé, sa fatwa n’a jamais été remise en cause et est toujours d’actualité, notamment chez les salafistes, les wahhabites et les Frères musulmans. Pourchassés et persécutés, les Alaouites ont dû se réfugier dans les montagnes côtières arides entre le Liban et l’actuelle Turquie tout en donnant à leurs croyances un côté hermétique et ésotérique, s’autorisant la dissimulation et le mensonge pour échapper à leur tortionnaires.
Il leur a fallu attendre le milieu du XXè siècle pour prendre leur revanche. Soumis aux occupations militaires étrangères depuis des siècles, les bourgeois musulmans sunnites de Syrie ont commis l’erreur classique des parvenus lors de l’indépendance de leur pays en 1943. Considérant que le métier des armes était peu rémunérateur et que l’institution militaire n’était qu’un médiocre instrument de promotion sociale, ils n’ont pas voulu y envoyer leurs fils. Résultat : ils ont laissé l’encadrement de l’armée de leur tout jeune pays aux pauvres, c’est à dire les minorités : Chrétiens, Ismaéliens, Druzes, Chiites et surtout Alaouites. Et quand vous donnez le contrôle des armes aux pauvres et aux persécutés, vous prenez le risque à peu près certain qu’ils s’en servent pour voler les riches et se venger d’eux. C’est bien ce qui s’est produit en Syrie à partir des années 60.
Dans les années 70, Hafez el-Assad, issu d’une des plus modestes familles de la communauté alaouite, devenu chef de l’armée de l’air puis ministre de la défense, s’est emparé du pouvoir par la force pour assurer la revanche et la protection de la minorité à laquelle sa famille appartient et des minorités alliées – Chrétiens et Druzes - qui l’ont assisté dans sa marche au pouvoir. Ils s’est ensuite employé méthodiquement à assurer à ces minorités – et en particulier à la sienne - le contrôle de tous les leviers politiques, économiques et sociaux du pays selon des moyens et méthodes autoritaires dont vous pourrez trouver la description détaillée dans un article paru il y maintenant près de vingt ans.[2]
Face à la montée du fondamentalisme qui progresse à la faveur de tous les bouleversements actuels du monde arabe, son successeur se retrouve comme les Juifs en Israël, le dos à la mer avec le seul choix de vaincre ou mourir. Les Alaouites ont été rejoints dans leur résistance par les autres minorités religieuses de Syrie, Druzes, Chi’ites, Ismaéliens et surtout par les Chrétiens de toutes obédiences instruits du sort de leurs frères d’Irak et des Coptes d’Égypte.
Car, contrairement à la litanie que colportent les bien-pensants qui affirment que « si l’on n’intervient pas en Syrie, le pays sombrera dans la guerre civile »…. eh bien non, le pays ne sombrera pas dans la guerre civile. La guerre civile, le pays est dedans depuis 1980 quand un commando de Frères musulmans s’est introduit dans l’école des cadets de l’armée de terre d’Alep, a soigneusement fait le tri des élèves officiers sunnites et des alaouites et a massacré 80 cadets alaouites au couteau et au fusil d’assaut en application de la fatwa d’Ibn Taymiyya. Les Frères l’ont payé cher en 1982 à Hama – fief de la confrérie - que l’oncle de l’actuel président a méthodiquement rasée en y faisant entre 10 et 20.000 morts. Mais les violences intercommunautaires n’ont jamais cessé depuis, même si le régime a tout fait pour les dissimuler.
Alors, proposer aux Alaouites et aux autres minorités non arabes ou non sunnites de Syrie d’accepter des réformes qui amèneraient les islamistes salafistes au pouvoir revient très exactement à proposer aux Afro-américains de revenir au statu quo antérieur à la guerre de sécession. Ils se battront, et avec sauvagerie, contre une telle perspective.
Peu habitué à la communication, le régime syrien en a laissé le monopole à l’opposition. Mais pas à n’importe quelle opposition. Car il existe en Syrie d’authentiques démocrates libéraux ouverts sur le monde, qui s’accommodent mal de l’autoritarisme du régime et qui espéraient de Bashar el-Assad une ouverture politique. Ils n’ont obtenu de lui que des espaces de liberté économique en échange d’un renoncement à des revendications de réformes libérales parfaitement justifiées. Mais ceux-là, sont trop dispersés, sans moyens et sans soutiens. Ils n’ont pas la parole et sont considérés comme inaudibles par les médias occidentaux car, en majorité, ils ne sont pas de ceux qui réclament le lynchage médiatisé du « dictateur » comme cela a été fait en Libye.
Si vous vous vous informez sur la Syrie par les médias écrits et audiovisuels, en particulier en France, vous n’aurez pas manqué de constater que toutes les informations concernant la situation sont sourcées « Observatoire syrien des droits de l’homme » (OSDH) ou plus laconiquement « ONG », ce qui revient au même, l’ONG en question étant toujours l’Observatoire syrien des droits de l’homme.
L’observatoire syrien des droits de l’homme, c’est une dénomination qui sonne bien aux oreilles occidentales dont il est devenu la source d’information privilégiée voire unique. Il n’a pourtant rien à voir avec la respectable Ligue internationale des droits de l’homme. C’est en fait une émanation de l’Association des Frères musulmans et il est dirigé par des militants islamistes dont certains ont été autrefois condamnés pour activisme violent, en particulier son fondateur et premier Président, Monsieur Ryadh el-Maleh. L’Osdh s’est installé à la fin des années 80 à Londres sous la houlette bienveillante des services anglo-saxons et fonctionne en quasi-totalité sur fonds séoudiens et maintenant qataris.
Je ne prétends nullement que les informations émanant de l’OSDH soient fausses, mais, compte tenu de la genèse et de l’orientation partisane de cet organisme, je suis tout de même surpris que les médias occidentaux et en particulier français l’utilisent comme source unique sans jamais chercher à recouper ce qui en émane.
Cela dit, la place prédominante faite aux Frères musulmans au sein du CNS par l’AKP turc et le Département d’État américain a fini par exaspérer à peu près tout le monde. La Syrie n’est pas la Libye et les minorités qui représentent un bon quart de la population entendent avoir leur mot à dire, même au sein de l’opposition. Lors d’une visite d’une délégation d’opposants kurdes syriens à Washington en avril dernier, les choses se sont très mal passées. Les Kurdes sont musulmans sunnites mais pas Arabes. Et en tant que non-arabes, ils sont voués à un statut d’infériorité par les Frères. Venus se plaindre auprès du Département d’État de leur marginalisation au sein du CNS, ils se sont entendus répondre qu’ils devaient se soumettre à l’autorité des Frères ou se débrouiller tout seuls. Rentrés à Istanbul très fâchés, ils se sont joints à d’autres opposants minoritaires pour démettre le président du CNS, Bourhan Ghalioun, totalement inféodé aux Frères, et le remplacer par un Kurde, Abdelbassett Saïda qui fera ce qu’il pourra – c’est à dire pas grand chose - pour ne perdre ni l’hospitalité des islamistes turcs, ni l’appui politique des néo-conservateurs Américains, ni, surtout, l’appui financier des Séoudiens et des Qataris.
Tout cela fait désordre, bien sûr, mais est surtout révélateur de l’orientation que les États islamistes appuyés par les néo-conservateurs américains entendent donner aux mouvements de contestation dans le monde arabe.
Ce ne sont évidemment pas ces constatations qui vont rassurer les minorités de Syrie et les inciter à la conciliation ou à la retenue. Les minorités de Syrie – en particulier, les Alaouites qui sont en possession des appareils de contrainte de l’État – sont des minorités inquiètes pour leur survie qu’elles défendront par la violence. Faire sortir le président syrien du jeu peut à la rigueur avoir une portée symbolique mais ne changera rien au problème. Ce n’est pas lui qui est visé, ce n’est pas lui qui est en cause, c’est l’ensemble de sa communauté qui se montrera encore plus violente et agressive si elle perd ses repères et ses chefs. Plus le temps passe, plus la communauté internationale entendra exercer des pressions sur les minorités menacées, plus les choses empireront sur le modèle de la guerre civile libanaise qui a ensanglanté ce pays de 1975 à 1990.
Il aurait peut être été possible à la communauté internationale de changer la donne il y a un an en exigeant du pouvoir syrien des réformes libérales en échange d’une protection internationale assurée aux minorités menacées. Et puisque l’Arabie et la Qatar – deux monarchies théocratiques se réclamant du wahhabisme – sont théoriquement nos amies et nos alliées, nous aurions pu leur demander de déclarer la fatwa d’Ibn Taymiyyah obsolète, nulle et non avenue afin de calmer le jeu. Il n’en a rien été. À ces minorités syriennes menacées, l’Occident, France en tête, n’a opposé que la condamnation sans appel et l’anathème parfois hystérique tout en provoquant partout – politiquement et parfois militairement – l’accession des intégristes islamistes au pouvoir et la suprématie des États théocratiques soutenant le salafisme politique.
Débarrassés des ténors sans doute peu vertueux du nationalisme arabe, de Saddam Hussein, de Ben Ali, de Moubarak, de Kadhafi, à l’abri des critiques de l’Irak, de l’Algérie et de la Syrie englués dans leurs conflits internes, les théocraties pétrolières n’ont eu aucun mal à prendre avec leurs pétrodollars le contrôle de la Ligue Arabe et d’en faire un instrument de pression sur la communauté internationale et l’ONU en faveur des mouvements politiques fondamentalistes qui confortent leur légitimité et les mettent à l’abri de toute forme de contestation démocratique.
Que les monarchies réactionnaires défendent leurs intérêts et que les forces politiques fondamentalistes cherchent à s’emparer d’un pouvoir qu’elles guignent depuis près d’un siècle n’a rien de particulièrement surprenant. Plus étrange apparaît en revanche l’empressement des Occidentaux à favoriser partout les entreprises intégristes encore moins démocratiques que les dictatures auxquelles elles se substituent et à vouer aux gémonies ceux qui leur résistent.
Prompt à condamner l’islamisme chez lui, l’Occident se retrouve à en encourager les manœuvres dans le monde arabe et musulman. La France, qui n’a pas hésité à engager toute sa force militaire pour éliminer Kadhafi au profit des djihadistes et à appeler la communauté internationale à en faire autant avec Bashar el-Assad, assiste, l’arme au pied, au dépeçage du Mali par des hordes criminelles qui se disent islamistes parce que leurs rivaux politiques ne le sont pas.
De même les médias et les politiques occidentaux ont assisté sans broncher à la répression sanglante par les chars séoudiens et émiratis des contestataires du Bahraïn, pays à majorité chiite gouverné par un autocrate réactionnaire sunnite. De même les massacres répétés de Chrétiens nigérians par les milices du Boko Haram ne suscitent guère l’intérêt des médias et encore moins la condamnation par nos politiques. Quant à l’enlèvement et la séquestration durable de quatre membres de la Cour Pénale Internationale par des « révolutionnaires » libyens, elle est traitée en mode mineur et passe à peu près inaperçue dans nos médias dont on imagine l’indignation explosive si cet enlèvement avait été le fait des autorités syriennes, algériennes ou de tel autre pays non encore « rentré dans le rang » des « démocratures », ces dictatures islamistes sorties des urnes.
À défaut de logique, la morale et la raison nous invitent tout de même à nous interroger sur cette curieuse schizophrénie de nos politiques et nos médias. L’avenir dira si notre fascination infantile pour le néo-populisme véhiculé par Internet et si les investissements massifs du Qatar et de l’Arabie dans nos économies en crise valaient notre complaisance face à la montée d’une barbarie dont nous aurions tort de croire que nous sommes à l’abri.
Ce qu’il oublie de dire, c’est que grâce aux régularisations massives, le taux d’étrangers (en particulier maghgrebs et africains) ne bouge pratiquement pas. Plus quelques expulsions. Allez vous promener dans le 18eme arrondissement, que j’ai habité pendant 10 ans. Que je ne reconnais plus ! (Barbès, la Goutte d’Or, Ornano etc)
Mon Dieu, un homme qui se proclame médiéviste, qui fait des fautes d’orthographe, de syntaxe, qui parle charabia (poursuivre pour bien mal acquis !!!!) etc, etc, et qui nous pond un article sans vergogne. Eh bien si c’est que l’Université de France produit comme exégètes, ce n’est pas demain, que la faillite de l’Education Nationale sera stoppée !
L’éloge du Parti communiste (PC) par Pierre Moscovici est proprement incroyable. Le « parti des fusillés », dit-il ! Il n’a pas osé reprendre le mensonge énorme des 75 000 fusillés, mais l’esprit y était.
Pierre Moscovici, un ancien trotskiste, a quand même bien appris jadis, à la Ligue communiste de Krivine, qu’un pacte d’amitié germano-soviétique a été signé en 1939 et que le PC, parce qu’il l’approuvait, a été interdit par un gouvernement de centre gauche. Il doit savoir qu’en 1940, le même PC a essayé de refaire paraître légalement L’Humanité et que celle-ci, restée clandestine dénonçait le général de Gaulle comme un agent de la haute finance britannique. Il doit savoir que la Résistance anti-nazie est venue après que l’URSS ait été agressée par Hitler.
On pourrait rappeler aussi le soutien au procès des « blouses blanches », ces médecins juifs accusés par Staline d’avoir voulu l’assassiner, la négation du goulag soviétique et les applaudissements communistes à l’écrasement de la révolution hongroise en 1956. On nous répondra que nous sommes « hors-sujet ». Revenons donc à la Résistance : de gauche, le grand résistant Henri Frénay ? De gauche, Madeleine Fourcade ? De gauche le général Leclerc ? De gauche, d’Estienne d’Orves ? Et le général de Gaulle lui-même était, me semble-t-il peu porté sur la révolution socialiste ! Pierre Moscovici devrait aussi balayer devant sa porte avant de donner des leçons sur la Résistance : un certain nombre de socialistes ont hélas choisi le régime du maréchal Pétain en 1940. Et une majorité des parlementaires de gauche présents, votèrent en 1940 les pleins pouvoirs au Maréchal.
On avait déjà assisté à quelques dérapages du même type à la fin de la campagne de François Hollande. Il y a de quoi s’inquiéter ! Et si les projets économiques de Pierre Moscovici sont de la même qualité que ses jugements historiques, cela promet !
Aubry, Fabius, Montebourg, Joly, Duflot, Mélenchon et consorts le laisseront régner, mais pas gouverner. La France sera à la merci d’un mixe d’idéologues obtus, de snobinards parisianistes et de notabilités régionales prudhommesques. Les pulsions inquisitoriales des militants et le clientélisme bananier des ducs, comtes et marquis « décentralisés » produiront un univers grisaillant de planqués serviles et de tartufes coincés. La police du langage prohibera toute allusion au fuselage d’une minette (sexisme), toute présomption d’une supériorité esthétique de Vermeer sur le tag, de Mozart sur le rap (élitisme discriminant). Le propos de hiérarchiser tant soit peu les goûts et les couleurs, voire de présumer qu’une marge implique une norme, sera tenu au mieux pour « réac », au pire pour « facho » . Une flicomanie sournoise enténèbrera le pays de Rabelais, du Cid de Corneille, du Cyrano de Rostand, de la môme Piaf et de Gabin dialogué par Audiard. Une bigoterie fielleuse s’évertuera à démonétiser le sens de l’honneur, de l’altitude, de l’aventure et de l’humour.
La gauche ruinera la France avec la pharmacopée en usage auprès des incurables et des dépressifs : morphine des emplois bidons (« culture », « communication »), Prozac de l’« animation » depuis la crèche jusqu’à la maison de retraite. Caser son rejeton ad vitam dans un bureau quelconque d’une collectivité territoriale sera le must des ambitions parentales. L’animateur « socio-cul » à catogan et oreille baguée et le journaliste frotté de « sciences humaines » seront les anesthésistes au quotidien d’un peuple jadis gai, fécond et indocile. Leur catéchisme sirupeux, d’un pharisaïsme qu’un Peguy, un Bernanos ou un Mauriac auraient vomi, fragmentera le tissu social en « minorités » dont les revendications seront par principe « légitimes ».
En vertu du même principe, les aspirations de la majorité dite silencieuse, et pour cause, seront non avenues. L’invocation d’une filiation, d’un genre, d’un terroir ou d’une affinité élective sera suspecte et le recours à la mémoire historique, strictement encadré par le clergé des bulletins paroissiaux (Libé, L’Obs, Télérama, Médiapart, France Culture...).
Denis Tillinac imagine une France dans laquelle le candidat PS est élu. Un cauchemar pour l’écrivain qui craint de voir « démonétiser le sens de l’honneur, de l’altitude, de l’aventure et de l’humour » au cours de cet éventuel quinquennat à venir.
Aubry, Fabius, Montebourg, Joly, Duflot, Mélenchon et consorts le laisseront régner, mais pas gouverner. La France sera à la merci d’un mixe d’idéologues obtus, de snobinards parisianistes et de notabilités régionales prudhommesques. Les pulsions inquisitoriales des militants et le clientélisme bananier des ducs, comtes et marquis « décentralisés » produiront un univers grisaillant de planqués serviles et de tartufes coincés. La police du langage prohibera toute allusion au fuselage d’une minette (sexisme), toute présomption d’une supériorité esthétique de Vermeer sur le tag, de Mozart sur le rap (élitisme discriminant). Le propos de hiérarchiser tant soit peu les goûts et les couleurs, voire de présumer qu’une marge implique une norme, sera tenu au mieux pour « réac », au pire pour « facho » . Une flicomanie sournoise enténèbrera le pays de Rabelais, du Cid de Corneille, du Cyrano de Rostand, de la môme Piaf et de Gabin dialogué par Audiard. Une bigoterie fielleuse s’évertuera à démonétiser le sens de l’honneur, de l’altitude, de l’aventure et de l’humour.
La gauche ruinera la France avec la pharmacopée en usage auprès des incurables et des dépressifs : morphine des emplois bidons (« culture », « communication »), Prozac de l’« animation » depuis la crèche jusqu’à la maison de retraite. Caser son rejeton ad vitam dans un bureau quelconque d’une collectivité territoriale sera le must des ambitions parentales. L’animateur « socio-cul » à catogan et oreille baguée et le journaliste frotté de « sciences humaines » seront les anesthésistes au quotidien d’un peuple jadis gai, fécond et indocile. Leur catéchisme sirupeux, d’un pharisaïsme qu’un Peguy, un Bernanos ou un Mauriac auraient vomi, fragmentera le tissu social en « minorités » dont les revendications seront par principe « légitimes ».
En vertu du même principe, les aspirations de la majorité dite silencieuse, et pour cause, seront non avenues. L’invocation d’une filiation, d’un genre, d’un terroir ou d’une affinité élective sera suspecte et le recours à la mémoire historique, strictement encadré par le clergé des bulletins paroissiaux (Libé, L’Obs, Télérama, Médiapart, France Culture...).
Trouvé sur 20 minutes : Ciboulette du Jardin
... Cette femme n’a aucun rôle à jouer auprès de François Hollande. Elle n’est QUE sa maîtresse. Officiellement et du point de vue strictement légal, François Hollande est célibataire. Il est père de 4 enfants de sa première compagne Mme ROYAL et père d’un 5ème enfant de Mme Anne HIDALGO (si j’en crois la rumeur publique). C’est à dire que depuis 2007 : l’Elysée a hébergé un président de la République deux fois divorcé, père de deux enfants de sa première épouse, d’un 3ème enfant de sa seconde épouse et d’un 4ème de son épouse actuelle, et beau-père, quelques temps, de deux filles de sa seconde épouse...
.... Et depuis le 06 mai dernier, d’un président de la république CELIBATAIRE, père de 4 enfants de sa première compagne et d’un 5ème plus ou moins déclaré... lequel vit en concubinage notoire avec une femme MARIEE, mère de 3 enfants.
... Je ne voudrais pas jouer ici, les mères La Pudeur, mais ça commence à faire beaucoup.
Madame, quand on n’est VRAIMENT sûre de l’amour d’un homme, on n’a pas besoin de pourrir la vie de son ex-compagne. On reste discrète et on ne ramène sa science. D’ailleurs, c’est bien connu : « l’éducation, c’est comme la confiture, moins on n’en a, plus on l’étale ». C’est votre cas.
Je ne suis pas rochellaise, je n’aime pas le rose, mais si je le pouvais, je voterai pour Mme ROYAL, pas pour la femme politique, mais pour la femme tout court, et accessoirement pour la mère qu’elle est. J’espère sincèrement que le 17 juin verra son élection, et qu’elle deviendra la prochaine présidente de l’Assemblée Nationale. Même si je ne partage pas ses idées, elle a au moins le mérite d’être digne et c’est déjà pas si mal, pour ne pas dire beaucoup.
Madame Valérie T. en poussant le bouchon aussi loin que vous venez de le pousser, vous n’avez pas, contrairement à ce que vous pensez, fait preuve de « liberté d’expression », mais vous avez fait preuve d’une stupidité navrante. Quand on aime réellement quelqu’un, on ne cherche pas à lui nuire. Là, c’est réussi, votre amant (il n’est rien d’autre que votre amant...) passe pour un fieffé imbécile, le PS qui n’a pas besoin de cela, est sans dessus-dessous, et notre pays est ridiculisé. Du temps du bon Roi Louis le Quatorzième, on vous aurait embastillée pour moins que ça. Vous n’avez même pas la classe d’une Mme de Pompadour ou d’une Mme du Barry, tout juste celle, (et encore, vous n’en avez pas la naissance) d’une Françoise-Athénaïs de Rochechouart-Mortemart, laquelle, pour garder le coeur du Roi empoisonner ses rivales et se livrer à des messes noires...
Au train où vont les choses, on n’en est pas loin. Et un dernier conseil : à force de vouloir séparer les ex-, on finit toujours pas les réunir. Et que vous le vouliez ou non, Mme ROYAL est la mère de 4 enfants de M. HOLLANDE et elle a partagé sa vie 30 ans durant, ce que vous ne pourrez JAMAIS faire.
... Au fait, votre mari cocu actuel et vos 3 enfants, ils en pensent quoi de tout ça ? Parce que, mine de rien, ils font quand même un peu partie des dommages collatéraux non ? Si l’on peut divorcer de son conjoint, les enfants devraient pouvoir divorcer de leurs parents, si j’étais eux, c’est ce que je ferais.
Et pour réponde à Demogratte, le conjoint (homme ou femme) et les enfants d’une personnalité publique sont tenues à une certaine réserve, on appelle cela « avoir de l’éducation et le sens des responsabilités ». Valeurs, j’en conviens bien volontiers, désuètes et disparues du paysage politique, quel que soit son bord, depuis fort longtemps. La pauvre Mme de Gaulle doit se retourner dans sa tombe :(
Pire même, ils se trouvent des ouvriers ou des employés pour rêver à leur tour d’appartenir au camp des heureux, des jouisseurs sans retenue, des profiteurs de la générosité d’un système qui sourit, leur dit-on, aux audacieux. Ils viennent rejoindre les rangs de ceux qui sont effectivement du bon côté de la machine à créer de la distinction par l’argent, Blabla marxiste Non, ces ouvriers ou employés, sentent qu’ils ont en eux quelque chose qui les pousse à prendre des risques, à se lancer, à bosser dur pour gratter un ou plusieurs niveaux sociaux. Dans cet article, vous opposez les employés et les financiers, comme s’il n’y avait que 2 catégories. Tout faux !! Le plombier qui se met à son compte, le mitron qui rêve d’avoir sa boulangerie, le meccano qui veut avoir son garage etc. La lutte des classes, pour eux, c’est de la débilité mentale, du blabla trostsko-bolcho-marxiste brenneux !!!!!! Cet article est vicelard en diable, bien fait pour décerveler et faire inscrire au NPA, les gens dont la comprenette est un peu lente.
Cher Monsieur Diacono, vous êtes un naïf, l’un de ces hommes de gauche (sincère certes !) auquels les Français même de gauche ne croient plus. Votre phrase " Et puis, enfin pourquoi ne pas décréter une fois pour toutes d’ajouter à la Cour des Comptes de la République, la fonction de sanctionner les abus à celle de les dévoiler ? « Pourquoi ????? Je vais vous le dire !!!!!!!!!!! AUCUN DEPUTE, de droite comme de gauche, ne votera cette loi !!!! Ils ne sont pas fous, et ne vont pas scier la branche »qui les fait bien vivre", en la rendant accessible à des sanctions. ( Mairies, Agglo, Conseils généraux, Conseils de région, ils ont TOUT à perdre !!)
Vous nous faites ch...... avec vos comparaisons à Vichy. Les Communistes ont 100 millions de morts sur les bras, n’en déplaise à Mélanchon, mais ont droit à la parole car ce sont sûrement de bons démocrates !
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